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les textes d'une noisette qui s'ennuie

39 ans lot et garonne 60
salut à tous je sais que je suis encore tout nouveau ici mais certaines personnes m'ont conseiller de venir ici si je voulais mettre des textes (n'est ce pas Co_lette^^)
donc  
je vais mettre ici tout les textes que j'ai ecris.
Ce ne sont pas forcement des poesie, cela peut etre des coups de coeurs ou des coup de gueule aussi.
n'héistez pas a me dire ce que vous pensez de mon phrasé et je vous demande de l'indulgence certains de mes textes ont été ecrit le soir en coup de blues je cherchais plus a gueuler qu'a écrire joliment.

Je vais donc compenser la "publication de mes textes par celui ci que j'ai nommé "la maladie des mots

C'est une étrange maladie l'écriture. Une maladie contagieuse. Rien ne nous donne tant l'envie de prendre la plume qu'un texte qui nous a touché, nous a plu, nous a remué.

C'est fou le pouvoir de ces mots sur l'être humain. Le pouvoir de transmettre le soleil et la pluie, le jour et la nuit.
Une idée, une pensée, une seconde... Le stylo s'agite déjà sur la feuille, les mains s'affolent sur le clavier. Les doigts s'expriment. Car c'est cela le secret. Les mots sortent d'eux-mêmes.


Ils nous rappellent qu'ils veillent, qu'ils sont fidèles au poste. Ils dansent sur les pages, donnant goût et couleur aux pensées du jeune malade.
Les mains courent pour rattraper les pensées, les fixer, les affiner, les montrer aux lecteurs étonnés de se trouver là.

Et me voilà au milieu de cette épidémie, j'ouvre les yeux et je sais. Je sais qu'aujourd'hui encore, que demain peut-être, qu'hier déjà... Je sais que je suis malade moi aussi.
Malade des mots. Prisonnier d'eux et leur maître à la fois. Je les maîtrise, je les domine, les assemble à mon goût, les dérange, les utilise ou les transforme selon mon bon vouloir. Et pourtant ils se sont emparés de moi. Je suis leur objet. Le chemin entre eux et le monde.
Malade depuis si longtemps que je ne pourrais vous dire quel jour tout cela a commencé. A huit ans j'achevais le premier cahier (si énorme me semblait-il) de malade. Les mots qui m'habitaient avaient pris possession de chaque page. Lentement, longuement ils les avaient noircies.


Il y a eu bien sûr des périodes de latence. Je me suis cru guéri plusieurs fois. Je pensais "ça y est j'ai dépassé ce point-là, je suis autre, je n'ai plus besoin des mots." Je n'ai compris que plus tard qu'on ne guérit jamais complètement de cette maladie-là. Et en effet. Le style évolue, change, le support aussi, mais toujours la plume vient me rattraper.

Maladie étrange que la maladie des mots. Elle surprend toujours.
Un jour les mots repartent comme ils étaient venus. Mais la rechute guette toujours. On apprend à vivre sans ces mots qu'on avait toujours en soi et un an, deux ans, quatre ans plus tard ils se manifestent à nouveau. Ils me réveillent la nuit, ils me font rêver au fond d'une salle de cours, ils m'assaillent au détour des pages d'un philosophe, ils me font rire ou pleurer par leur regard sur ma vie.
Ils me font vivre.
Ma maladie des mots, une maladie que j'aime, une maladie surprenante, une maladie courante.
Ma maladie.


Notre maladie sans doute.
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toi si t'aime écrire je vais te filer une adresse internet cash, de plus ca pourra peut etre te permettre de briser un peu ta sollitude ;)

regarde tes mp ;)
39 ans lot et garonne 60
coucou à tous!!!
je vous fait partager un petit texte que j'avais écrit a mes 18ans lors d'un coup de blues ( vous remarquerez certainement "l'immaturité" de cet écrit. Mais c'est juste pour vous faire patientez un peu pour des textes plus accrocheur...



