En plein milieu d'une sombre caverne un farfadet arriva. Il portait un vieux pantalon degueu qui avait fait la guerre 14 ainsi qu'un bonnet style bucheron dendrophobe.
Il se dandinait joyeusement en chantant la zoubida comme son idole en se tordant de rire et en scrutant les murs humides,dégoulinants de moisissures. Quand soudain, un grand farfadet-garou apparut et se rua sur lui en le menaçant d'une énorme carotte atomique et d'une battaclourouilles.
Notre farfadet, courageux affronta le farfadet-garou à l'aide d'une battes à clous que Lythys lui avait gentillement prété en échange d'une nuit de ménage complet de sa maison. Mais le farfadet-garou hurla quand il vit une luciole géante dans un tank, furieuse d'avoir été volée par un canard à 3 pattes. La luciole était amoureuse du farfadet depuis 100 ans. Elle avait un nom Carmen, et elle adorait l'opéra, chantait comme une casserole trouée et dansait aussi mal. Bref, une vraie calamité ambulante. De plus elle possédait des boutons putrides sur son hideuse face qui la faisait avoir l'air d'une pizza au chorizzo.
Quand soudain le farfadet sauta très haut pour égorger à coup de batteaclous le caniche nain avec des poils raides qui sortit soudainement de la poche arrière droite du chasseur fou de la fôret magique dans le pays imaginaire.
Le fin fond du camion pompier qui etait rouge etait si étrange et si enflamé que le pompier avec le farfadet criait "au feeeeuuuuu" et là un chat de l'espace débarque avec son tobor et shoote impitoyablement le precepteur des impots qui se redressa et se mit sans pantalon et secoua frénétiquement sa petite et jolie queue de cheval quand soudain il vit arriver un boudin vert fluorescent sifflotant du telephone portable tri-bande GSM avec option grille pain et cafetiére theiére, râpe à cors ; qui se touchait frénétiquement l'épaule gauche, et bavait de temps à autre en surveillant néanmoins la toute petite tranche de jambon chantante accompagnée de 3 nains rouge.
Arrive un teckel, qui croit etre Musclor et fait l'autruche en plantant sa tête dans le sable. Et pendant un tout petit instant, tout le monde se mets à courrir vers la place du village où se trouve le roi des cons et aussi
le boulanger, qui récement avait enfourné des croissants au chocolat et des petits pains aux raisins
Ce chien était précisément sur le point de faire un gros pipi tout jaune sur les chaussures du facteur, qui de dépit pris le chien par sa laisse puis le balança et l'envoya alors sous les roues .
on entendit alors un grand cri provenant du bout , c'etait le cri du navet sauteur dont j'étais amoureuse et qui me donnait envie de lui faire tout pleins de patins couffins.
Donc je pris mon pendule pour vérifier s'il était toujours libre comme l'air
Et là HORREUR!!!!!
Je le vis sa braguette ouverte et là...un serpent vigoureux se faufila entre la cuisse de ce grand et surtout trés méchantJean Pierre Raffarin mieux connu sous Ginette, sa maitresse
Tout a coup: "Oh Ginette, encore!" (ah, enfin un peu de sesque) Mais Ginette, qui cachait son jeu mais pas sa Chemise de nuit
se mit à danser la gigue .
Auprès de là... gambadait le terrible Nicolas Sarkozy qui pétait une durite car il n'avait pas eu sa portion de frites. Il faut dire qu'il était en habit de clown et ressemblait à un roquet malfaisant.
La belle Ginette qui dansait toujours la guigue en secouant la tête, le vit, et sabots et chemise grande ouverte sur cette vision apocalyptique s'en alla faire pipi au bois .Sur le chemin elle rencontra Jean-Marie ,dit Le Borgne , qui lui dit : " Beeuaaaarh ma dame!!! Je suis laid et pue du fion mais je pense que j'ai le diplome du parfait connard. En plus je suis une vraie bête ,je suis poilu, , une bete de concours. En effet j'ai gagné le prix du plus beau bovin de toute la contrée".
Ginette, consternée pris la fuite laissant en plan le pauvre Jean-Marie,qui pris de diarrhée néphrétique et plus si affinités, de vomissements répétés
dans sa chaussette et tomba dans la fosse à purins du coin se trouvait un gardien de mille et une nuits sans lendemain ni surlendemain ou autre semaine année mois passèrent et un décennie siècle millénaire ères, et il finit par