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Mon métier Ma passion

39 ans 2809
Faites-vous parti de ces personnes pour qui leur métier découle d'une passion?
Votre métier est-il passionnant?
Estce que chaque matin, vous vous dites: super une nouvelle journée de travail commence?
Comment vivez-vous votre  
travail?

Ca fiat beaucoup de questions n'est pas...

On choisi tous nos métiers, mais pas toujours de la même façon... de l'éleveur de chèvre dans le Larzac, à la caissière de supermarché, ça ne semble pas être la même chose qui nous anime le matin au levé (aucun jugement sur ces métiers, ne me méprenez pas les zamis!)

Je me pose depuis toujours des questions sur mon choix de métiers. Je suis paradoxale dans mes "rêves professionnels" mais disons que plus jeune, ça allait d'artisan vitrier à anthropologue... ca craint hein! lol!
Mon métier d'uajourd'hui ne m'épanouit pas vraiment, j'aimerais legerement bifurqué mais je sais aussi que je n'aurais jamais le cran de le faire....

Bref, quel est votre métier? pensez-vous que vous l'avez choisi par réèlle passion, ou parce qu'à un moment donné, faut bien se nourrir aussi et que les rêves, ca ne fait pas tout dans la vie?
60 ans 91 25732
Je crois que je peux dire que je suis passionnée par mon boulot et pourtant, vu de l'extérieur, on ne peut pas dire que le droit public soit particulièrement "bandant" :lol: (pardon pour l'expression).

Je suis capable de souler quelqu'un en lui parlant des compétences d'un conseil municipal, des pouvoirs de police du maire, des actes unilatéraux, des marchés publics, là si je m'écoutais je serais capable de vous parler des deux derniers dossiers que j'ai traités sur les réglementations amiante et plomb... :oops: :lol: Voilà y en a déjà deux qui dorment ! :roll: :lol: :lol:

Mais moi j'adore ça, je vois le droit comme une sorte de jeu de cartes avec des règles, et mon but c'est de gagner sans tricher mais parfois en arrangeant les cartes.

Je n'ai pas choisi mon boulot par passion, je n'ai jamais voulu être fonctionnaire dans ce domaine précis. Mon rêve c'était d'être infirmière (fait mais ça ne me convenait pas) ou libraire (fait aussi mais si on n'est pas propriétaire de sa librairie, ça ne vaut pas le coup).

Je suis tombée dans le droit public comme Obélix est tombé dans la potion magique. Je sortais d'une grave maladie, j'avis perdu mon boulot de libraire, je suis rentrée par hasard dans une collectivité territoriale pour un contrat de 3 mois, ça fait 22 ans que j'y suis, j'ai même eu droit à la médaille du travail pour mes 20 ans de bons et loyaux services. :D

C'est maintenant que je me dis que j'aurais du faire du droit public lors de mes études. Mais à l'époque je ne savais même pas que ça existait.

Je crois que j'ai tout simplement eu de la chance et j'en ai toujours d'aller bosser avec plaisir et d'avoir le sentiment à la fin de chaque journée d'avoir encore appris de nouvelles choses. :D
38 ans Plus loin vers l'ouest 3057
Je suis Aide Médico Psychologique, j'adore mon métier, je suis contente d'aller au travail le soir (travail de nuit).

C'est un boulot enrichissant, mais usant psychologiquement alors je suis contente de me retrouver souvent en vacances, mais à chaque fois je suis heureuse d'y retourner!

Cela dit je compte évoluer dans ma branche, il y'a tellement de possibilités dans le social que j'y réfléchis encore.

