il faut bien un avis inverse, et scandaleux alors je me lance!
la douleur physique n'est rien comparer a la douleur psychique...
l'auto-mutilation est une solution au bien etre, comme une saigné...c'est un peu comme mordre sa manche lorsque quelque chose nous fait vraiment souffrir...
apres s'etre mutiler,ce n'est plus de la douleurs que l'on recent mais du soulagement voir meme parfois de la fierté :
"j'ai supporter cela, alors je supporterai le reste!"
"je ne suis pas si faible !"
l'auto-mutilation est nécessaire... on dit bien un esprit saint dans un corps saint?
or, ici nous avons une notion d'équilibre!
l'auto-mutilation serai alors une sorte d'équilibre entre un corps en souffrance et un esprit en souffrance.
Néanmoins, la douleur physique est une drogue, mais pour en ressentir les effets il en faut toujours plus...
il y a quelques moi de cela, j'ai commencer a me mutiler (inconsciemment), avec tout dabors la classique lame de rasoir, mais n'étant pas douillette de nature, la douleurs ne me suffisait pas, s'était comme donner un doliprane a un adept de la morphine, alors j'ai sorti ma lame de cran-d'arret, et je l'ai chauffer au briquet et me suis piquer les avant bras, mais cela c'est révélé vite indolors...alors me voila partit sur les zones les plus sensible du corps ... mais cela ne me satisfaisait plus, alors je laissai la lame de plus en plus longtemps sous la flamme et sur mes bras ... jusqu'au jour ou j'ai été trop loin... et que a travers mes pulls les cloques se voyaient et que la plus profonde éclata et colla a mon pull, bien entendu étant en cours j'ai attendu le soir pour décoller mon pull, rien a faire il était coller,j'ai arracher, c'était une plaie creuse, pas de sang mais presque l'os, j'avais réussi plus besoin de bruler d'autre endroit cette blessure m'offrai la douleurs au dela des mes préscription. le lendemain, la plais suppurai a travers le pull, ma soeur le découvri et je me suis pris la plus grosse gifle de ma vie, elle a prévenu ma mère qui a refuser de m'accompagner a l'hopital, du coups c'est ma soeur qui m'y a ammener de force ... resultat une menace d'enfermement de la part du psy des urgence et une cicatrisation de plusieur moi, et pour finir d'énorme cicatrice sur chaque bras qui me resteront a vie.
désormais j'ai arreter de me mutiler, ma soeur me surveille réguliérement et inspect toute les parties de mon corps...
j'ai pris concsience que pour ma famille, je préférai souffrir a l'interieur histoire de les préservers.
en conclusion, les gens se conforment a ignorer la douleurs si elle n'est pas apparante... si ils ne sont pas témoin d'auto-destruction psychique, ils le sont d'auto-destruction physique...
pour cela je te le dit, je te comprend mais pense a la douleurs que tu vas suciter chez tes proches si ils découvrent que tu te fait du mal a toi meme, meme si hypocritement ils savent au fond que c'est du bien que tu te fait, ils ne pourront l'accepeter ...
sur ceux bon courrage ...