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trouvez le titre et l'interprete...

G
45 ans ile de france 158
Croqnote a écrit:
je sais pas ni en français ni en anglais :) va falloir que j'aille écouter ce que vous proposez car j'ai des lacunes !


le titre français  
est ultra récent, d'ailleurs ils étaient nominés aux dernières victoires de la musique en tant que groupe, ou pour cette chanson, je sais plus... :-k
47 ans Lille 7000
Galway a écrit:
Croqnote a écrit:
le titre français est ultra récent, d'ailleurs ils étaient nominés aux dernières victoires de la musique en tant que groupe, ou pour cette chanson, je sais plus... :-k

ultra récent... il a 10 ans quand même...
E
103 ans Occitanie 3854
Bon comme je connaissais les paroles ni de la chanson française, ni de l'anglaise j'ai été voir google...

Bah en fait je connais réellement ni l'un ni l'autre :lol:
47 ans Lille 7000
alors les paroles en français, c'est une chanson de la rue ketanou que j'aime bcp autant pr le texte, la voix et la musique, elle s'appelle "exil" et vous pouvez l'écouter ici.

sinon pr la chanson en anglais, c'est un groupe de pop anglaise, qui a percé dernièrement et qui est maintenant assez connu ( on utilise svt leurs chansons ds des émissions, des séries...), c'est une pop colorée qui est à découvrir si vous aimez le genre...
E
103 ans Occitanie 3854
han la rue ket... j'aurais du demander à zhom l'aurait trouver
E
103 ans Occitanie 3854
euh ben non si je mets ces paroles là :

"Merde a l'hiver et merde aux envieux
Qui turbinent a la solde des rentiers vétilleux
Respirer, fuir direction le grand bleu
catapulter l'immense fléau des laborieux
Ca fait longtemps qu'on l'attend
Ca fait longtemps qu'on en crève"

je trouve pas la rue ketanou... je trouve autre chose, et un autre titre

je comprends plus rien
47 ans Lille 7000
elfeline a écrit:
euh ben non si je mets ces paroles là :

"Merde a l'hiver et merde aux envieux
Qui turbinent a la solde des rentiers vétilleux
Respirer, fuir direction le grand bleu
catapulter l'immense fléau des laborieux
Ca fait longtemps qu'on l'attend
Ca fait longtemps qu'on en crève"

je trouve pas la rue ketanou... je trouve autre chose, et un autre titre

je comprends plus rien


ben ef fait y'a un soucis, galway a proposé des paroles et moi aussi, donc pr les paroles que j'ai donné c'était la rue ket' et j'avais donné aussi des paroles en anglais...

bref, j'y comprend plus rien donc:

ça c'était, la rue ketanou, l'exil:
"Les oiseaux qui voyagent en cage
Chantent dans leur tête des légendes
Avec de grands chevaux sauvages
Qui repeuplent les no man's land
Ils chantent dans leur tête jusqu'au jour
Où ils pourront à haute voix
Annoncer le compte à rebours
De l'explosion de leur joie"

ça c'était vampire weekend, A-punk
"A thousand years in one piece of silver
She took it from his lilywhite hand
Showed no fear – she'd seen the thing
In the Young Men's Wing at Sloan-Kettering"

et ça c'est les paroles de Galway a touvé:
"Merde a l'hiver et merde aux envieux
Qui turbinent a la solde des rentiers vétilleux
Respirer, fuir direction le grand bleu
catapulter l'immense fléau des laborieux
Ca fait longtemps qu'on l'attend
Ca fait longtemps qu'on en crève"

Bon, je vais m'abstenir de jouer car je comprend plus rien à ce jeux... biz
47 ans Lille 7000
DameAliénor a écrit:

et ça c'est les paroles de Galway , la chanson et l'interprète à trouver:
"Merde a l'hiver et merde aux envieux
Qui turbinent a la solde des rentiers vétilleux
Respirer, fuir direction le grand bleu
catapulter l'immense fléau des laborieux
Ca fait longtemps qu'on l'attend
Ca fait longtemps qu'on en crève"

ça sera plus compréhensible comme ça...
G
45 ans ile de france 158
DameAliénor a écrit:

Bon, je vais m'abstenir de jouer car je comprend plus rien à ce jeux... biz



Allez boude pas, je donne la réponse parce que de toute façon visiblement personne connait, et pour le peine à toi de proposer un titre à ta convenance.

c'était l'été revient, d'archimède.
47 ans Lille 7000
Galway a écrit:
DameAliénor a écrit:

Bon, je vais m'abstenir de jouer car je comprend plus rien à ce jeux... biz



Allez boude pas, je donne la réponse parce que de toute façon visiblement personne connait, et pour le peine à toi de proposer un titre à ta convenance.

c'était l'été revient, d'archimède.


je ne boude pas, mais c'est vrai que j'y perds mon latin...

bon je vais mettre des paroles en français, j'espère que je peux:

"Après cet air géographe, une petite explication
Je ne cherche pas les baffes, je ne cherche pas la baston
Mais lorsque je vois au loin qui agitent leurs drapeaux
La grande race des chauvins, juste à côté des fachos,

