38 ans
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Je ne suis pas du tout au fait des conséquences de la chirurgie que tu as faite.
Ton message semble plus être un récit qu'autre chose, alors je ne sais pas si tu attends des retours.
Mais je t'ai lu avec attention.
Je me suis dit que ça avait du être une hospitalisation difficile. Même si les raisons qui t'y ont amené sont elles aussi pénibles j'imagine.
En plus, le rapport aux professionnels du soin sont parfois assez mobilisantes.
En te lisant, j'ai aussi pensé que tu n'as pas arrêté de grignoter, tu as juste grignoté liquide.
Par contre tu passes de la boisson "pour pas grignoter" à la boisson "pour pas faire de malaise". Donc là, je ne suis plus sûre de bien te suivre...
Ils t'ont fait faire des examens en te gardant sur trois jours, et t'ont donné un "traitement" nutritionnel on dirait, avec des consignes précises. Dans ce que tu décris, on dirait qu'ils ont pris la mesure de la réalité physique de tes malaises glycémiques, l'ont évalué et t'ont donné les solutions qui leur paraissent adaptées pour les réduire sinon les supprimer.
Ils n'ont pas fait que ça et t'ont orienté vers un psy, peut-être parce qu'ils ont perçu que tu avais aussi besoin d'un accompagnement, et il me semblait que tu avais aussi su l'exprimer.
Ça ne veut pas dire qu'ils réduisent tes difficultés physiques à une hypothétique folie.
Après peut-être que l'attention portée t'a paru insuffisante ou mal dirigée, et peut-être était-ce le cas, ça, je ne peux pas le dire.
Bon courage, j'espère que cela s'apaisera pour toi en tout cas.
Ton message semble plus être un récit qu'autre chose, alors je ne sais pas si tu attends des retours.
Mais je t'ai lu avec attention.
Je me suis dit que ça avait du être une hospitalisation difficile. Même si les raisons qui t'y ont amené sont elles aussi pénibles j'imagine.
En plus, le rapport aux professionnels du soin sont parfois assez mobilisantes.
En te lisant, j'ai aussi pensé que tu n'as pas arrêté de grignoter, tu as juste grignoté liquide.
Par contre tu passes de la boisson "pour pas grignoter" à la boisson "pour pas faire de malaise". Donc là, je ne suis plus sûre de bien te suivre...
Ils t'ont fait faire des examens en te gardant sur trois jours, et t'ont donné un "traitement" nutritionnel on dirait, avec des consignes précises. Dans ce que tu décris, on dirait qu'ils ont pris la mesure de la réalité physique de tes malaises glycémiques, l'ont évalué et t'ont donné les solutions qui leur paraissent adaptées pour les réduire sinon les supprimer.
Ils n'ont pas fait que ça et t'ont orienté vers un psy, peut-être parce qu'ils ont perçu que tu avais aussi besoin d'un accompagnement, et il me semblait que tu avais aussi su l'exprimer.
Ça ne veut pas dire qu'ils réduisent tes difficultés physiques à une hypothétique folie.
Après peut-être que l'attention portée t'a paru insuffisante ou mal dirigée, et peut-être était-ce le cas, ça, je ne peux pas le dire.
Bon courage, j'espère que cela s'apaisera pour toi en tout cas.