blueberrycat a écrit:je suis à 80%, chéri est en cdd, je ne peux pas bosser moins.
sinon je l'aurais fait... ;)
Moi aussi, je l'aurais fait si j'avais pu... mais bon, c'est ça ou revendre la maison... :? Tu me diras, c'est un choix aussi! :lol:
Je crois qu'on se sent plus coupable de travailler si on a voulu arrêter mais que les circonstances nous en ont empêché. Ma copine, elle, elle aurait pu s'arrêter de bosser (son mari gagne bien sa vie) mais elle a choisi de ne pas le faire, du coup, elle culpabilise beaucoup moins que moi, et quand la nana de la garderie lui a dit qu'elle devrait arrêter de travailler, elle l'a envoyé paître sans complexe... Moi, j'aurais culpabilisé à fond et du coup, je ne suis pas sûre que j'aurais pu lui répondre... :roll:
Zolaa a écrit:J'ai une interrogation sur laquelle vous voudrez bien m'éclairer: toutes ces p*tasses des crèches et autres qui font culpabiliser les mères qui travaillent (pas les autres, hein, seulement les culpabilisatrices). Heu...elles travaillent aussi, nan? Donc je vois pas trop comment elles peuvent se permettre de juger vu qu'elles font exactement la même chose.
Peut-être qu'elles se sont arrété de bosser quand leurs enfants étaient petits, et qu'elles ont repris le boulot après? J'ai remarqué que les personnes qui avaient réussi à faire un truc étaient souvent moins tolérantes: par exemple, la fille qui a allaité trouve que c'est trop facile et que toutes les mères peuvent le faire, celle qui a accouché sans péridurale pense que les douleurs de l'accouchement sont supportables avec un peu de volonté...etc...