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ovaires micropolykystistes : ça fait quoi ?

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Bonjour à toutes !

en traînant sur le forum j'ai vu que beaucoup d'entre vous souffraient de ce syndrome et que ça les empêchaient de concevoir. or récemment j'ai consulté car  
cela faisait trois mois que je n'avais pas de règles et c'est à cela que l'on a vu que j'avais moi aussi des OMK.

Je ne veux pas d'enfants pour l'instant et la gygy m'a dit que ce n'était pas grave, que ça ne m'empêcherait pas d'en avoir plus tard. je n'ai pas posé davantage de questions sur le coup mais comme jen vois beaucoup ici qui galèrent à cause de la même chose que moi je me demande tout de même si ça ne va pas poser soucis plus tard ! et récemment j'ai eu des pb style plein de boutons sur la tronche pire qu'un ado prépubère : cela peut-il être lié ?

merci d'éclairer ma lenterne les filles ! :)
43 ans Paris 16
Bon déjà on va expliquer pour ceux qui ne savent pas de quoi on parle :

Citation:

Définition

Le syndrome de Stein-Leventhal est une maladie chronique et hétérogène de la femme jeune se caractérisant par l'association d'une obésité (poids excessif), d'un hirsutisme (pilosité abondante), de stérilité, de troubles des règles (absence entre autres) et d'augmentation de volume des ovaires qui sont nacrés, fibreux (durs, ayant perdu leur élasticité) avec des kystes.

Cette maladie gynécologique et endocrinienne (concernant les hormones) se caractérise par l'apparition d'un ensemble de symptômes (syndrome) hétérogène dû à un excès de sécrétion d'hormones mâles (hyperandrogénie) par les ovaires et se caractérisant par une aménorrhée (absence de règles), une stérilité, un hirsutisme (excès de poils) et des ovaires dont le volume est augmenté par rapport à la moyenne et comportant d'autre part, un grand nombre de kystes.

Cette maladie fait suite à un mauvais fonctionnement de l'hypophyse qui est une glande située au centre du cerveau qui régule l'ensemble de toutes les glandes l'organisme et de l'hypothalamus qui donne des ordres à l'hypophyse. Les spécialistes en endocrinologie appellent ceci une perturbation de l'axe hypothalamo-hypophysaire.

À la suite d'une anarchie endocrinienne c'est-à-dire d'un désordre hormonal portant sur deux hormones, d'une part la lutéinostimuline LH et la folliculostimuline FSH on constate un développement anarchique des follicules ovariens s'accompagnant d'une absence d'émission d'ovule sur une longue période avec la formation de kystes). Le follicule ovarien ou de De Graaf est une cavité liquidienne qui est située à l’intérieur de l’ovaire et où se développe l’ovule et dont la rupture correspond à la ponte de l'ovule.
Ce sont ces cellules qui produisent les androgènes ou hormones mâle entraînant ce que l'on appelle l'hyperandrogénie c'est-à-dire annexée de sécrétion d'hormones mâles dans le sang.

Toujours sur le plan endocrinien c'est-à-dire concernant les hormones, les patientes présentent un hyperinsulinisme c'est-à-dire un excès d'insuline qui traduit une résistance à insuline liée à des anomalies sans doute de nature génétique du récepteur de l'insuline. Ce phénomène entraîne une stimulation de la sécrétion des ovaires et donc une accentuation de la sécrétion d'androgènes c'est-à-dire hyperandrogénie ovarienne.

Pour l'instant, l'origine de cette pathologie n'est pas connue avec précision. Il semble s'agir d'un dysfonctionnement (mauvais fonctionnement) de l'hypophyse et de l'hypothalamus et de l'interaction de l'un sur l'autre (axe hypothalamo-hypophysaire).
Pour les spécialistes : on observe une augmentation fixe de la sécrétion de lutéostimuline (LH) et la suppression relative de la sécrétion de folliculostimuline FSH).
Ces troubles sont à l'origine d'un fonctionnement anarchique des ovaires et plus précisément des follicules ovariens. Les follicules ovariens (ou de De Graff) sont des cavités liquidiennes situées à l'intérieur de l'ovaire où se développe l'ovule. Leur rupture correspond à la sortie (ponte) de l'ovule.


