A
le drame de beigbeder tient à trois mots:
Brett
Easton
Ellis
j'entend par là qu'il se voudrait tel Ellis, un brillant satirtiste de notre société vaguement provocateur, mais en est bien incapable, faute de réel talent d'écriture.
Autant j'aime le critique littéraire (l'un des rares à donner envie de lire les bouquins plutôt que de toujours tout dénigrer... mais je ne vise aucun Arnaud Viviant en particulier), et je trouve assez noble sa façon d'introduire la littérature dans le panier de la ménagère via sa tribune dans Voici... autant, je pense qu'il confirme cette terrible réalité: les bons critiques ne font pas forcément de bons écrivains.
Brett
Easton
Ellis
j'entend par là qu'il se voudrait tel Ellis, un brillant satirtiste de notre société vaguement provocateur, mais en est bien incapable, faute de réel talent d'écriture.
Autant j'aime le critique littéraire (l'un des rares à donner envie de lire les bouquins plutôt que de toujours tout dénigrer... mais je ne vise aucun Arnaud Viviant en particulier), et je trouve assez noble sa façon d'introduire la littérature dans le panier de la ménagère via sa tribune dans Voici... autant, je pense qu'il confirme cette terrible réalité: les bons critiques ne font pas forcément de bons écrivains.