Je suis pas pète couilles. Je suis même sympa avec les caissières (et les caissiers), parce que je sais que c'est un boulot de merde. Entre le vigile qui passe
son temps à emmerder la minette de la caisse 12, et le chef de caisse qui passe en permanence derrière les caisses en faisaint des gestes comme si la fin du monde approchait (il a rien d'autre à branler, lui ? (ou elle)), je comprends la douloureuse vie des caissières et caissiers.
En revanche, quand j'achète un vélo à Décathlon qui part en couilles (le vélo) et que je m'adresse par mail en haut, qu'on me répond d'aller me faire rembourser et que le directeur du magasin me fait chier parce que c'est pas lui qui a pris la décision et que ça vient de plus haut, je jubile. Parce que je propose au con d'appeller son supérieur pour lui faire part du problème et que monsieur l'abruti s'écrase.
Autre cas, la vendeuse qui me force la main. Au départ, très gentille, limite lèche cul. Je voulais acheter une jupe à ma chère et tendre, et là, elle me déballe le magasin. Je lui demande si elle a des grandes tailles, oui, bien sûr, j'ai du 3, votre amie rentrera dedans. C'est soldé mais elle peut ramener, on échange. Elle me pose trois tonnes de fringues sur le comptoir et me dit qu'elle peut me faire un prix. Moi, ça me gonfle, des principes de vente pareils, ça m'hérisse. Donc je lui ai dit que j'aillais réfléchir (surtout qu'à mon avis, les tailles qu'elle me proposait n'aillaient pas). Du coup, toute sa sympathie s'est évaporée.
Pour les incomp... vendeurs de la FNAC, ma pauvre Ambre, faut pas demander quelque chose à un gars dont c'est le rayon, surtout à la FNAC. Il en a rien à battre de ta demande. Il connaît pas. Il s'en tape. Il se fait chier. Offre lui un rouleau de PQ. Et change de magasin.