50 ans
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Je ne pense pas que les asexuels le sont car il y a une débauche de sexe dorénavant. C'est vrai qu'il y en a partout (internet, télé, affiche) et n'est plus un tabou, je le ressens fortement au travail notamment. A la limite cette "exhibition" du sexe peut être très perturbante pour une personne n'est pas dans "le circuit" en clair qui n'a pas de vie sexuelle.
La deuxième partie est plus convaincante lorsqu'un psychianalyste insiste sur le fait que l'homme peut avoir des incertitudes sur sa capacité à plaire. Cela peut effectivement pousser à la passivité et donc ne pas rencontrer de partenaire. Cela est conforté par le fait que comme il le signale l'homme peut penser que la femme est devenue plus exigente à tort ou à raison mais des statistique abondent en ce sens. Quand par exemple j'entends que la moyenne en Europe de divorce est de 44% ca n'incite pas à croire dans la notion de couple.
Dans une époque pas si lointaine (génération précédente)la femme était parfois prisonnière de l'homme du fait notamment de son statut social de femme au foyer. Maintenant de plus en plus de femmes travaillent et les allocations familiales ont été revalorisées et il est tout à fait possible de vivre en solo en élevant ses enfants. Mais c'est à l'homme de s'adapter à cette évolution positive.
Cependant pour en revenir aux asexuels, je pense que pour la plupart ils doivent ressentir une certaine frustation. En fait je pense plutôt qu'ils souffrent d'une incapacité à aller vers l'autre pour de multiples raisons plutôt que le fait que cela soit un choix mais si cetains le revendiquent.
La deuxième partie est plus convaincante lorsqu'un psychianalyste insiste sur le fait que l'homme peut avoir des incertitudes sur sa capacité à plaire. Cela peut effectivement pousser à la passivité et donc ne pas rencontrer de partenaire. Cela est conforté par le fait que comme il le signale l'homme peut penser que la femme est devenue plus exigente à tort ou à raison mais des statistique abondent en ce sens. Quand par exemple j'entends que la moyenne en Europe de divorce est de 44% ca n'incite pas à croire dans la notion de couple.
Dans une époque pas si lointaine (génération précédente)la femme était parfois prisonnière de l'homme du fait notamment de son statut social de femme au foyer. Maintenant de plus en plus de femmes travaillent et les allocations familiales ont été revalorisées et il est tout à fait possible de vivre en solo en élevant ses enfants. Mais c'est à l'homme de s'adapter à cette évolution positive.
Cependant pour en revenir aux asexuels, je pense que pour la plupart ils doivent ressentir une certaine frustation. En fait je pense plutôt qu'ils souffrent d'une incapacité à aller vers l'autre pour de multiples raisons plutôt que le fait que cela soit un choix mais si cetains le revendiquent.