Marre des stéréotypes
Maintenant les filles doivent être grandes, mettre du 36, avoir un beau visage, et sportives. Les garçons doivent avoir un corps de rêve, grand, avec les yeux bleus. Moi je dis NON !

Les stéréotypes sont le plus souvent dans la publicité et les médias. Pourquoi ? Est-ce qu'un homme qui n'a pas un poil de graisse présente mieux telle ou telle choses ? Regardez Cauet il présente très bien pourtant ce n'est pas un mannequin, s'il n'avait jamais fait de radio je suis sûre qu'il aurait jamais passer à la télé dans sa propre émission !

Est-ce qu'une femme qui fait la taille mannequin présente mieux des vêtements qu'une autre qui mettrait du 46 ou 48 ? On n’est pas tous parfait. Beaucoup de femmes, ne font pas du 36 ou du 38 et ne mesure pas 1m75. Alors elles, elles n'ont pas le droit de voir comment rend le vêtement une fois porté !
Les jeunes, d'aujourd'hui, rejettent complètement l'idée de sortir avec une fille qui ne met pas du 36-38, aussi non quoi ? C'est la honte devant les copains c'est ça ? Peut-être que cette fille à une personnalité très bien mais les garçons n'iront jamais cherché à comprendre. Et vice et versa.

Bien sûr ceci crée des complexes chez plusieurs personnes (ex : moi), elles n'osent plus sortir dans la rue ou pire deviennent anorexique ou boulimique. Pour plaire à ce stéréotype imposé par la société et surtout les médias il faudrait que tous les garçons soient musclés, beaux, grands,... Et que toutes les filles soient grandes, mettent du 36, aient bien sûr une poitrine avantageuse... Mais après que ces personnes aient un intérieur inintéressant ça c'est pas grave du moment que ça fait bien de sortir avec ce garçon (ou cette fille). Car hélas la société part de plus en plus vers ce sens.

Je me trouve trop gros et d'autres personnes me le rappellent au cas où j'oublierais de me regarder dans un miroir (je ne met ni du 36 ni du 38) ! J'espère que pour vous se seras différent...
39 ans lot et garonne 60
N'arrivant pas a dormir et sous l'effet qu'a fait ce texte a une personneque j'appreci beaucoups je publie donc un autre de mes textes:

La musique

Le soir. Tout seul dans ma chambre. Le noir. Seul mon pc va. Je ne suis la pour personne. Seuls, moi et la musique de mes artistes préférés. Genre : un rock, mais pas le rock qui font des jeunes de dix-huit/dix neuf ans qui parfois n'est pas grand chose, un rock plus profond, des chansons avec des mots profonds, des textes qui font penser, reflechir, rever parfois... Mais dans les quels je vois des aspects de ma vie.
Ma chanson préférée. Elle commence, et avec elle un tas d'émotions m'attaquent, la vague des souvenirs m'emporte... Loin, vers le passé, vers les moments qui ne reviendront jamais, vers toutes les émotions, belles ou pas que j'ai vécu... Et voilà que je me réveille...


La musique, elle, a un grand, un immense pouvoir. Elle peut faire oublier les problèmes quotidiens, elle peut nous faire isoler du monde pour un instant, et nous faire entrer dans notre dimension, un lieu dont nous seuls avons la clé pour y entrer... Ici, on a la possibilité d'etre seuls avec nous-memes et reflechir sur notre vie en pleine tranquillité, et personne peut nous déranger, personne peut nous dire "On fait pas ça, ça c'est pas juste" : c'est notre monde. Seul personne admise : l'artiste. Lui il nous fait penser, reflechir, pleurer et surtout grandir avec les textes de ses chansons. Mais la chose la plus belle, c'est qu'il ne va jamais le savoir... Ou, peut-etre, il peut l'imaginer quand il écrit les textes... Il va, peut-etre, imaginer de faire rever un tas de jeunes, qui vont vivre les memes situations dans lesquelles il s'est trouvé pour écrire les chansons... Et qui vont vivre les memes émotions que lui... Et alors voilà qu'on créé un lien entrre chanteur et fan, un lien qui ne va jamais se rompre, basé sur une sorte d'égalité entre un qui vit la situation et une autre personne qui l'a déjà vécue, et qui a créé pour ça une mélodie, et a transformé cette periode de sa vie dans un texte de chanson...