Anatomie

La face interne de l’ovaire correspond au pavillon de la trompe, et grâce à des ligaments (ligaments propres de l’ovaire, ligaments suspenseurs de l’ovaire, mésovarium), les ovaires sont maintenus en place dans l’abdomen.

Leur irrigation se fait par l’intermédiaire des artères ovariques issues de l’aorte abdominale, elle-même issue de l’aorte thoracique.

A la surface de l’ovaire se trouve une membrane fibreuse, l’albuginée, au-dessous de laquelle se trouve une couche de cellules constituant le cortex (écorce de l’ovaire occupant les deux tiers de la glande) renfermant les gamètes (cellules reproductrices : les ovules).

Plus en profondeur se situe la zone médullaire, qui contient les vaisseaux assurant l’irrigation et les nerfs.

Au niveau du cortex ovarique se trouvent les follicules ovariques, sortes de petits sacs constitués d’un oeuf qui n’est pas encore mûr et que l’on appelle ovocyte. Celui-ci est enveloppé d’une ou de plusieurs couches de cellules appelées les cellules folliculaires ou granuleuses.
Les différents follicules, appelés respectivement follicule ovarique primaire, follicule ovarique secondaire et follicule ovarique mûr (celui-ci fait saillie à la surface de l’ovaire) représentent les différents stades de maturation qui vont amener le follicule à l’état d’ovocyte, futur œuf susceptible d’être fécondé par un spermatozoïde une fois dans la trompe utérine.

Après l’ovulation, certaines cellules du follicule débarrassé de l’ovocyte se transforment en corps jaune à l’origine de la sécrétion de la progestérone et des oestrogènes. Ce corps jaune finit par dégénérer.


Symptômes

Troubles menstruels se caractérisant par une absence ou une irrégularité des règles associée à des troubles de l'ovulation. enIntervalles entre les règles s'allongent progressivement correspondants à ce que les spécialistes nomment une spaniménorrhée anovulatoire car s'accompagnant d'une absence d'ovulation (absence d'émission d'ovules). La maladie consulte pour une aménorrhée ou une stérilité.

Stérilité reconnue habituellement lorsque l'intervalle entre les règles s'allonge. Il s' agit d'une spanioménorrhée anovulatoire (sans ovulation). La malade consulte généralement pour une aménorrhée ou une stérilité.
Obésité.
Hirsutisme (abondance de poils).
Acné (lié à l'excès d'androgènes).
Certaines femmes ont des grossesses malgré les anomalies précédemment citées.
Boulimie avec intolérance au glucose et diabète de type 2 ne nécessitant pas d'insuline pour être équilibré.


Consultation médecin

Le diagnostic n'est pas évident et l'examen gynécologique, qui est souvent difficile, ne permet pas d'affirmer ce syndrome.
L'examen médical et plus particulièrement la palpation de l'abdomen et du bassin montre parfois de gros ovaires dures, lisses, variables.


Analyses médicales

Le test le plus sensible : le dosage des androgènes (hormones mâles : testostérone libre) dans le sang montre un excès de leur sécrétion par les ovaires.
Le dosage de l'androstènedione est également élevé.
Le test à la gonadolibérine (Gn-RH) ou (LH RH) consistant à injecter cette hormone à la patiente et à doser l'hormone lutéinisante (LH) avant et après, révèle un excès de sécrétion de la part de l'hypophyse.
Il est quelquefois mis en évidence un excès de sécrétion de l'insuline (hyperinsulinémie) souvent associé traduisant une résistance à l'action de l'insuline dans l'organisme. Ce mécanisme profond est lié à un mauvais fonctionnement génétique des récepteurs de l'insuline. On constate une stimulation de la sécrétion d'androgènes par les ovaires (hyperandrogénie ovarienne).
Rapports estrone/estradiol est supérieur à 1
L'hyperinsulinémie est fréquente.


Examen médical

La coelioscopie, qui consiste à visualiser directement l'intérieur de l'abdomen grâce à l'utilisation d'une fibre souple munie d'un système optique, permet de visualiser de gros ovaires lisses, ayant un aspect de porcelaine, recouverts d'une coque fibreuse et renfermant de multiples petits kystes (folliculaires). Cet examen permet également d'effectuer une biopsie de l'ovaire pour éliminer une éventuelle tumeur maligne (cancer).
L'échographie pelvienne montre quelquefois des ovaires agrandis.


