En lisant l' article puis la discussion qui en découle, je ne peux m' empêcher de songer à une copine qui évoquait son pensionnat chez les soeurs il y a déjà quelques dizaines d' années..
Elle faisait cas des bonnes soeurs qui posaient des questions si insinueuses que cela finissait par susciter la curiosité chez des jeunes filles qui ne songeaient pas du tout à cela.
Cette parenthèse refermée, quelle solution proposez-vous ?
"Couper l' herbe sous le pied" de ce véritable matraquage dont sont victimes les enfants et pré-adolescents en décidant d' en parler AVANT ? ( mais à quel âge ?...)
Ne pas s' engager de peur de commettre une erreur....Ou bien de se retrouver avec un travailleur social sur le dos parce que l' enfant aura parlé de choses en citant ses parents ?
Réclamer une réelle censure afin qu' il faille vraiment une démarche de la part de l' enfant/l' adolescent pour accéder à certaines choses ?
Une phrase m' a attristé : "Avant, on était en amour et on avait des pensées cochonnes. Maintenant, les jeunes baignent de façon extrême dans le sexe, le génital, et ils ont des fantasmes amoureux !"
Adolescent, c' est en regardant les mains blanches, fines et soignées d' une fille de mon âge, que j' ai compris l' indécence dont pouvait faire preuve George Sand, refusant de porter des gants....
Cela serait dommage que les prochaines générations ne comprennent pas cela.