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Les Ginks : renoncer à la maternité pour l'écologie

46 ans (¯`•.•´¯) (¯`•.•´¯) *`•.¸(¯`•.•´¯)¸.•´ ♥ ☆ º ♥ `•.¸.•´ ♥ º ☆.¸¸.•´¯` 1576
Tecolote a écrit:
Si faire des enfants pollue, alors vivre aussi non ? donc pourquoi ne pas aller au bout de la logique et se suicider (avec une corde  
de chanvre biologique par exemple et prévoir un cercueil biodégradable, cela va de soit) ? :lol:

:lol: :lol: :lol:
+1

En ce qui me concerne le choix est vite fait, je préfère avoir des enfants (2 maxi c'est pas énorme) et limiter "la pollution" qu'ils pourraient engendrer en les éduquant de manière à ce qu'ils deviennent le moins possible des pollueurs. Bref ! faire en sorte que mes soi-disant "petits pollueurs" deviennent de futurs écolos.

Et puis après tout une personne célibataire peut être aussi pollueuse qu'une famille si par exemple celle-ci ne se sent pas du tout concernée par l'environnement (pas de recyclage ni d'économie d'énergies), voyage au quatre coins du monde tous les ans, roule en 4x4, remplace son portable (ou autre appareil hi-tech) tous les 6 mois, etc... (c'est une version exagérée bien sûr).
Je suis sûre que mon homme, mon fils et moi ne sommes pas plus pollueurs que ce genre de personne puisque nous n'avons pas les moyens, ni le besoin de vivre de cette manière.

Le problème ce n'est donc pas tant le nombre d'habitants sur la planète mais plutôt leur comportement anti-écolo au quotidien vis-à-vis de l'environnement.
111 ans 3096
Mizirlou a écrit:
Le problème ce n'est donc pas tant le nombre d'habitants sur la planète mais plutôt leur comportement anti-écolo au quotidien vis-à-vis de l'environnement.


Non le problème c'est que le mode vie occidental est anti-écologique par nature. Même sans trop prendre la voiture, même en faisant plein d'efforts... Ce n'est pas un modèle durable ni transposable à l'échelle mondiale.
B I U