Les textes... Si on les lits, parfois ils sont comme des poésies... Des poèmes modernes... On continue à les lire, et encore, et encore, et plus on les lit, et plus on est convaincus que la chanson en question a été écrite expressement pour nous... On voit dans ces mots notre vie, nos propres experiences, nos memes sentiments... Et alors voilà que le jeu recommence : le soir, seule dans la chambre, le noir...
Quel pouvoir, la musique...
39 ans lot et garonne 60
et un autre pour la route retrouvé dans les méandres de mon pc:

Il est un soir dans sa jeune vie, où l'on se pose des questions, où l'on se met à réfléchir, où l'on rêve d'un monde meilleur... C'est ce soir, le samedi 18 novembre 2006, à 1h02, que je me met à m'imaginer des choses, à prévoir toute ces difficultés que la vie me réserve...
Pourquoi devons-nous vivre ? Combattre chaque jour les inconvénients de notre existence qui font décidément passer le temps trop vite ? Pourquoi ne pas profiter ? Profiter de chaque instant, pour pouvoir en apprécier chaque parcelle de seconde qui passe. Je ne pense pas qu'il y est un seul être au monde qui puisse répondre à ce genre de question. Ne me parler pas de vos philosophes ! Car, malgré leur aspect rêveur, ils ne peuvent jamais s'empêcher dans chacune de leur théorie de donner leur " avis scientifique ". Non, merci, mais moi, je n'en veux pas. Le rêve ralentit les heures de la journée, et le réflexe d'en profiter n'est, malheureusement, jamais automatique.
Comment faire... ?


Ce facteur de bonheur n'est pas le même selon les personnes. Même si deux êtres pensent se retrouver par une passion commune, un détail nous ramène toujours à la réalité.
Certains ne peuvent pas vivre sans argent, d'autres vénèrent leur saleté de job, d'autres encore ne survivent pas sans leur putain de drogue.
Cependant, je n'aurais pas la prétention de jouer au " petit philosophe ", bien au contraire, c'est pourquoi je vais arrêter d'affirmer, et seulement parler, me laisser aller à mes pensées, traîner avec excitation mes doigts sur ce clavier, avec de la musique... De la belle musique, de la musique douce, une faible lumière s'échappant de la lampe, mon chagrin d'amour qui me poursuit encore, me croyant dans un film, me sentant enfin vivre, ma place étant celle que je me donne, ma vie ayant le sens que je lui dicte.


Tout d'abord, qu'est-ce qui m'a poussé ce soir à me mettre devant cet écran et écrire ? Eh bien... Disons que j'ai une sorte de " boule " au ventre. Quelque chose qui me dévore de l'intérieur, mais qui, en même temps, me satisfait de tous mes besoins physiques. En parlant de Physique, donnons une explication " scientifique " à cette " boule ", voulez-vous ?
" (Ahem, ahem...) Cette sphère est composée de matières très diverses. En effet, on peut aisément remarquer que ce " chagrindamour " en occupe les 3/4, et que, de ce fait, un " sentimentdesollitude " vient le compléter. On suppose, cette " boule " prenant tellement de place, que le cœur doit ressentir quelque difficulté à battre encore. ".
Oui, peut-être bien, mais y y'a-t-il toujours un cœur ? Non... Je le sentirais... On me l'a volé.
Tant pis, c'est comme ça et cela ne mérite pas que j'écrive plus de lignes sur ce sujet.


