49 ans
Paris
9874
chapinette a écrit:
La capacité à préférer peu mais bon plutôt que beaucoup et moyen, ou la capacité à remettre à plus tard une dégustation car les conditions optimales ne sont pas là. Le gourmand est capable, non de manger sans faim, mais de ne pas manger malgré la faim (et pas par culpabilité, mais par volupté). Le gourmand n'est pas celui qui attrape un gâteau pour grignoter dans l'après-midi, c'est celui qui organise ses plaisirs (cf. "Le Cousin Pons" de Balzac... excellent ouvrage!!!).
Pour moi la gourmandise est indissociable de l'idée d'un palais éduqué (ou plutôt, en éducation). Elle ne se détache pas de l'idée de curiosité et de découverte pour une part, et se fait en savourant d'autre part, en comprenant bien ce qu'il y a derrière ce terme savourer (les notions de faim façon RA n'y sont pas étrangères).
Quelle est votre définition de la gourmandise, aux uns et aux autres ?
Quelle est votre définition de la gourmandise, aux uns et aux autres ?
La capacité à préférer peu mais bon plutôt que beaucoup et moyen, ou la capacité à remettre à plus tard une dégustation car les conditions optimales ne sont pas là. Le gourmand est capable, non de manger sans faim, mais de ne pas manger malgré la faim (et pas par culpabilité, mais par volupté). Le gourmand n'est pas celui qui attrape un gâteau pour grignoter dans l'après-midi, c'est celui qui organise ses plaisirs (cf. "Le Cousin Pons" de Balzac... excellent ouvrage!!!).