Diagnostic différentiel

Il ne faut pas confondre cette maladie avec :
L'hyperplasie congénitale des surrénales (certains symptômes sont similaires).
Les pseudo-hermaphrodismes masculins.
La maladie de Cushing.
L'hyperprolactinémie.


Traitement

Le traitement est essentiellement celui des symptômes.
Il sera effectué par une équipe spécialisée (endocrinologie, gynécologie médicale).

Il est parfois amélioré par la résection (le chirurgien retire) cunéiforme (une partie superficielle) des deux ovaires par cœliochirurgie, ou par laser. La résection d'une partie de l'ovaire permet parfois de produire des ovulations, c'est-à-dire l'apparition d'un ovule éventuellement fécondable. Une intervention chirurgicale autorise à nouveau l'ovulation dans la moitié des cas mais ne modifie pas l'hirsutisme.
L'induction de l'ovulation, quand la femme le désire, ouvre la voie à une grossesse. Les résultats ne sont pas très bons. Le rétablissement d'un cycle ovulatoire se fait par un inducteur de l'ovulation (clomifène 50-200 mg par jour pendant cinq jours).
Un traitement par antiandrogène (médicament contre la sécrétion d'hormones mâles) est proposé aux femmes qui ne désirent pas de grossesses. Ce traitement permet de régulariser les règles et de faire diminuer la pilosité en quelques mois. Un traitement à base de progestérone donné dix jours par mois permet de rétablir généralement l'équilibre hormonal des oestrogènes et de la progestérone. Il provoque d'autre part des hémorragies de privation apparaissant régulièrement.
Enfin, la contraception orale fait quelquefois disparaître les kystes.
Quant à l'hirsutisme, des épilations peuvent être effectuées par une institution spécialisée. Celles-ci sont préférables aux antiandrogènes (cyprotérone, spironolactone) et aux anticonceptionnels.
En présence d'une hyper insulinémie (excès d'insuline dans le sang), certaines équipes préconisent un régime hypocalorique et de la metformine.
Les facteurs de stimulation des gonadostimulines sont quelquefois utilisés sous forme pulsatile entraînant une induction de l'ovulation ou sous forme continue pour le traitement de l'hirsutisme.
En présence d'une obésité, un régime hypocalorique est le plus souvent nécessaire. La perte de poids entraîne automatiquement une diminution de la sécrétion d'hormones mal par les ovaires. Ceci indique qu'il est donc important de faire comprendre à la patiente souffrant d'une maladie des ovaires polykystiques qu'il est nécessaire de perdre du poids. La perte de poids entraîne également la baisse de la sécrétion des oestrogènes et une diminution de la résistance à l'insuline.



Source Vulgaris Médical


A mon avis, il vaut mieux que tu fasses tous les examens car apparemment cela peut varier d'une personne à une autre.

Cependant, vu la compléxité des OMK, il vraudrait mieux demander un second avis de la part d'une gnynécolo-endocrinologue car si tu veux consevoir il vaut mieux que tu aies toutes les cartes en mains !
(et n'oublies pas que tu peux aussi congeler tes oeufs au cas ou tes ovulations seraient difficiles et que tu souhaite concevoir par la suite...)
782
merci dark_angel, mais alors le surpoids et les OMK sot liés ! est-ce la cause ou la conséquence ?
43 ans Paris 16
Le surpoid peut être une conséquence hormonale d'où les OMK, il faut voir aussi les facteurs génétiques... mais là il consulter un endocrinologue pour savoir si c'est lié ou non dans ton cas.
44 ans 77 5703
avec 40kgs de plus ou de moins, j ai ces fouttus poils.

en ayant perdu 5kgs cet été, j ai vu une croissance des poils qui ont apparus sur des zones :shock: .

bref, maintenant c est echarpe et col roulé hiver comme été. sympa.



la metformine, je pige pas bien...
je comprends un peu mais pas trop dans le sens ou ça facilite l entrée du sucre dans le sang. est c ebien necessaire quand on presente un surpoids?

dès que j ai pris la metformine, j ai pris du poids de façon deraisonnable. le doc m avait dit que ça avait des effets anorexigènes mais bon...


enfin bon...
51 ans Face au vent 5339
Tout de même il faut un peu relativiser : le phénomène de microkystes dans les ovaires ne signifie pas forcément que tu es malade. Il faut que la polykystie soit associée à d'autres symptômes, comme ceux qu'a cités Dark-Angel par exemple.

