Voici une histoire vraie par laquelle une Dame ronde me fit découvrir l'indissociable lien qu'il y a entre plaisirs du corps et de l'esprit .
J'avais presque 16 ans, pour
les vacances de Pâques et d'été, mes parents me chargeaient de tenir compagnie et assister une cousine qui avait perdu quelques mois auparavant son époux dans les mines des Cévennes.
Cette dame seule et sans enfants, Paulette, était cardiaque. Elle avait néanmoins décidé de vivre en Lozère dans sa maison natale après avoir vendu ses biens de la Grand Combe; son village est éloignée d'une dizaine de kilomètres du mien. Suite au décès de son époux, elle avait en plus fait une dépression nerveuse et restait sous traitement. Ainsi, mon rôle consistait à lui apporter de l'aide et prévenir rapidement en cas de problème.
Paulette était une femme de taille moyenne, la cinquantaine bien sonnée, avec un visage poupin et doux, des yeux presque noirs, les cheveux mi longs châtains avec quelques fils de neige, la peau blanche et d'un grain très tendre. Par-dessus tout, Paulette était ronde. Elle possédait une très forte poitrine, de larges hanches, un joli ventre rond, des jambes fortes mais merveilleusement musclées, des épaules toutes en courbes et des bras un peu enveloppés certes, mais qui donnaient à l'adolescent que j'étais l'envie de s'y blottir.
Je passais les vacances de Pâques en sa compagnie, sans que rien ne se passe entre nous, pas le moindre signe de sensualité, simplement de la tendresse ponctuée cependant par une autorité qui reléguait mes envies aux plaisirs solitaires des jeunes coqs le soir au fond de leur lit froid.
L'été vint. Je repris mon rôle chez Paulette.
La veille de Pentecôte, elle tua un gros poulet pour le repas du lendemain car mes parents devaient venir nous rendre visite. Ayant conservé le sang de la volaille, elle l'apprêta le soir avec du pain et des oignons, une recette courante en Lozère de laquelle je raffolais.
A trop en manger, la nuit je fus malade. Le lit, mes vêtements rien ne fut épargné.
En colère, Paulette me fit faire une sérieuse toilette. Lasse de sa journée, elle n'eut pas le courage de refaire ma couche et m'invita à partager pour un soir la sienne.
Pour dormir elle portait une ample chemise décolletée en coton blanc, boutonnée sur le devant.
Impressionné par cette présence, à cause de la peine que je lui avais donnée, mais aussi parce que je ne portais qu'un slip, je me tenais le plus éloigné possible d'elle, à la limite de tomber du lit.
Elle s'en aperçut, et se mit à rire. Pour apaiser ma crainte, elle me prit dans ses bras, me donna un petit baiser sur la joue et restant ainsi me demanda de dormir.
Dieu quelle nuit !
Pressé contre son corps chaud et abandonné, je ne fermais les yeux que tard dans la nuit. Me réveillant à l'aube, une érection douloureuse ornait mon entrecuisses, impossible à dissimuler car plus léger qu'elle j'avais roulé contre son flanc de sorte que mon sexe durcit portait contre son ventre. Pour couronner le tout, deux boutons de sa chemise s'étaient ouvert m'offrant un spectacle de choix que je convoitais furieusement : ses magnifiques seins dont je distinguais maintenant la naissance d'une aréole.
J'avais envie de saisir ces trésors mais une corde invisible nouait ma main. Alors, après m'être assuré qu'elle dormait profondément je surmontais ma honte et d'un doigt léger repoussais le peu de tissus qui couvrait son téton.
Je me souviens de cet instant comme s'il avait eu lieu ce matin.
Les minutes s'égrenaient et je restais là figé à contempler cette merveille sans oser la toucher, sans voir surtout que Paulette depuis longtemps était éveillée, m'observait et avait permis que je dévoile son sein.
Elle me repoussa doucement, fit sauter quelques boutons de plus, se tourna vers moi et pris mes mains dans les siennes.
