54 ans
de Nantes
223
Patty a écrit:
Pour notre part, c'est alcool 0 à la maison, je n'ai jamais bu
:?
Et la chandeleur alors, le tiot verre de rhum négrita que tu bois derrière les fagots, hein?
D'ailleurs vous remarquerez que chez patty en Bretagne, vers le 4janvier, il y a beaucoup de crêpes collées au plafond.
A une certaine époques les bigoudaines qui faisaient des crêpes pour les bigoudis(leurs enfants), lorsqu'elles en rataient du fait souvent de l'ingestion excessive de rhum, faisaient par terre des petits tas de crêpes qui montaient, montaient , puis se durcissaient. D'après la légendes des bigoudains,c'est l'origine des dolmens, créés par un amas de crêpes ratées.
Pour Patty, vous verrez que ces post aux alentours du 4/5 janvier sont parfois un peu guillerets du fait de ce petit rhum :lol:
Citation:
Se soigner en buvant de l'alcool est une aberration totale !
Ouai, ben on dira ce qu'on veut et chacun voit et fait midi à sa porte, mais en ce qui me concerne, je me suis guéri de nombreux coup de froid, de rhumes, d'angines avec de bon grogs (rhum, citron, sucre et branches de thym) là ou la médecine traditionnelle ne m'apportait que des échecs.
Le sirop Vicks titré à 10% d'alcool est le plus efficace en matière de toux et de bronchite.
Il y a 568 médicaments référencés dans le Vidal où l'alcool est présent soit en excipient, soit en produit actif.
Il y a aussi le vin de quinquina qui guérit pas mal de maladie.
L'alcool est toujours utilisé comme aseptisant, cicatrisant, désinfectant.
Il entre dans la composition de soins bucaux.
C'est aussi un anesthésiant.
Seul l'alcool a su venir à bout de mes rages de dents, là où tous les médocs ne faisaient plus effet, ni même le clou de girofle.
On vend plus d'alcool pur en pharmacie que dans l'épicerie du coin.
Ceci dit il faut être raisonnable et sensé. On peut utiliser l'alcool à des fins pharmaceutiques, on peut utiliser le vin ou l'alcool à des fins thérapeutiques, mais boire du vin pour se soigner, ce n'est pas boire du vin pour ripailler.Les doses sont différentes et c'est avec parcimonie, modération et un dosage précis que l'on peut prétendre à une guérison.
Boire un ou 2 verres de vin quand on est malade, occasionnellement, oui, mais ça s'arrête là, pas question d'en prendre une habitude qui donnerait un résultat inverse. C'est comme beaucoup de chose, il y a le ying et le yang, les qualités et le revers de la médaille et le vin et ses dérivés ne fait pas exception à la règle.
Le whisky a la particularité de déboucher les artères, c'est vrai si vous prenez occasionnellement un verre ou deux par mois et pas tous les mois, si vous en prenez plus, l'effet sera inverse et vos artères se boucheront.
Boire quelques verres de vins dans l'année peut entrainer un certain dynamisme, en boire trop peut tuer.
Il faut un juste milieu et se servir du vin pour ce que vous attendez de lui. Si vous prenez du vin comme médoc, ok, mais n'en profitez pas pour en faire un plaisir car vous obtiendrez un effet inverse.
Pour conclure, si il est vrai qu'un corps de nichons entretenu par le porto tel qu'était celui de Jeanne Calment a bien su se conserver jusque l'âge de 120ans, le cornichon, lui , noyé dans l'alcool est définitivement mort dans son bocal.
Pour notre part, c'est alcool 0 à la maison, je n'ai jamais bu
:?
Et la chandeleur alors, le tiot verre de rhum négrita que tu bois derrière les fagots, hein?
D'ailleurs vous remarquerez que chez patty en Bretagne, vers le 4janvier, il y a beaucoup de crêpes collées au plafond.
A une certaine époques les bigoudaines qui faisaient des crêpes pour les bigoudis(leurs enfants), lorsqu'elles en rataient du fait souvent de l'ingestion excessive de rhum, faisaient par terre des petits tas de crêpes qui montaient, montaient , puis se durcissaient. D'après la légendes des bigoudains,c'est l'origine des dolmens, créés par un amas de crêpes ratées.
Pour Patty, vous verrez que ces post aux alentours du 4/5 janvier sont parfois un peu guillerets du fait de ce petit rhum :lol:
Citation:
Se soigner en buvant de l'alcool est une aberration totale !
Ouai, ben on dira ce qu'on veut et chacun voit et fait midi à sa porte, mais en ce qui me concerne, je me suis guéri de nombreux coup de froid, de rhumes, d'angines avec de bon grogs (rhum, citron, sucre et branches de thym) là ou la médecine traditionnelle ne m'apportait que des échecs.
Le sirop Vicks titré à 10% d'alcool est le plus efficace en matière de toux et de bronchite.
Il y a 568 médicaments référencés dans le Vidal où l'alcool est présent soit en excipient, soit en produit actif.
Il y a aussi le vin de quinquina qui guérit pas mal de maladie.
L'alcool est toujours utilisé comme aseptisant, cicatrisant, désinfectant.
Il entre dans la composition de soins bucaux.
C'est aussi un anesthésiant.
Seul l'alcool a su venir à bout de mes rages de dents, là où tous les médocs ne faisaient plus effet, ni même le clou de girofle.
On vend plus d'alcool pur en pharmacie que dans l'épicerie du coin.
Ceci dit il faut être raisonnable et sensé. On peut utiliser l'alcool à des fins pharmaceutiques, on peut utiliser le vin ou l'alcool à des fins thérapeutiques, mais boire du vin pour se soigner, ce n'est pas boire du vin pour ripailler.Les doses sont différentes et c'est avec parcimonie, modération et un dosage précis que l'on peut prétendre à une guérison.
Boire un ou 2 verres de vin quand on est malade, occasionnellement, oui, mais ça s'arrête là, pas question d'en prendre une habitude qui donnerait un résultat inverse. C'est comme beaucoup de chose, il y a le ying et le yang, les qualités et le revers de la médaille et le vin et ses dérivés ne fait pas exception à la règle.
Le whisky a la particularité de déboucher les artères, c'est vrai si vous prenez occasionnellement un verre ou deux par mois et pas tous les mois, si vous en prenez plus, l'effet sera inverse et vos artères se boucheront.
Boire quelques verres de vins dans l'année peut entrainer un certain dynamisme, en boire trop peut tuer.
Il faut un juste milieu et se servir du vin pour ce que vous attendez de lui. Si vous prenez du vin comme médoc, ok, mais n'en profitez pas pour en faire un plaisir car vous obtiendrez un effet inverse.
Pour conclure, si il est vrai qu'un corps de nichons entretenu par le porto tel qu'était celui de Jeanne Calment a bien su se conserver jusque l'âge de 120ans, le cornichon, lui , noyé dans l'alcool est définitivement mort dans son bocal.