Il faut donc surveiller, mais tout seul, celà ne signifie rien.

Pour ma part, je sais depuis l'âge de 18 ans (première consultation gynéco) que j'ai des ovaires polykystiques, et celà ne m'a pas empêché de concevoir sans difficulté (et ce pour mon plus grand bonheur 8) ). ;)
782
je suis encore bien paumée ! isami, tu as eu un traitement pour tes kistes ? c sous forme de médicaments ? j'ai de l'acné et ait bcq grossi sans changer dhabitudes alimentaires, au contraire j'ai mêm fait un régime hyperpro qui n'a pas marché alors que dhabitude je perds facilement.le traitement renversera t -il ces effets ? peut-on consulter un endocrino libremnt ou faut-il avoir une prescription médicale?
merci beaucoup, j'avoue que j'ai un peu peur...
51 ans Face au vent 5339
Je n'ai aucun traitement pour mes kystes, et je vis très bien comme ça :D

Franchement, des kystes dans les ovaires ce n'est pas grave. Etre ronde et avoir des kystes dans les ovaires, ça ne veut rien dire en soi, il y a toute une série de facteurs qui doivent être associés pour que ce soit une vraie maladie.

Et dans le domaine du corps comme dans celui des émotions, on ne peut pas savoir à l'avance quelles maladies on peut éventuellement avoir un jour. Tout ce qu'on peut faire, c'est identifier les points de vigilance et surveiller, surveiller tout au long de l'existence.

Mais la surveillance, il n'y a qu'un médecin pour la faire. Pas besoin de voir un endocrino, avant le mieux est que tu fasses un bilan hormonal avec ton généraliste. C'est lui qui te recommandera à l'endocrino si jamais c'est nécessaire que tu ailles en voir un (en plus, comme ça tu seras pleinement remboursée par la sécu).

Profite du moment présent pouet, prends soin de toi aussi c'est important mais n'oublie pas de profiter de la vie comme elle vient, c'est le meilleur moyen de ne faire souffrir ni son corps, ni son esprit ;)
44 ans 77 5703
j ajoute cependant que les genralistes sont fort sympathiques mais j en ai vu beaucoup incompetents dans le domaine.ce qui m a valu des soucis.

peut être le gygy est mieux plaçé pour faire une ordonnance pour un bilan hormonal nan?
44 ans 2506
Citation:
peut être le gygy est mieux plaçé pour faire une ordonnance pour un bilan hormonal nan?


Oui, encore faut il qu'il y pense, ou qu'il se décide simplement à le faire :roll:

C'est mon médecin traitant qui m'a dirigé vers un endocrinologue, avec appui d'un cardiologue, pour savoir si mon surpoids est dû ou non à un problème hormonal.
J'ai vu deux gynécos, une que j'appréciais beaucoup, mais qui pour moi, prenait les choses trop à légère..
Le second, qui a mis tous mes problèmes sur le dos de mon surpoids, sans chercher plus loin :roll: j'étais complètement dépitée..

Jusqu'à ce que je vois une endocrinologue, très gentille et très à l'écoute, qui m'a simplement demandé ce qui était important pour moi de traiter en priorité... c'était la première fois depuis longtemps qu'on tenait compte de mon avis :D

Elle m'a prescrit tout un tas d'examens à faire pendant une journée d'hospi, et je les ai fait pas plus tard que lundi dernier. ils ont découvert des OPK, et attendent les résultats des autres examens pour confirmation.

Voilà, désolée pour la longueur, mais tout ça pour dire que , même si le diagnostic m'inquiète, me fait peur pour l'avenir, ça fait un bien fou de sentir qu'il y a des gens compétents qui sont à votre écoute, et qui n'entendent pas que ce qui les arrange.
51 ans Face au vent 5339
OK Annel, tu as fait un parcours du combattant en voyant plein de médecins, et au final quoi : tu en as trouvé un avec qui tu avais le feeling et tu te sentais en confiance.
Ca, ce n'est pas un critère de choix d'un endocrino, mais celui d'un médecin référent qui peut être un médecin généraliste.

Et il t'a découvert tes OPK, super. Ca t'inquiète, tout comme pouet.