Le jour où je me lasserai de mon boulot, pour mon bien et celui des résidents dont je m'occupe, je préférais arrêter et me diriger vers autre chose.
371
Salut, je suis peu etre hors sujet,
Mon plus beau métier, Maman, j'étais aide maternelle, donc le milieu avec les enfants, ma grande passion
38 ans Orgrimmar 6511
Et bien moi je suis un peu dans ton cas, je ne sais pas où j'en suis.
Je suis opticienne, j'ai fait des études pour ça (après avoir fait d'autres études dans d'autres domaines complètement bouchés ou qui ne me convenaient pas non plus).
Franchement, je sais pertinemment qu'il y a pire. Si je ne réfléchis pas trop, je sais m'en contenter. SAUF QUE je réfléchis énormément et je ne m'épanouis pas dans ce métier. Il ne me correspond pas.
Mais comme tu dis, il faut bien gagner des sous d'une façon ou d'une autre, et ce métier n'a pas que des inconvénients (je peux me lever tard, un luxe pour moi, ça n'est pas trop fatiguant physiquement, desfois on croise des gens vraiment sympa, et actuellement l'ambiance de travail est bonne).
Seulement, je SAIS (ou je m'obstine à croire) que je ne ferai pas ça toute ma vie.
J'en suis devenue au point où je me demande si rester à la maison m'occuper de mon futur hypothétique enfant ne serait pas le mieux pour moi, alors que je souhaitais vraiment être utile à la société.
Bref, flou artistique ;)

(ah oui et j'avais un vague projet d'écrivain public, mais vu comment il m'emballe de moins en moins au fur et a mesure, à mon avis je suis encore bonne pour chercher...)
35 ans 2571
Je suis encore étudiante (on croise les doigts pour que ne soit plus pour longtemps...) mais j'ai choisi le métier que je veux faire par passion, en effet.
Quand on fait une prépa et une grande école, tout le monde (n'est-ce pas papa...) vous serine qu'il est normal, logique, de faire une thèse, puis deux thèses et de devenir chercheur/prof de fac.

Bon, moi la recherche en lettres j'aime ça hein, j'adore les lettres et tout... Mais je pense que ça suffit pas d'aimer un métier. On se lève pas pendant 42 ans tous les jours avec le même enthousiasme juste parce qu'on aime son métier : on se lève parce qu'on doit le faire.
Et c'est ça qui me plaît dans le métier d'enseignante, c'est qu'on doit y retourner le lendemain, absolument, parce que les enfants comptent sur nous, parce qu'on a eu une idée cette nuit de ce qu'il faudrait dire à tel ou tel élève pour l'aider, parce qu'il faut absolument que des gens se démènent pour essayer d'arriver à l'égalité des chances et pour transmettre des valeurs qui font du bien à la société aussi.
Je vois comment ce métier a totalement captivé mon copain, il est toujours entraîné dans un flot d'idées nouvelles à tester, il pense toujours à ses élèves, et chaque matin il est vraiment content d'y retourner. Je comprends la satisfaction de les voir progresser, s'en sortir pour certains alors que c'était pas gagné, s'apaiser, tenir des propos plus intelligents et moins haineux, de les voir un peu aimer l'école aussi.

Je voulais un métier utile au sens humain du terme (tous les métiers sont utiles évidemment sinon personne ne nous payerait pour les faire lol) et je crois sincèrement que les livres peuvent aider. Je veux pas organiser des colloques et monologuer devant des amphis d'étudiants.

En fait, pour choisir, je me suis pas demandé ce que j'aimerais le plus faire, mais ce qui m'emmerderait le moins un matin de décembre pluvieux et encore nuit, avec une migraine et des ampoules aux pieds :lol: Je pense que si on a le sentiment qu'on doit y aller, on passe outre le "j'ai-pas-envie..." et on est content de retrouver les marmots même s'ils sont pénibles :mrgreen:
42 ans On my black cloud in a white heaven 7469
Me demande pas pourquoi mais j'ai toujours voulu être secrétaire/assistante depuis que je suis ado.
Mais pour autant j'ai fait un BAC L et je me suis dirigée vers un BTS Assistant de Direction (aujourd'hui appelé Assistant Manager). A l'époque, les filles de la classe m'accusait de faire pareil que mon ex meilleure amie mais j'étais tellement sûre de mon choix que je les laisser parler.

