scrameustache1 a écrit:Je ne dis pas que toutes les filles qui se prostituent le font de leur plein gré, mais il y en a qui le font et que celles qui ont choisi cette disons facilité l'ont fait parcequ'elles l'ont bien voulue. Bien sur il y aussi celles qui ont été forcées ou programmées pour faire ce métier, mais de plus en plus il y a des services sociaux et des Lois qui viennent à la défense de celles qui ont été forcées. Néanmoins parfois (excuse moi de me mettre des oreillettes devant les yeux et de me montrer un tant soit peu inflexible), je me dis quand même qu'à un moment donné la fille ou le mec a eu la possibilité de choisir. Dans le lien de "patty" il y a l'exemple de cette fille qui dit avoir été violée par le notaire ou le collègue de son père à l'age de 12ans. Cette fille s'est dit que le sexe, elle n'en avait plus rien à foutre et qu'elle pouvait tout aussi bien gagner sa vie avec le sexe ayant été rompue à toutes disciplines sexuelles dés son jeune age. Et bien la dessus je ne suis pas tout à fait d'accord, ce n'est pas parce qu'une personne est desabusée de toute forme sociale qu'elle n' a pas le moyen de choisir sa vie. Elle aurait tout aussi bien prendre conscience que ce qu'on lui avait fait était mal, et qu'elle même se desinterressant de toute idéologie sociale faisait le même mal. Ce que je veux dire c'est qu'elle a eu le choix.M'étendre dessus serait un sujet vaste et complexe car il faudrait étudier au cas par cas. C'est comme dans toute chose, on ne peut généraliser ni dans un sens , ni dans l'autre.
Je ne sais pas si tu peux imaginer combien une gamine de 12 ans, violée par un "ami" de son père, peut être détruite psychologiquement et moralement. Ce que tu dis me laisse perplexe et me choque même presque, comment peut-on croire que cette fille avait suffisament de recul pour faire un réel choix en toute connaissance de cause?
Quant aux services sociaux, laisse moi rire (jaune :? ), tu crois vraiment que ces filles réduites à moins que rien, intéressent qui que ce soit? Elles sont tellement persuadées de n'être plus rien, qu'elles n'essaient certainement même plus de s'en sortir. Elles sont complètement démolies et vu ce que rapporte l'industrie du X, c'est pas demain la veille qu'on va s'y intéresser.