60 ans
Région parisienne
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Candy9 a écrit:
Je n'ai pas encore été voir le lien, mais merci :)
C'est vrai qu'il y a aussi beaucoup de culpabilité, par-rapport au cadet. BB surprise, bb miracle, j'étais folle de joie. Et la seule à l'être... Déjà c'est ici que j'ai trouvé soutien et réconfort. Zhôm ne voulait pas d'un 2ème et mon entourage me considérait comme folle, vu mon âge. Si ce loupiot est là c'est que j'ai vraiment tenu tête pour le conserver.
Aujourd'hui son père l'adore et le petit le lui rend bien mais.... notre couple bat de l'aile.
Je sais que c'est à moi de prendre le taureau par les cornes. A moi de trouver les mots qu'il faut. Mais que c'est difficile !
Pommedereinette, je n'avais même pas remarqué ton âge ;)
Du coup je compatis encore plus car, contrairement à angottoise (merci pour ton message si gentil), je ne suis pas persuadée que ce soit plus facile quand on a des enfants à l'âge où on raisonne. Personnellement, j'avais tout de même plus d'énergie il y a quinze ans que maintenant... et puis avoir des enfants alors qu'on est bien installé dans la vie, c'est un bouleversement autrement plus épouvantable qu'à 20-25 ans, un âge où on est en phase d'installation et où le changement est encore intégré dans notre mode de fonctionnement.
Dans le cas où le désir d'enfant était très fort, et qu'on ait ENFIN cet enfant sur le tard, il peut s'ajouter la culpabilité de ne pas être béate de bonheur une fois qu'il est là. Moi je n'avais que 30 ans à la naissance de ma première fille, mais j'ai du subir un traitement hormonal pour tomber enceinte et pendant toute la phase de recherche ("pourquoi ça ne marche pas") j'ai énormément craint d'être stérile; du coup j'ai désiré ce bébé avec l'énergie du désespoir et ensuite j'ai culpabilisé à mort d'être malheureuse après sa naissance, en me demandant ce qui n'allait pas, chez moi, bon sang.
Tu pourrais peut-être jeter un coup d'oeil ici:
http://www.maman-blues.fr/, tu verrais que tu n'es pas la seule, que c'est un problème de plus en plus reconnu et qu'il existe des solutions autres que d'envoyer tout par dessus les moulins :) ...
Du coup je compatis encore plus car, contrairement à angottoise (merci pour ton message si gentil), je ne suis pas persuadée que ce soit plus facile quand on a des enfants à l'âge où on raisonne. Personnellement, j'avais tout de même plus d'énergie il y a quinze ans que maintenant... et puis avoir des enfants alors qu'on est bien installé dans la vie, c'est un bouleversement autrement plus épouvantable qu'à 20-25 ans, un âge où on est en phase d'installation et où le changement est encore intégré dans notre mode de fonctionnement.
Dans le cas où le désir d'enfant était très fort, et qu'on ait ENFIN cet enfant sur le tard, il peut s'ajouter la culpabilité de ne pas être béate de bonheur une fois qu'il est là. Moi je n'avais que 30 ans à la naissance de ma première fille, mais j'ai du subir un traitement hormonal pour tomber enceinte et pendant toute la phase de recherche ("pourquoi ça ne marche pas") j'ai énormément craint d'être stérile; du coup j'ai désiré ce bébé avec l'énergie du désespoir et ensuite j'ai culpabilisé à mort d'être malheureuse après sa naissance, en me demandant ce qui n'allait pas, chez moi, bon sang.
Tu pourrais peut-être jeter un coup d'oeil ici:
http://www.maman-blues.fr/, tu verrais que tu n'es pas la seule, que c'est un problème de plus en plus reconnu et qu'il existe des solutions autres que d'envoyer tout par dessus les moulins :) ...
Je n'ai pas encore été voir le lien, mais merci :)
C'est vrai qu'il y a aussi beaucoup de culpabilité, par-rapport au cadet. BB surprise, bb miracle, j'étais folle de joie. Et la seule à l'être... Déjà c'est ici que j'ai trouvé soutien et réconfort. Zhôm ne voulait pas d'un 2ème et mon entourage me considérait comme folle, vu mon âge. Si ce loupiot est là c'est que j'ai vraiment tenu tête pour le conserver.
Aujourd'hui son père l'adore et le petit le lui rend bien mais.... notre couple bat de l'aile.
Je sais que c'est à moi de prendre le taureau par les cornes. A moi de trouver les mots qu'il faut. Mais que c'est difficile !