38 ans
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Je dirai que les deux ont raison...
Comme Gurgle, je pense que le travail est un devoir avant tout. Mais quand on est à la recherche d'un travail à hauteur de ses compétences, et que la recherche s'éternise, je comprends que l'on puisse voir la position des actifs comme un "privilège". C'est qu'on aurait tendance à oublier que tout n'est pas bonheur dans le travail non plus.
Du coup, de l'autre côté, le terme "privilège" est un peu dur à accepter. Effectivement, personne n'a à s'excuser de "travailler" ou se sentir coupable d'avoir un travail qui lui plait ou bien payé si c'est le cas. (Ah les rémunérations, encore un gros tabou en France par rapport aux pays anglo-saxons, mais c'est un autre sujet)
Je dirai qu'il faut montrer de l'empathie pour les deux cas de figure, ne serait-ce que parcequ'on passe presque tous par ces hauts et ces bas.
Comme Gurgle, je pense que le travail est un devoir avant tout. Mais quand on est à la recherche d'un travail à hauteur de ses compétences, et que la recherche s'éternise, je comprends que l'on puisse voir la position des actifs comme un "privilège". C'est qu'on aurait tendance à oublier que tout n'est pas bonheur dans le travail non plus.
Du coup, de l'autre côté, le terme "privilège" est un peu dur à accepter. Effectivement, personne n'a à s'excuser de "travailler" ou se sentir coupable d'avoir un travail qui lui plait ou bien payé si c'est le cas. (Ah les rémunérations, encore un gros tabou en France par rapport aux pays anglo-saxons, mais c'est un autre sujet)
Je dirai qu'il faut montrer de l'empathie pour les deux cas de figure, ne serait-ce que parcequ'on passe presque tous par ces hauts et ces bas.