Je me sens utile dans mon métier et j'adore ce que je fais. Mais bien sûr, depuis 10 ans que je fais ce métier, il m'arrive d'en avoir marre et de ne plus en avoir envie. Car, on ne considère pas mon métier, le métier d'assistante d'aujourd'hui est censé avoir énormément évolué et ne ressemble pas au métier de secrétaire d'il y a 20 ans. Secrétaire et assistante ce n'est pas la même chose même si le tronc commun est le même, l'assistante peut se voir attribuer des taches opérationnelles !

Et ça, peu le comprenne et ça me hérisse le poil très très souvent.
J'aimerai qu'on le considère comme il devrait l'être mais c'est pas gagné encore.
Bref, je m'éloigne du sujet là, désolée, je m'enflamme là, l'amour du métier sûrement :lol:

Donc oui, même en aimant mon métier à la base, il m'arrive d'en avoir marre parfois et de venir au taf à reculons. C'est par période.
Mais il est clair que passant 8h par jour de ma vie, je ne me verrai pas faire un métier où je ne m'y sens pas bien (je ne critique pas certains métiers là hein qu'on soit bien d'accord !)
41 ans 303
Hello Tiret,


Pour répondre à ta question je suis psychologue et ergonome.
J'aime bcp mon métier, c'est une réelle passion. Je ne peux m'empêcher de suivre l'actualité dans ce domaine, de chercher de nouvelles infos, les colloques... Je sais que je suis une chanceuse mais j'avoue qu'au départ, je voulais pas faire ça, je voulais tenir une mercerie !
Mais c'est surtout parce que j'ai une seconde passion, la broderie et la couture. Mais par la suite j'ai découvert le métier de psycho et d'ergo à la fac et je me suis dit que c'était pour moi.

Ce qui est également important c'est les conditions dans lesquelles tu exerces ton boulot. Moi je suis très contente d'être dans une structure où j'ai la chance de visiter tous les jours une entreprise différente, je ne m'ennuie jamais, je commence à connaître bcp de domaines (l'industrie, le soins, l'alimentaire, l'administration...). C'est surtout l'envie de venir en aide à des personnes en difficultés qui me motive tous les matins. Comme partout, il y a quelques fois des difficultés dans mon équipe mais cela n'altère en rien mon désir de poursuivre cette activité .

Ta question est super intéressante, par rapport à mes interventions, je trouve effectivement que les gens sont super épanouies et risquent beaucoup moins d'être soumis à des problèmes de santé en lien avec le travail (comme par exemple des troubles musculoquelettiques, un stress professionnel...) lorsqu'ils font un métier qu'ils aiment ou en tout cas un métier qui leur apporte ce dont ils ont besoin.

Ce que je trouve dommage c'est quand France il y a plein de métiers méconnus, il n'y a pas assez d'infos auprès des jeunes sur les différentes possibilités qui s'offrent à eux.
Sincèrement on m'aurait parlé de psycho du travail et d'ergonomie à la sortie du bac, j'aurais fait cette tête lol :shock:
146
J'ai longtemps était indécise sur ce que je voulais faire...J'ai passé des diplômes ne voulant pas trop me casser les pieds,des diplômes faciles d'accès,ou je devrais pas trop en donner,ouais l'école j'aimais pas trop ça,pourtant qu'est ce que j'aimais apprendre... :?

Et puis il y a un an je me suis posée,mais qu'est ce qui pouvait bien m'animer comme ça ?
Qu'est ce qui me prenait les tripes,pourquoi serais je prête à me lever tous les matins...

Et j'ai repris mes études,tout d'abord une équivalence au baccalauréat que je n'avais pas passé..Aujourd'hui je vais rentrer en PECM1 oui je sais,même moi je n'y crois pas :D ,je vais m'accrocher,faire de mon mieux...Donner le maximum !!! Parceque pour que je sois épanouie pleinement il faut que je devienne sage-femme je le sais...

Donnez moi la force et le courage les filles pour que je m'y tienne,et que je parvienne à réaliser mon rêve...

Tant que je suis en vie,tout est encore possible non ?!
43 ans on the road again... 517
et bien ... non, mon métier initial ne me passionne pas...

c'est l'histoire d'une fille qui ne sait pas vraiment ce qu'elle veut faire dans la vie, elle est passionnée d'équitation, et voudrait travailler dans le social (éducateur spécialisé avec les ados) mais sa mére la bassine pour qu'elle fasse du droit: notaire... :?

la fille a des possibilités mais elle s'en fout, elle fait un bac L, elle fait 1 an de BTS assurances (beurk), elle fait 1 ans de BTS assistante de direction (re beurk)
elle en a marre passe un concours administratif sur un coup de tete, est embauchée dans la foulée... :roll:

aprés 10 ans de fonction publique pour raison "alimentaire", un 4éme bébé imprévu se pointe, et elle prend un congé parental
pour la peine, elle se dit qu'elle va changer de branche et devient assistante maternelle, pour etre plus en accord avec elle même et voir grandir ses enfants

elle sait qu'elle fera autre chose dans 10 ans, ce coup ci elle a suffisamenet confiance en elle pour y croire, elle choisira pour son épanouissement personnel uniquement

la morale de cette histoire est qu'il vaut mieux avoir des remords que des regerts
j'aurai du envoyer paitre ma mére, me lancer dans le cheval a corps perdu, quitte a gagner 3 francs 6 six sous et vivre dans un 20m², mais se lever tous les matins pour vivre sa passion, cela n'a pas de prix
41 ans 303
Hello,

Je suis tout à fait d'accord avec Emmyjolie, vaut mieux avoir des remords que des regrets. J'espère que tu trouveras prochainement une activité qui te plaira réellement.

J'ai vécu un peu la même chose mais j'ai réussi de justesse à échapper à ça:
ma mère m'a poussé pour faire l'IUFM après ma licence de psycho pour être instit comme bcp de monde dans ma famille. Je voulais pas devenir instit mais c'était intéressant pour elle car ces études coûtent pas cher et je pouvais continuer à travailler à côté comme assistante d'éduc dans un collège. Tout bénef pour des parents qui veulent pas payer vos études!

Au final, j'ai tout plaqué pendant cette année, j'ai mis pas mal d'argent de côté sur cette fin d'année en faisant notamment jusqu'à 8 heures de ménage chez des particuliers en plus, j'ai repris le master de psycho et d'ergo l'année suivante en prenant un prêt étudiant car difficile en Master de continuer à travailler pour subvenir à mes besoins.

Ca m'a bien emmer... car j'ai du rembourser pendant mes 2 premières années de travail ce prêt mais j'ai réussi à faire ce que je voulais.

Alors c'est vrai, les parent pensent parfois bien faire mais je crois que lorsqu'il s'agit d'études et d'avenir, 'il faut d'abord s'écouter soit même, même si cela doit dire bcp de sacrifices...
43 ans 2087
C'est quand même cool, on est beaucoup à s'épanouir dans notre vie professionnelle.
Je suis journaliste en presse quotidienne départementale depuis six ans. Journalisme, ça a été mon seul et unique objectif depuis mes 15 ans (avant je voulais être... médecin légiste ou archéologue). Mais pas en PQD : je voulais être critique de cinéma. Sauf que bon, sans piston, impossible de rentrer dans cette branche, à moins d'avoir une culture cinématographique de timbré, ce qui n'est pas mon cas. En désespoir de cause, à la sortie de l'école, j'ai fini par accepter une offre dans mon journal actuel. C'était vraiment en désespoir de cause, car les stages que j'avais fait en PQD et PQR (régional) ne m'avaient absolument pas plu....
Et finalement, ben je m'éclate. Bon je suis d'un naturel ronchon, donc je ne me lève pas en me disant "chouette une nouvelle journée au bureau", mais il n'empêche que je vais au boulot avec le sourire et qu'il m'arrive même de retourner travailler sur mes jours de repos. Je ne fais jamais la même chose, je vois des tonnes de trucs, je peux poser autant de question que je veux (important pour moi, la curieuse compulsive), je rencontre plein de gens intéressants. Hier par exemple, j'ai suivi des archéologues sur un chantier de fouilles, c'était le pied total ! Hier soir, fête de la musique, c'était sympa. Avant hier, conseil municipal, moi la vie municipale, ça me passionne etc.
Comme en plus, l'équipe de la rédac est géniale, j'ai vraiment pas à me plaindre.
36 ans dans le suuuuuuuuud :) :) :) 113
coucou les filles :) :multi:

eh bien ça fait plaisir de voir des gens heureux au boulot :) :) :)
Je fais également partie du groupe :) :) je suis technicienne en instrumentation dans la recherche et je trouve ça troooooooop génial :) :) ça fait 4 ans déjà et le matin j'ai hâte d'y aller :) :) pour bosser et découvrir de nouvelles choses et surtout pour dire des bêtises avec mes supers collègues :) :)
Et en effet je travaille dans un domaine qui me passionne depuis la 5ème : la physique :) :) wouhouuuuuuuuuuuu :) :) trop bien :) :) de nature très curieuse également la recherche arrivée dedans par hasard avec un stage est complétement fait pour moi :) :) :)
Aller je fini ma petite pub et je vous souhaite une bonne soirée :) :)

bizbiz
43 ans on the road again... 517
minounette2 a écrit:

Alors c'est vrai, les parent pensent parfois bien faire mais je crois que lorsqu'il s'agit d'études et d'avenir, 'il faut d'abord s'écouter soit même, même si cela doit dire bcp de sacrifices...


c'est exactement ce que je pense.

pour celles qui savent ce qu'elles veulent faire, c'est plus simple, il suffit de suivre le cursus tout tracé, mais quand on te dit de choisir ta voie a 15 ans, beaucoup d'ados ne savent pas, a cet age la on a plein de soucis sauf notre futur boulot, pas évident de se projeter ou d'aller contre les desideratas de nos parents

c'est le discours que je tiens a mes enfants, peu importe ce que tu veux faire je te soutiendrai, je ne te demande qu'une seule chose: fais le bien.
111 ans Sous la neige au fond à droite 7534
Malheureusement, des fois, on ne sait pas ce qu'on veut faire. Même sans la pression des parents...

Moi ça n'a pas vraiment été mon cas: bac L option latin, je me suis bloquée à peu près tous les métiers du monde :lol:. À cette époque, je regardais la télé 12 heures par jour et j'aimais l'anglais: ma mère, pleine de bonne volonté, a parlé de sous-titrage de programme télé. L'idée était pas con mais moi qui ai besoin de contacts humains et de stimulation intellectuelle intense, y avait pas moyen. Alors j'ai fait une prépa, j'ai loupé plein de concours et je me suis retrouvée en double maîtrise puis en double master de philo et de linguistique de l'anglais. Ça a fini par me saouler et j'ai retrouvé ma vraie, ma grande passion de toujours: la littérature et comme chacun sait, je finis ma thèse et ça me gonfle (J-20 wepwezent!) - et par contre, Salammbo, deux thèses? C'est malin, je pleure maintenant.

À côté j'enseigne, j'écris des articles que personne lit, je donne des confs devant un groupe constitué à 50% de M. Doo mais j'ai vraiment le sentiment que je sers à quelque chose, que ma recherche, qui touche à la socio, à l'histoire des femmes et à la philo a une utilité. Sinon, j'en serai pas capable. Et j'adooooore ce que je fais.
B I U