Pourtant, dans ma vie, deux, et seulement deux choses me sont essentielles pour vivre : la Musique et l'Amour. Ouf... De voir ces deux mots écrits côte à côte, ç'est comme un courant d'air, qui semblait inaccessible, qui rentre dans mes poumons. Bref... Dans ma tête, c'est simple : inutile, impossible, impensable de vivre sans ces deux œuvres magnifiques de la Nature. Elles sont, pour moi, les sujets de mes joies, de mes envies, de mes peines, de ma souffrance, de mon courage, de mon avenir, de mon passé... A chaque instant, je veux les réunir... Mais, j'ai l'impression que personne ne pourrait le comprendre, ce choix... Et je rêve... Comme un con, je rêve. Tss... L'Espoir.
Terrible chose que l'Espoir, inutile également. Avec tous ces dictons à son sujet : " L'Espoir fait vivre, mais ne vivons pas l'Espoir. ", ou encore " Le malheur est que, parfois, des souhaits s'accomplissent, afin que se perpétue le supplice de l'espérance. ", méditez un peu sur cette dernière " information "... ça fait réfléchir, n'est-ce pas ? Eh oui...
Et pourtant !!! L'Amour aurait pu me le faire comprendre ! Mais le destin en a décidé autrement. Désolé, mais marre de parler d'amour... Pour le moment, il ne signifie plus rien pour moi.

La Musique... Consciemment ou non, elle dicte chacune de nos pensées, chacun de nos actes, elle est l' " allié " de nos victoires, le " coupable " de nos défaites, l" ami " de nos moments de solitude, le " démon " de notre souffrance... Qu'est-ce que c'est bon de pouvoir se sentir compris par la Musique ! Elle arrive parfois quand on ne l'attend pas, et il y a toujours un pincement au cœur lorsque l'on se rend compte qu'elle est là pour nous.


J'ai encore tellement de choses à dire, tellement de pensées que j'ai besoin de voir écrites. J'aimerais les balancer en touffe sans avoir besoin de les mettre en bouquet... Et pourquoi pas ? Allons-y... !
J'ai compris, après cette relation amoureuse, que la meilleure façon de ressentir quelque chose est d'en souffrir. L'Espoir est toujours aussi ingrat, tout comme l'Amour ! Les sentiments sont fourbes et curieux. Je commence à me demander s'il n'existe pas une " nature supérieure " ? Les gens sont souvent inconscients de leur état de vie. Il est plus facile de mourir que d'aimer. La Musique est enfant du Bonheur. Mais surtout...

" La plus grande vérité que l'on puisse apprendre un jour est qu'il suffit d'aimer, et de l'être en retour... "*


Oui, mais je suis un peu déçu de l'organisation de ce petit essai, je ne sais pas, je suis toujours un peu défaitiste, mais bon, la vie continue...
39 ans lot et garonne 60
voila le dernier textes pour le moment (le temps je j'en ecrivent d'autres) celui ci date d'un an jour pour jour...

Je la tenais dans mon estime, dans mon coeur.
Je pensais que jamais tu ne pourrais me décévoir.
On a partager de merveilleux moments ensemble.
Complicité, amour, humour, sincérité etaient nos maitres mots.

Puis on s'est séparé,
On ne se parlais plus,
Et on s'est revus,
A ce moment j'ai bien cru pouvoir rallumer les braises de notre couple.
Ensemble, on se prenais dans les bras, on s'embrassais...
J'y ais cru.

Mais des mots viennent de raisonner définitivement dans ma tete,
Jamais ils ne sortirons de mon ame.
Tu m'as dit que tu pensais à un autre homme depuis le début, où l'on se revois
M'avoir pris pour un con depuis debut novembre, ça je te ne le pardonnerais jamais.
Je t'ais toujours respecter, j'ai toujours tout fait pour éviter de te faire souffrir,
Tu ne t'ais pas donné cette peine.

Maintenant je ne veux plus te voir,
Maintenant je veux t'oublier,
Maintenant je veux que tu sorte de mon coeur,
Maintenant je veux que tu sorte de ma vie.
Adieu,
Je taime
V
64 ans 124
C'est bien d'exprimer ainsi tes sentiments,ça t'aide à te libérer ,rien de tel.Continue.
B I U