108919 a écrit:Elle disait vouloir se rapprocher de sa mère qui selon elle ne voyait pas assez les enfants, pourtant elle les voyait tous les mois ou tous les 2 mois.
Ce qui n'est pas si énorme.
Et puis elle se disait malheureuse avec moi sans détail supplémentaire alors que je ne voyais pas ce qui la rendait malheureuse à part ne pas voir plus souvent sa mère, son frère et sa meilleure amie. Mon avis est que c'est une personne instable et voulait tout plaqué pour faire plaisir à sa mère avec qui je ne m'entendais pas de toutes façons.
Alors, y a rien de plus chiant, en tant qu'avocate, dans les divorces, que les gens qui ressassent leur ressentiment vis à vis de leur ex. C'est pour ça que je ne fais quasi pas de divorce: faut se coltiner la psychologie des clients, les récriminations contre leur ex, ça me gave. Donc, un bon conseil: on n'en a plus rien à foutre de qui voulait quoi et de pourquoi vous êtes séparés, est ce qu'elle avait tort, raison, etc Ce genre de propos devant le JAF ne vous servira pas, ce qu'il faut c'est démontrer que vous vous préoccupez de l'avenir des enfants, et que vous pouvez passer au dessus de vos différents pour cela.
Ma mère avait essayé de la convaincre que c'était mieux pour les enfants qu'elle attende la fin de l'année scolaire mais la connaissant il faut que tout se passe tout de suite et ça n'a pas raté...
En même temps j'essaye de trouver une raison que si elle n'avait pas pu les changer d'école, ça l'aurait mis dans une rage monstrueuse (elle est toujours arrivé à ses fins) car évidemment elle aurait su que c'est moi qui avait mis mon véto et ensuite elle m'aurait pourrie la vie jusqu'au bout...
Je n'ai pas totalement compris la phrase en gras. Mais il me semble que vous êtes dans une posture d'opposition de toutes façons. Oui, elle n'aurait pas dû changer les enfants d'école sans vous en parler. Néanmoins, il n'empêche qu'une posture de refus a priori et d'opposition de principe ne plaide pas pour la prise en compte de l'intérêt de l'enfant.