Je vais te décevoir mais quand on est mince, sans problème de poids et que l'on a de la culotte de cheval qui ne part pas avec un régime, inutile d'insister. c'est malheureusement physiologique. tu peux vérifier auprès d'un médecin. La seule façon de perdre ta culotte de cheval, c'est la chirurgie. Tu peux par contre faire du sport pour te muscler un epu, ça gomera un peu l'effet, tu seras plus tonique.
Pour exemple, je me souviens d'une fille à la salle de gym de Montpellier où j'allais. Elle était mince, voire maigre, surtout du haut du corps. Elle portait toujours un corsaire long et moulant. Elle avait une culotte de cheval incroyable et de la cellulite qui se voyait vraiment à travers le corsaire. Tout localisé dans les fesses et le haut des cuisses. et je l'ai vue en faire du sport. Mais c'est constitutionnel, on n'y peut rien.
en ce qui me concerne, j'ai toujours été bien en chair, même quand je faisais du 40. Je me faisais deux heures de sport par jour et je n'ai jamais eu de ma vie de culotte de cheval ni de cellulite. C'est ma constitution. J'étais hallucinée par la différence entre mes cuisses rondouilettes et musclées et celles d'une amie, rande, mince, qui mettait du 36 et qui avait les jambes pleine de cellulite et une belle culotte de cheval. Tout comme sa mère d'ailleurs. C'est dans les gènes, rien à faire.
C'est facile à dire, mais il faut se faire une raison. Si on est programmée pour la culotte de cheval, rien à faire. On peut quand même vivre avec. en choisissant bien ses vêtements, on peut la faire oublier.
Fais du sport pour ton confort, pour être plus tonique, pour un bon maintien (souvent les femmes minces se tiennent mal car elles n'ont assez de muscles en particulier dans la sangle abdominale et le dos) d'où une mauvaise posture. Mais n'attends pas de miracle.Si tu es mince, ta culotte de cheval te suivra partout. tu peux prendre conseil auprès d'un médecin, je suis sûre qu'il sera d'accord avec moi. encore que, avec beaucoup d'argent, l'endormologie peut peut-être t'aider. Mais quand tu arrêtes, ça reviens.