harper a écrit:oui je suis admissible à la RA de toute évidence.
Bon bah du coup les filles vos avis à l'une et l'autre sont tellement bons :P que j aurais bien du mal à choisir entre les deux ! (remarqué, chez moi c'est typique, pour choisir un parfum de glace il me faut 3h, c'est un dilemme fou)...
Je savais que la psychanalyse reposait sur le fait que le patient trouvait sa solution, mais j ai vraiment du mal à identifier comment se déroule une séance de thérapie par rapport à une séance de psychanalyse?
Dernière question : comment l'approche comportementale arrive t-elle à se combiner avec les cours de nutri? Les deux ne se contredisent jamais? Genre je schématise : j'ai envie d'un carré de chocolat, comme je suis une fille forte bien dans sa tête et dans son assiette, je peux en manger 1/2 tablette, mais j ai été opéré d'un bypass et je dois éviter le trop gras et le sucré pr la pérennité de mon intervention... Ca reste encore bien abstrait la RA pour moi :cry:
je crois que zermati préconise la RA avant l opération.
En effet, certaines personnes se rendent compte que peut etre elles n'ont plus besoin de se faire opérer, car
elles perdent un petit peu de poids (pas chaque fois)
font la paix avec la nourriture et leur corps ET arretent de grossir en mangeant ce qu'elles aiment
Par contre, je connais pas mal de bypassées et c'est vrai que celles qui font des dumping ne peuvent pas suivre leurs envies et ne le vivent pas toujours bien psychologiquement.
En effet, dans ma RA, il arrive que je puisse tout à fait consciemment me Réconforter, une fois que j'ai identifié l'émotion, affrontée, etc... Je choisis de m'apporter un petit moment de réconfort avec un aliment que j'adore.
je le prends comme un moment de plaisir et non plus comme la seule réponse possible à mon émotion trop forte. Je le mange tranquillement et sans culpabilité, il en est bien meilleur.
La seule chose que je fais par la suite c'est de réattendre d'avoir faim pour remanger et du coup pas de conséquence sur mon poids.
Du coup, de ne jamais pouvoir faire cela, sans le payer par un malaise, me serait difficilement envisageable (maintenant, pas avant).
Mais, il existe aussi des personnes qui ne font pas de malaises ou dumping, donc ne connaissent pas cela et le vivent bien par conséquent.
Pour la partie psy : la psychanalyste que j'ai vu, n'était pas psychiatre, elle ne parlait pas et dormait en gros et je pataugeais dans la yaourt.
la psychothérapeute que j'ai vu était psychiatre également et me laissait beaucoup parler, simplement qu'elle rebondissait sur certaines de mes phrases et cela m aidait à réfléchir ensuite à la maison.
DAns le fond, cela ressemble assez à ce que décrit ladybugette finalement.
Pour moi, il fallait que la personne soit psychiatre en plus en tout cas, car je voulais absolument etre remboursée pour des questions budgétaires.