Mais ça t'inquiète pour quoi au juste ? Nan parce que des OPK, ce n'est pas une maladie en soi. C'est juste une caractéristique à surveiller :)
44 ans 2506
isonami a écrit:
OK Annel, tu as fait un parcours du combattant en voyant plein de médecins, et au final quoi : tu en as trouvé un avec qui tu avais le feeling et tu te sentais en confiance.
Ca, ce n'est pas un critère de choix d'un endocrino, mais celui d'un médecin référent qui peut être un médecin généraliste.

Et il t'a découvert tes OPK, super. Ca t'inquiète, tout comme pouet.

Mais ça t'inquiète pour quoi au juste ? Nan parce que des OPK, ce n'est pas une maladie en soi. C'est juste une caractéristique à surveiller :)


Ca m'inquiète parce que je sais que ça peut influer sur certaines choses, à long terme, même si par avance on ne sait pas, simplement. Et ça me soulage en même temps parce qu'on a trouvé la "cause" de certains problèmes, voilà tout.

Bien sûr que ce n'est pas un critère de choix, je n'ai jamais dit le contraire, j'ai toute confiance en mon médecin traitant aussi, je parlais juste de ce que j'avais vécu, et comment je l'ai vécu.
782
re !

depuis que j'ai des OMPK, j'ai du cholesterol, alors que je n'en ais jamais eu avant...
Est-ce lié ???
782
y'a t'il parmi vous des filles qui ont retrouvé leur poids de forme suite au traitement ?
B
46 ans Là ou nous sommes pauvres mais fiers lol 2300
Bonjour pouet!

Nombre de femmes ont des opmk (kystes autour des ovaires) et cela est normal mais seulement une partie d'entre elle en ont les effets secondaires decris et à divers degrés.
Ainsi meme si on voit à l'echo des kystes chez certaines femmes, elles n'ont pas forcement tout le cortege de symptomes sympas qui vont avec.

Les ompk sont embetant surtout à partir du moment ou tu essayeras de concevoir. En effet, ne pas ovuler, ça peut poser un probleme :lol:
Mais je le rappelle, chaque femme etant differente il faut voir si ces kystes ne sont pas un element isolé et si il n'y a vraimant pas d'ovulation naturelle.

Pour l'instant ne t'embete pas trop avec.
Par contre on peut te proposer des traitemetn symptomatiques pour les symptomes associé.
PAr ailleurs, le fait d'être sous pillule, donne un cycle regulier et surtout mets au repos ces ovaires qui font n'importe quoi. Perso sous pillule, je n'ai plus mes douleurs insoutenables de regles.



Je suis une ompk au stade le plus avancé et presente tous les symptomes physiques et endocrinien qui en resultent.
Cela ne m'a été diagnostiquée qu'après 1 ans et demis d'essais bébé infructueux. J'avais tous les signes mais gygy ne s'en ai jamais inquieté et a attendu pour faire une echo qui a été au final l'element diagnostique manquant.

Tu as une chance de le savoir maintenant, car le jour ou tu seras prêtes, tu sais deja sur quoi travailler avec gygy.


Mon gynecologue spécialisé en procréation medicalement assisté m'a dit que la cause des ompk meme n'etait pas evidente a trouver... Un peu l'oeuf et la poule entre le poids et les kystes.



En ce qui concerne le glucophage, les spécialistes ayant decrit un lien entre resistance insuline et ompk ont fait des études montrant que metformine + traitement inducteur de l'ovulation etait plus effcicace que traitement inducteur seul.
par ailleurs, le fait que le sucre passe mieux dans le sang, lui permet aussi d'être mieux eliminé et non stocké comme le fait habituellement une ompk vu que son corps ne permet pas à l'insuline de l'eliminer en temps normal, d'ou stockage et jolies reserves un peu partout.
Dans certains cas, le mien par exemple, surveillance alimentaire + glucophage m'ont fait fondre.





En resumé, si certains symptomes t'embetent en ce moment, voit avec ton medecin ce que tu peux y faire. Le jour ou tu voudras un enfant parles en avec gygy pour demarrer les examens peut etre plus vite que n'importe qui. Cela te seras peut etre plus long que d'autres mais le savoir avant peu etre un bon point.
Sache que si ils t'empechent vraiment d'ovuler, la medecine moderne permet maintenant beaucoup de chose et j'en suis l'exemple: anovulation (absence totale d'ovulation) et finalement enceinte de mon 2e enfant.
B I U