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Mais c'est aussi une question de volonté...

49 ans 1896
Se plonger dans le passé comme dans une enquête pour comprendre l'origine des troubles est une chose. Se complaire dans sa souffrance passée en est une autre. Personnellement, parler du  
passé m'a fait beaucoup de bien. Mais il est vrai que je suis assez timide et que je ne m'exprime pas facilement. Quand je parle, ça fait vraiment remonter des émotions, ça n'est pas que du ressassement. Je pense que la parole seule peut libérer de certaines souffrances.

Tout est question de but en fait: veut-on faire cesser une souffrance, ou veut-on prendre une autre direction dans la vie? Je prends un exemple: une personne bien installée dans la vie, qui a un boulot intéressant, une famille, etc. peut ressentir le besoin de faire une psychanalyse pour se libérer du passé. Par contre, quelqu'un qui n'avance pas, qui ne sait pas ce qu'il veut, a peut-être intérêt de faire en plus, ou à la place, un travail plus "volontariste" (désolée pour le mot, je n'en trouve pas d'autre ^_^), tourné vers l'avenir. Mais je doute que ce travail soit efficace sur le long terme sans reconnaissance de soi-même et de son passé...

Dans ma recherche du bon psy, je suis tombée sur quelqu'un qui voulait plus me coacher que m'écouter, arguant que ça avancerait plus vite que de simplement faire une psychanalyse. Or, mon problème est que j'ai toujours voulu brûler les étapes, que je ne sais pas faire les choses l'une après l'autre tranquillement. Du coup, je ne termine presque rien, je bâcle. Pour une fois, je ne voulais pas avancer vite, je voulais prendre le temps d'évoluer de manière calme et spontanée, et j'ai eu l'impression que ce coaching intempestif m'enfonçais dans mes travers.

Alors, je dirais simplement que tout dépend de la situation. Tout le monde n'a pas besoin de la même thérapie.
33 ans 113
First of: le message de Maiadi juste au-dessus vise très juste. Je suis entièrement d'accord avec ce qu'elle a dit, surtout la dernière phrase: tout le monde n'a pas besoin de la même thérapie, et surtout, tout le monde n'a pas besoin de thérapie tout court. Mon message de base donnait un exemple de cheminement, juste un exemple à considérer pour ceux qui ont tout essayé et qui sont désespérés de jamais se voir sortir de la misère...

OK maintenant que c'est dit, j'aimerais parler de ce que LilithInTheSky a écrit. Mon premier réflexe, quand j'ai lu ses deux messages ce matin, ça a été d'écrire une énorme dissertation pour réfuter. Puis je me suis rendue compte... «Aiecaramba, c'est exactement ce que tu disais, avant».

Sauf que avant, j'étais perdue corps et âme dans les TCAs.

En tout cas, je mentionne l'anecdote juste pour dire que j'écris maintenant ce message avec beaucoup de compassion, de sympathie et, humblement, de lucidité.

LilithInTheSky a écrit:
La résilience ne se fait pas en rapport avec le passé. Si j'ai bonne mémoire, l'inventeur de la notion justement trouvait ça mauvais de se plonger sans cesse dans son passé, arguant que ça empêchait d'évoluer, et de justement arriver à cette résilience.



À mon sens, ce qui était surtout important de se rappeler par rapport à la notion de résilience, c'est deux choses:

1. Que la résilience est très rarement possible lorsqu’on la tente seul; on n’est pour ainsi dire jamais résilient spontanément. Ça prend la plupart du temps un petit coup de pouce, au moins, un «starter». Dans mon cas, il me faut des tonnes et des tonnes d’aide, encore maintenant.

2. Que la personne résiliente est le plus souvent une personne capable d’envisager différents moyens pour s’en sortir. Je souligne «différents». Et j’ajoute aussi « avec discernement». C’est de ça dont Maiadi parlait au fond, et je l’ai expérimenté aussi : j’ai choisi certaines thérapies (celle à la Alice Miller, celle dite « de groupe », celle qui demande un certain bénévolat avec les enfants, préconisée justement pour guérir son «enfant intérieur», etc.) et j’en ai refusé d’autres, après avoir fait mes recherches ou même après avoir tenté; d’ailleurs, là-dessus, je suis totalement d’accord avec toi, LilithInTheSky. La psychanalyse est une vraie tare, je suis outrée qu’elle ait encore une si bonne tribune. J’ai donc rejeté la psychanalyse. J’ai rejeté aussi l’homéothérapie après avoir essayé pendant quelques temps, pas parce que ça ne marchait pas, mais parce que mes recherches m’ont montré un sérieux bémol à ce sujet. Il y a également la psychologie positive que j’ai tenté, et c’était un peu style psy-coach, comme Maiadi décrivait plus haut. J’ai bien aimé mais je n’ai pas continué car j’ai compris ce que j’avais à comprendre; j’en ai donc gagné un peu avec la psychologie positive mais ça ne s’est pas révélé suffisant pour me guérir de mes TCAs qui s’accompagnent (ou plutôt s’accompagnaient) d’un sérieux mal-être.

Je me considère comme une personne résiliente, et même si ça peut paraître pompeux, à mon sens ce ne l’est pas. Je n’ai d’ailleurs pas à le prouver à qui que ce soit, sauf à moi-même, et c’est ce que je fais. Je SAIS que je suis en train de m’en sortir; ce n’est pas pour moi un espoir, mais une certitude. Le processus de changement est déjà commencé. Aujourd’hui, quelqu’un m’a dit que j’étais vraiment magnifique (les garçons qui draguent au Québec, c’est vraaaaaaaaaiment rare! Et il me draguait même pas, il avait l’air plutôt étonné). Ça ne m’était pas arrivé depuis… jamais. Surtout pas dans le temps où je me droguais en anorexique/boulimique/hyperphage. Quand il m’a dit ça ça m’a fait plaisir, bien sûr, puis naturellement je suis allée vérifier dans le miroir (lol, j’suis pas habituée à ça) et je me suis rendue compte qu’en fait, je suis jolie, mais pas plus qu’une autre, et c’est surtout qu’il y a vraiment quelque chose qui commence à « briller» en moi, si vous voyez ce que je veux dire. Et ça ressort, voilà tout.

C’est vraiment bon ce que je suis en train de vivre, vraiment bon. C’est pour ça que j’arrête pas d’en parler sur le forum avec mes longs messages. Parce que je souhaite vraiment de tout cœur que vous puissiez vous rencontrer, vous aussi. Je connais la souffrance d’être « grosse » et d’être complètement inapte à vivre sur cette planète. Je connais maintenant les joies du rétablissement. Et si je vous parle surtout d’Alice Miller ces temps-ci, c’est parce que c’est surtout ça qui m’aide en ce moment, parmi TOUT ce que j’ai essayé. C’est ça aujourd’hui, demain ce sera peut-être autre chose, genre peut-être justement ce fameux bénévolat avec les enfants que je m'apprête à commencer. Je sens que ça va être génial.

Je reste ouverte d’esprit en tout cas. Et une chose est sûre, j’avance, j’arrête pas d’avancer. Les recherches sont nécessaires, mais ultimement, c'est l'action qui compte vraiment. Agis-tu? Si oui, continue, si non, c'est pas grave, mais commence à considérer.

Aussi,j'avais l'intention de faire une liste des raisons pourquoi je crois que la thérapie à la Alice Miller est nécessaire pour les dépendants (bouffe comme drogue comme autre.) Ceci-dit, je n'ai plus de place. Donc si ça vous tente, faites-moi le savoir, ici ou par mp.



Je vous embrasse, bonne chance à toutes.
104 ans Sur une comète 1981
Citation:
OK maintenant que c'est dit, j'aimerais parler de ce que LilithInTheSky a écrit. Mon premier réflexe, quand j'ai lu ses deux messages ce matin, ça a été d'écrire une énorme dissertation pour réfuter. Puis je me suis rendue compte... «Aiecaramba, c'est exactement ce que tu disais, avant».

Sauf que avant, j'étais perdue corps et âme dans les TCAs.

En tout cas, je mentionne l'anecdote juste pour dire que j'écris maintenant ce message avec beaucoup de compassion, de sympathie et, humblement, de lucidité.


Heu non, c'est très prétentieux comme réflexe. Je suis ravie que pour toi ça marche, mais je ne suis pas une pauvre petite chose qui n'a pas encore trouvé l'illumination. Mais je suppose que c'est une mauvaise formulation dû à ta jeunesse.

J'ai vu tout l'attirail de psy-quelque chose (sauf que mon psychanalyste était aussi psychologue, pas le budget sinon).

Les premiers étaient juste obsédés par mon enfance. Je sais parfaitement quels ont été mes traumatismes d'enfance, mais à part me replonger dans un enfer, je n'ai toujours pas vu l'intérêt. Si mon cerveau voulait oublier, il avait une raison.
On vit dans une société obsédée par l'idée de "révéler les secrets". Limite si mon arrière-grand-mère avait trompé mon arrière-grand-père, je trouverais un hurluberlu capable de me prétendre que ça bouleverse mon existence.
Un jour, un nouveau psy(chiatre) que j'allais voir m'a dit :
"Mademoiselle, le secret, c'est qu'en fait, se plonger dans le passé, c'est mauvais. Ça ne résout pas vos problèmes et rouvre vos blessures seulement. La vie entière est une blessure, mais pour cicatriser, il ne faut pas gratter les croutes."
Vu qu'il m'a ensuite enfin diagnostiqué la (réelle) maladie que j'avais, guidée chez un psychothérapeute pour traiter un de mes problèmes très concret, je l'ai cru.

Je tiens à préciser que même au fond du trou, j'ai toujours été draguée, toujours (et qu'on ne vienne pas me dire que c'est mon 54-56 qui attire :lol: ), pire limite je brillais de l'énergie du désespoir, qui est facilement charismatique.
Je rajoute aussi que je suis borderline, ce qui est un vrai trouble, fort différent de la dépression qu'on connait tous un jour, qui nécessite un psychiatre fort au courant de ce problème (j'ai eu beaucoup de faux diagnostics avant, et je ne suis pas convaincue que ce fut une bonne chose, doux euphémisme).
33 ans 113
D'accord.
Je te souhaite bonne chance pour la suite.
33 ans 113
Au fait, précision
Mon ego, j'dois dealer avec pas parce que je suis jeune, mais parce que je suis humaine.

Mes messages sont clairement pas 100% humbles, mais ils ont le mérite d'être de bonne foi et francs. On y voit mes points forts et mes points faibles. J'me suis pas toujours permise de faire ça.

Et sincèrement, oui, j'ai de la compassion pour toi (c'est pas de la pitié, tu fais pas pitié) surtout maintenant que je connais un peu mieux tes démêlés avec les thérapies. C'est vraiment nul d'avoir eu aussi peu de chance.

Alors vraiment je te souhaite bonne chance pour la suite.

Une chose par contre: NON, la vie entière n'est PAS une blessure. Malgré les malgrés.

À bon entendeur salut
104 ans Sur une comète 1981
Je ne veux aucune compassion, merci. La vie est une souffrance car rien n'y est jamais idéal, et rien que de voir ce que devient la planète suffit à démoraliser quiconque. Mais je n'ai pas dit que ça ne signifiait pas qu'on puisse y trouver du bonheur, c'est loin d'être aussi binaire que tu le crois.

Sur ton ego, non, je connais beaucoup de personnes qui ne pensent pas que leur mode de pensée est le meilleur (et heureusement !), chose que tu sous-entends et qui m'agace franchement. Mais on revient au fait que le monde n'est pas binaire.
33 ans 113
LilithInTheSky a écrit:
Je ne veux aucune compassion, merci. La vie est une souffrance car rien n'y est jamais idéal, et rien que de voir ce que devient la planète suffit à démoraliser quiconque. Mais je n'ai pas dit que ça ne signifiait pas qu'on puisse y trouver du bonheur, c'est loin d'être aussi binaire que tu le crois.

Sur ton ego, non, je connais beaucoup de personnes qui ne pensent pas que leur mode de pensée est le meilleur (et heureusement !), chose que tu sous-entends et qui m'agace franchement. Mais on revient au fait que le monde n'est pas binaire.


Pour ce que j'en sais, t'as peut-être raison.

Whatev's.
52 ans En Suisse ... 108
Très intéressant ce fil :-)

J'aime bien la phrase selon laquelle les gros ont souvent perdu, cumulé, un nombre très impressionnant de kilos, ce qui montre bien leur volonté. Je n'avais jamais pensé à ça!

Mais c'est vrai que les gens qui ont la chance de na pas avoir de trouble particulier sont souvent assez durs avec ceux qui sont "déréglés" quelque part, ou qui n'ont pas eu de chance, etc.

Malheureusement pour moi c'est le cas de mon mari :-), il pense que tous ceux qui ne sont pas minces, riches, beaux et en bonne santé l'ont bien voulu quelque part... c'est assez énervant, du coup je suis très sarcastique quand je lui dis que pour lui

un black c'est un gars qui n'a pas la force morale d'être blanc
une femme c'est quelqu'un qui n'a pas la force morale d'être un homme
un socialiste c'est quelqu'un qui n'a pas la force morale d'être à droite
un cycliste c'est un gars qui n'a pas la force morale de se déplacer en voiture
un chien c'est un animal qui n'a pas la force morale d'être un chat
etc... il enrage!!!
L
42 ans Lille is love ! 35
Je trouve ton discours trop simpliste.

La volonté j'en ai, 20 ans de regimes, qui m'ont detraqués, tres equilibrés, avec des pertes spectaculaires de dents et de cheveux.
Oui il n'y a que la volonté qui est capable de vous infliger ça.
Le fanatisme aussi, les croyances alimentaires, la domination de l'esprit sur le corps.
Quand on veut, on peut!

Mais comment faut elle ces jolies filles sveltes qui mange du chocolat et de la pizza?

Ah Bon ? elles se régulent! la chance! on ne leur a pas appris a faire regime? quel dommage.Elle ne connaitront jamais la volonté, et le fanatisme nutritionnel. Elles ne seront jamais grosses.Tant pis pour elles.
57 ans Out of Africa... 4355
LilithInTheSky a écrit:
Je ne suis pas convaincue du tout que de savoir pourquoi on agit de telle ou telle manière, de savoir exactement où et comment ça a debuté dans le passé, l'enfance... On sait et puis ? Et puis rien. Ça ne change rien au présent. Bref la psychanalyse, c'est de l'arnaque pour moi....


Oui pour la psychanalyse sacrément à coté de la plaque, d'après moi

Pour le reste, en ce qui me concerne, c'est justement de savoir (intellectuellement et surtout émotionnellement)exactement pour quelles raisons dans le passé mes troubles se sont installés que j'ai pu m'en sortir : ce n'est pas du triturage de cerveau, ça va bien au-delà.

La thérapie m'a permis d'apprendre à aimer la nourriture, à aimer manger au lieu de culpabiliser sans cesse, à retrouver mes sensations de satiété, de faim aussi, de plaisir gustatif, olfactif, tactile aussi (quel bonheur de petite fille d'oser enfin plonger mes doigts dans mon assiette et de manger avec mes mains :lol: )... tout celà fut accompagné de colère, de larmes, de tristesse, de cris, de joie, d'étonnement, de sensualité, bref de vie...