Sans dire un mot, elle les appliqua sur son énorme poitrine et par geste me guida pour que je la caresse, tantôt avec fermeté, tantôt doucement en suivant les fabuleuses courbes de ce symbole de féminité et de fertilité. Après un temps, elle retira une de mes mains, saisit un de ses mamelons et le pressa. Je sentis alors une chaude humidité sur mon bras et d'autorité, elle pris ma tête, positionna ma bouche sur son sein et pressa à nouveau. Je saisis immédiatement le goût délicat de son lait et me mis à la téter doucement.
Elle me l'expliqua plus tard, son traitement pour les nerfs avait des effets secondaires, celui ci notamment, qu'elle avait entretenu régulièrement par la suite provoquant ainsi de régulières montées de lait.
Sais-tu ce que c'est d'avoir un volcan dans le ventre ? Ce jour là je l'ai éprouvé …
Excité comme un fou je voulus prendre des initiatives désordonnées mais elle me demanda de me calmer.
Elle me dit alors que je devais apprendre, la peau, le ventre, " son dedans" mais que si quelque part désormais elle m'appartenait un peu, je devais "la mériter", être capable de produire pour elle avec mon cœur au moins autant que ce que mes testicules eux d'instinct voulaient produire.
Elle se leva, m'embrassa sur la bouche, saisit mon index droit et me fit sentir l'humidité de sa vulve puis s'éloigna en souriant. Elle eut alors une parole dont j'ai oublié les termes précis qui réaffirmait qu'elle était mienne mais que je devrais attendre le soir, que mon plaisir en serait décuplé.
Elle voulais aussi que je la regarde tout au long de la journée, que j'imagine son corps bouger sous ses vêtements, au gré des diverses postures quelle prendrait, mais avec la stricte obligation de ne rien laisser comprendre à ma famille qui venait la voir, sinon tout serait fini.
Un dimanche d'enfer.
Le soir venu après le dîner, mes grands-parents mon père ma mère et mon frère, nous laissèrent à nouveau seuls.
Trop coincé pour entreprendre quoique ce soit j'attendais, assis comme un benêt sur ma chaise, à la table, sous la lampe centrale de la cuisine.
Paulette acheva rapidement la vaisselle puis sans un mot me demanda de l'attendre. En fait elle était allée à la salle de bain, pour une toilette qui devait par la suite me permettre de visiter toutes les "portes" de son corps.
Elle revint en robe de chambre et me dit qu'elle allait m'apprendre l'Amour, la Femme et l'Homme aussi. Sans attendre elle laissa glisser sa robe de chambre et vint appuyer son ventre nu contre mon épaule.
Elle se mit a m'expliquer comment était réellement faite une femme avec une précision extraordinaire, des mots d'une sensualité folle, puis s'assit sur la table en face de moi, écarta ses cuisses pour me révéler sa "bouche d'en bas". Très velue elle me fit écarter ses lèvres me fit voir son clitoris et me guida pour le caresser, du doigt d'abord, de la pointe de la langue ensuite, puis de la langue entière.
Elle s'ouvrit ensuite encore plus largement et m'indiquant l'entrée de son vagin me guida pour que j'y introduise mon index, puis avec lui le majeur, le tout accompagné de phrases dans lesquelles elle me disait son plaisir et l'envie de me mettre tout entier dans son ventre.
Je la pris ainsi, après une toilette faite au robinet de la cuisine, ma verge doucement glissa dans la chaleur de son écrin féminin, mes mains crispées sur ses seins desquels perlaient régulièrement une petite goutte de son élixir nourricier, ma langue collée a la sienne dans un baiser à la tendresse infinie
Très vite cependant je jouissais, en juvénile puceau que j'étais, sans pouvoir maîtriser plus longtemps le flux de mes hormones martyrisées.
Quelques secondes, Paulette attendit, puis elle me repoussa en me disant " Je t'aime, pas pour un jour, pas pour toujours, pour l'amour que nous venons de faire et celui que nous ferons encore…"
D'un doigt léger elle cueillit une larme de sperme qui brillait sur sa toison brune et la porta à sa bouche en faisant - .." mmmmh que tu es bon…"
Je ne sus rien répondre, mais à cet instant je compris le sens du terme "fusionnel", dans ce qu'il nous donne lorsque nos corps et nos cœurs se mélangent..."
Voilà, si vous trouvez ces mots sympas, ou si au contraire ils vous semblent mauvais , faites moi un petit message.
@+
La fripouille.