j'en penses que tu as complétement raison :roll: , et ça je le sais, c'est ce que je me dis toutes les nuits, et la seule chose qui me semble pouvoir m'aider c'est d'aller voir un thérapeute, mais pas maintenant, je le ferais oui, mais quand je pourrais me détacher de ma famille et que financièrement j'aurais les moyens, je pense que ce n'est que là que tout va s'arranger. donc en attendant j'essaies de traiter le résultat de cette angoisse, ce que je ne comprend pas, c'est pourquoi cela prend une telle ampleur, je SAIS que je m'écoutes trop, mais ça m'arrive seulement depuis que je suis sur VLR :oops: j'explique pourquoi: avant VLR je reniais tout ce qui touchais à mon corps, et je n'ai jamais été malade sauf bien sûr les rares grippes annuelles, mais depuis VLR, j'ai appris à "sentir" mon corps, à "savoir" que j'existe, et je pense que quelque part dans le processus de l'acceptation de soi quelque chose a déraillé, j'en suis consciente.
et je sais aussi que je postes trop sur le forum pour mes maux, non en fait soyons sincère, je n'ai jamais posté de messages pour autre chose que mes "problèmes" de santé. j'ai battu mon record de visites chez le médecin ce mois ci (quelques 5 ou 6 fois ), et j'ai honte pour ce que je fais subir à ma famille, les parents payent médecin et médicaments et ne font aucun commentaire là dessus, ils veulent me montrer qu'ils sont là pour moi, mais tout les soirs, au moment de prendre ce comprimé d'anxiol que mon médecin tient tant que je prennes, je me demandes si je ne ferais pas mieux de prendre tout le flacon pour en finir avec tout ça (attention je ne dis pas que je vais le faire et je n'attends pas de compation de votre part, j'essaies juste d'être sincère).
il n'y a que la vérité qui blesse, mais ton message jazz explique bien la situation, et je suis touchée de la patience de tout les VLRiens qui me lisent et me répondent, car je sais très bien que
j'en fais trop , et puis je me dis que c'est peut être une "transition" entre la fille réservée qui s'est négligée et entre la femme que je vais devenir. la vie est loin d'être facile, et j'ai peur de ce qui m'attends là bas, à l'extérieur de ma chambre. j'aimerais vraiment croire que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, mais vous ne pouvez pas savoir combien je suis terrorisé en pensant que je suis entrain de devenir comme mon ancienne meilleure amie: une fille qui "s'écoute trop", j'essaies tant bien que mal de pas faire ch*** les gens avec mes problèmes mais je n'y arrive pas apparamment.
je m'excuse, réellement :oops: