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Et pour enfoncer le clou un peu plus dans le pied de ces malotrus, (non, je ferais pas ce jeu de mot minable mais qui là serait pourtant approprié), je ne résiste pas au plaisir de vous offrir un petit extrait d'une chanson de Romain Humeau, le chanteur du groupe français EIFFEL.
Parc'que les ordures portent
un masque de beauté
Que les gros et les grosses
ont été jugés inadmissibles
Que cet inénarrable hiver a toujours été
Et que les fantasmes passent le mur des possibles
Parc'que l'amour est enfant de Bohème
et que les Bohémiens ont beau aimer
Que restera-t-il de ce théorème ?
Rien de rien, si ce n'est un épitaphe,
taffe, taffe, taffe, fais tourner
Parce que croire en quelqu'un
c'est être naïf, sans filet, sans préservatif
Qu'être naïf, c'est être faible
Et qu'être faible ou trop chétif
dans une course déja lancée
C'est être mort
Romain Humeau
(Je m'en irai toujours)
Parc'que les ordures portent
un masque de beauté
Que les gros et les grosses
ont été jugés inadmissibles
Que cet inénarrable hiver a toujours été
Et que les fantasmes passent le mur des possibles
Parc'que l'amour est enfant de Bohème
et que les Bohémiens ont beau aimer
Que restera-t-il de ce théorème ?
Rien de rien, si ce n'est un épitaphe,
taffe, taffe, taffe, fais tourner
Parce que croire en quelqu'un
c'est être naïf, sans filet, sans préservatif
Qu'être naïf, c'est être faible
Et qu'être faible ou trop chétif
dans une course déja lancée
C'est être mort
Romain Humeau
(Je m'en irai toujours)