Ben, moi qui suis né en France dans un bled incognito
Je ne comprends pas la démence, je ne vois pas les idéaux
De ceux qui pensent la naissance, comme une attache, un ghetto
Pardonnez-moi cette offense et traduisez en ces mots"
E
103 ans Occitanie 3854
c'est pas les ogres ????

euh le titre de la chanson... bah je retiens jamais les titres :lol:
47 ans Lille 7000
elfeline a écrit:
c'est pas les ogres ????

euh le titre de la chanson... bah je retiens jamais les titres :lol:

oui c'est les ogres, pr le titre, suffit de penser au score de la finale de coupe du monde de foot 1998... ( je précise, je déteste de toutes mes forces le foot... :lol: )
E
103 ans Occitanie 3854
3 - 0 ?
47 ans Lille 7000
elfeline a écrit:
3 - 0 ?

oui c'est ça, allez je vous mets le cloip et les paroles car elles est vraiment sympa et surtout édifiante sur notre chauvinisme:
Les Ogres de Barback 3-0

Y'a Paris, la capitale, qui renifle son trou de bals,
Intra-muros c'est brillant, dehors c'est pour les paysans.

D'ailleurs s'il n'en restait qu'une, ce serait sûr'ment celle-là :
Qu'une aussi con que la lune et prétentieuse, comme il se doit.
Mais Paris, ça reste en France, les Français restent des Français,
Les chevilles en évidence, le nombril insatisfait !

À Rennes où il fait bon vivre, j'y ai vu - pardonnez-moi,
Des masses de foules ivres, des seringues plein les bras,
Un soir, une chose amusante, sur la route, croyez-moi :
La police qui plaisante d'un cadavre sur le toit.
Mais Rennes, ça reste en France, les Français restent des Français,
Des reins en convalescence, des poumons dans le regret.

Puis y'a Bordeaux la bourgeoise avec son grand cru classé
Que l'on déguste dans l'extase, dans les grands lieux new-yorkais
Qui indique à sa mémoire ce qui est bon, ce qui est mauvais :
Si pour Papon, c'est un trou noir, le Girondin c'est un succès.
Mais Bordeaux, ça reste en France, les Français restent des Français
Des trouillards de gauche en transe ou des cons de droite muets.

À Toulouse, la ville rose, peut-être sont-ils un peu chauvins ?
Quand ils jacassent pas du rose, ils te parlent des Toulousains,
Ils ont un patois bien sûr, qu'ils utilisent parfois,
Pour écrire sur les murs d'une usine : « Plus jamais ça ».
Mais Toulouse, ça reste en France, les Français restent des Français,
Des canards qui l'été dansent sur des rythmes « afro-laid ».

Puis il y a Marseille, celle qui a son port si charmant,
Sa Méditerranée belle, sa sardine et ses harengs.
Comme un tout petit village, un hameau ensoleillé,
Qui n'a qu'un désavantage : d'être rempli de Marseillais !
Mais Marseille, ça reste en France, les Français restent des Français,
Des grandes gueules à qui l'on pense, quand on veut avoir la paix.

Entre le Rhône et la Saône, il y a Lyon et ses reflets.
En banlieue, il y a sa zone, ses odeurs et ses rejets.
Sa gastronomie connue, qui veut nous faire oublier
Pour ne pas être déçus, tous ces scandales financiers.
Mais Lyon, ça reste en France, les Français restent des Français.
Des bonnes bouffes en concurrence, des non-dits sur le palais.

Lorsque j'ai connu Strasbourg pour la toute première fois
Je pensais trouver l'amour dans les rues de celle-là
Mais il y eut soudain un doute dans cette ville un peu cruche
Où l'on me parlait de choucroute, d'Europe et de flamenkuche
Mais Strasbourg, ça reste en France, les Français restent des Français
L'égalité en « free-lance », l'humanité qui s'essaie.

Il y a Lille dans le nord comme il y a le nord en Lille
Des grands hommes gras et forts ou des consanguins débiles
Les grands projets planétaires qui dépensent sans se soucier
À deux pas de la misère des petits enfants minés
Mais Lille, ça reste en France, les Français restent des Français
Des terrils d'arrogance, l'inégalité au sommet.

Après cet air géographe, une petite explication
Je ne cherche pas les baffes, je ne cherche pas la baston
Mais lorsque je vois au loin qui agitent leurs drapeaux
La grande race des chauvins, juste à côté des fachos,

Ben, moi qui suis né en France dans un bled incognito
Je ne comprends pas la démence, je ne vois pas les idéaux
De ceux qui pensent la naissance, comme une attache, un ghetto
Pardonnez-moi cette offense et traduisez en ces mots :

Issu de la poussière, je m'en retourne à la poussière
Issu de la planète terre, je m'y promène sans frontière !
Issu de la poussière, on s'en retourne à la poussière
Issu de la planète terre, on s'y promène sans frontière !

A toi Elfeline...
E
103 ans Occitanie 3854
Allez une facile normalement

"Je me souviens encore de ma première femme,
elle s'appelait nina une vrai putain dans l'âme!!
la reine des morues de la plaine saint denis,
elle faisait le tapin près de la rue rivoli.."
B I U