La police à l'école

L'exemple est certes extrême (normal, il vient des libérateurs des opprimés ayant du pétrole), mais la question se pose aussi en France (pour la Belgique, je ne sais pas, toutes les contributions sont bienvenues).

bon ce sujet me touche particulièrement....parce que pendant mes études, en tant que future enseignante, j'ai été amenée à faire un stage de quelques semaines dans un lycée professionnel...et dans ce lycée, pour des tas de raisons assez complexes et délicates, la police avait investi les lieux...en permanence!
alors en tant qu'enseignant je vous dirais que donner cours dans un bâtiment où l'on n'entrait qu'en montrant sa carte de prof m'a vraiment vraiment donné envie de changer d'orientation...
c'était il y a presque 15 ans et je m'en souviens encore comme si c'était hier :?

Lorene a écrit:
Ah je suis Suisse, je répond pas donc ;)

bon ce sujet me touche particulièrement....parce que pendant mes études, en tant que future enseignante, j'ai été amenée à faire un stage de quelques semaines dans un lycée professionnel...et dans ce lycée, pour des tas de raisons assez complexes et délicates, la police avait investi les lieux...en permanence!
alors en tant qu'enseignant je vous dirais que donner cours dans un bâtiment où l'on n'entrait qu'en montrant sa carte de prof m'a vraiment vraiment donné envie de changer d'orientation...
c'était il y a presque 15 ans et je m'en souviens encore comme si c'était hier :?

pendant mes études, en tant que future enseignante, j'ai été amenée à faire un stage de quelques semaines dans un lycée professionnel...et dans ce lycée, pour des tas de raisons assez complexes et délicates, la police avait investi les lieux...en permanence!
alors en tant qu'enseignant je vous dirais que donner cours dans un bâtiment où l'on n'entrait qu'en montrant sa carte de prof m'a vraiment vraiment donné envie de changer d'orientation...

Un lycéen américain ouvre le feu dans son école: au moins 10 morts
WASHINGTON (ATS)
Neuf personnes ont été tuées et treize blessées par un élève américain qui a ouvert le feu dans un lycée et une habitation de la réserve indienne de Red Lake, dans le Minnesota. Le tireur s'est ensuite donné la mort.

Il s'agit de la fusillade la plus grave dans un établissement scolaire américain depuis la tuerie du lycée de Columbine (Colorado), qui avait fait 14 morts en avril 1999.

A Red Lake, un agent de sécurité, une enseignante et cinq élèves ont été tués, a déclaré Paul McCabe, agent du FBI. Le policier a précisé que le jeune tireur avait en outre abattu ses grands-parents avant de se rendre au lycée où il s'est suicidé après la fusillade.

"Nous pensons que le tireur a agit seul", a poursuivi M. McCabe, précisant que toutes les victimes au sein de l'école se trouvaient dans la même salle de classe. Selon des témoins, le jeune homme a tiré sur les portes de plusieurs salles, barricadées par des élèves et des professeurs terrorisés.

"L'un des étudiants m'a dit qu'il avait d'abord pointé son arme en direction d'un garçon, puis qu'il avait changé d'avis, lui avait souri et fait un geste avant de tirer sur quelqu'un d'autre", a expliqué Moly Miron, rédactrice en chef du journal "Bemidji Pioneer".

La police, que les élèves ont alertée à l'aide de leurs téléphones portables, a échangé plusieurs coups de feu avec le forcené avant qu'il ne se suicide. Il était armé d'un fusil et d'une arme de poing au moins, selon les témoins.

Les autorités et le FBI n'ont pas dévoilé l'identité et l'âge du tireur, qui était mineur. Le FBI a dit tout ignorer du mobile, mais l'un de ses camarades de classe a déclaré à une chaîne de télévision locale qu'il avait promis par le passé de "faire sauter l'école".

La réserve de Red Lake abrite la tribu Ojibwa, plus connue sous le nom de Chippewa, forte de 10 000 membres. Une moitié d'entre eux vit sur le territoire de la réserve, qui se trouve à une soixantaine de kilomètre de la frontière canadienne.

Le 12 mars dernier, un forcené avait abattu 12 personnes avant de se donner la mort au cours d'un service religieux près de Milwaukee, dans le Wisconsin. En 2003, un élève du lycée de Rocori, dans le centre du Minnesota, avait tué deux de ses camarades.