J'ai aussi appris à reconnaitre et à accueillir l'angoisse, l'ennui.. etc toutes ces émotions qui me poussaient à manger faute d'être vécues consciemments parce qu'interdites dans l'enfance.
57 ans Out of Africa... 4355
LilithInTheSky a écrit:
Un jour, un nouveau psy(chiatre) que j'allais voir m'a dit :
"Mademoiselle, le secret, c'est qu'en fait, se plonger dans le passé, c'est mauvais. Ça ne résout pas vos problèmes et rouvre vos blessures seulement. La vie entière est une blessure, mais pour cicatriser, il ne faut pas gratter les croutes."


Ca, ça s'appelle des croyances et rien de plus !
Il ne s'agit pas de replonger dans le passé et d'y rester prisonnier ou éternellement victime au contraire. Le but et de nettoyer sa blessure et d'en faire une petite cicatrice qui n'empêche pas de vivre.

Souvent les psy ne veulent pas accompagner leurs clients dans le passé parce qu'eux même n'ont pas résolus leur problèmes et ont tout simplement peur des émotions que va susciter en eux l'histoire de leurs clients. Ils ont mis tellement d'énergie et de temps à refouler leur propre histoire... quelle horreur pour eux ce client qui voudrait comprendre ce qui lui est arrivé dans l'enfance!

Alors ils préfèrent se raccrocher à toutes ces théories qu'on leur a appris et aux cachetons, bien moins dangereux !
P
44 ans 1638
Fox-Trot a écrit:
D'ailleurs, employer le terme de "volonté" dans cette acception revient à cautionner les comportements anorexiques et même, in fine, les raisonnements pseudo-historiques du type "mais y avait pas de gros dans les camps de concentration".

Les Yakafokons, qui ont un avis (généralement débile) sur à peu près tout, considèrent que les gros ne font pas d'efforts, qu'ils se laissent aller.

C'est évidemment absurde.

Les gros sont en moyenne mieux informés des questions diététiques que le reste de la population. Là où les mangeurs régulés sont parvenus dans leur vie à perdre à grande peine cinq kilos après une déprime, les gros ont enchaîné les régimes, commençant souvent extrêmement jeunes, perdant au total bien souvent plus de 100 kg, pour les reprendre ensuite. Combien de mangeurs régulés seraient-ils capables d'en faire autant ?

En réalité, les gros sont souvent des gens qui ont énormément de volonté. Simplement, écoutant les conseils d'un corps médical désarmé (et dans lequel sévissent encore un grand nombre de Yakafokons), ils ont aggravé leur surpoids PRÉCISÉMENT parce qu'ils ont décidé que désormais stop, exit le Nutella et vive la salade verte.

Face à une épidémie d'obésité qui touche désormais l'ensemble des pays occidentaux, ce ramassis de Diafoirus, de Trissotin et de Monsieur Jourdain n'est hélas pas seulement intellectuellement pathétique. Non, ces propos fumeux sont également dangereux sur le plan sanitaire, et ce à une très vaste échelle car tant que l'explication purement mécanique du mécanisme de l'obésité sera dominante, l'épidémie ne fera pas que se maintenir mais se DÉVELOPPERA.

N'importe quel crétin (par exemple un Yakafokon) sait que pour maigrir, il faut dépenser davantage d'énergie qu'on en absorbe. La seule question importante, la seule qui mérite qu'on s'y attarde, c'est "Comment ?".

"Faire un régime, faire des efforts" réponds instantanément le Yakafokon, tel un mainate sous acides vautré devant Carré Viip un soir de pleine lune.

Perdu Einstein : 97% des régimes restrictifs (vous savez, ceux qui exigent de la "volonté") se soldent par une reprise de poids, souvent plus importante que la perte. Ils s'accompagnent également fréquemment de TCAs qui seront des obstacles très difficile à surmonter et vont entraîner un rapport de plus en plus artificielle, déconnecté des besoins réels du corps.

Et ben savez quoi ? Je crois qu'on va se passer du régime à la noix, du gros bon sens des Yakafokons et des kilos supplémentaires qui ne manqueront pas de pointer le bout de leur nez en cas de régime feuille de salade.

=D> =D> =D>

Merci!
B I U