37 ans
Bordeaux
739
J'en avais déjà parlé assez longuement sur mon post concernant la psychothérapie, mais franchement, je pense que dans tous les cas d'obésité ou de surpoids importants, la part psychologique est prédominante.
Je veux dire par là qu'en cas de surpoids lié à pathologie "autre" (sous-entendu sans problème de rapport avec la nourriture), la restriction calorique ne devrait pas être compliquée à gérer et donc la personne devrait perdre du poids assez facilement .
C'est quand le psychologique s'en mêle et que le rapport à la nourriture est compliqué que la restriction calorique est intenable sur le long terme sans faire un travail dessus.
Je pense vraiment que pour la majorité des gros, le point central est la gestion des émotions qui est mal faite / nécessite l'aide de la nourriture. Du coup, c'est un peu comme demander à quelqu'un de se passer de canne anglaise pour marcher : si sa jambe est réparée, ça peut le faire, sinon, non.
Je veux dire par là qu'en cas de surpoids lié à pathologie "autre" (sous-entendu sans problème de rapport avec la nourriture), la restriction calorique ne devrait pas être compliquée à gérer et donc la personne devrait perdre du poids assez facilement .
C'est quand le psychologique s'en mêle et que le rapport à la nourriture est compliqué que la restriction calorique est intenable sur le long terme sans faire un travail dessus.
Je pense vraiment que pour la majorité des gros, le point central est la gestion des émotions qui est mal faite / nécessite l'aide de la nourriture. Du coup, c'est un peu comme demander à quelqu'un de se passer de canne anglaise pour marcher : si sa jambe est réparée, ça peut le faire, sinon, non.