49 ans
Paris
9874
Capucine a écrit:
Je n'ai pas vu à quel moment le post avait "dérapé" et en quoi :shock:
Pour l'expression "malhonnêteté intellectuelle", en quoi n'est-elle pas claire dans son contexte?
Poupoule dixit: "Je ne suis pas en train de dire qu'on doit forcément s'investir des années dans la ra pour pouvoir en dire qch de précis... mais un minimum me semble relever de l'honnêteté intellectuelle. Ca vaut pour tous les témoignages, je ne parle pas spécialement du tien."
Je disais donc simplement que parler de ra en s'y étant coltiné ou pas, ce n'est pas exactement la même chose, et l'honnêteté consiste à le reconnaître. J'ai plein d'idées sur la parentalité, et pourtant je ne prétends pas avoir été parent moi-même, c'est tout. Pas la peine d'y voir plus grave ou que sais-je. N'est-ce pas l'expérience la plus commune de cette partie du forum que de lire: je viens de commencer une ra, je fais gaffe à manger équilibré et j'espère bien voir les résultats très vite. Ben non, il ne suffit pas de parler de ra pour que ça en soit.
Quant à élaborer sur ton expérience (ce dont je te remercie), désolée tu l'avais peut être déjà précisé ailleurs mais il m'arrive de manquer des posts... maintenant j'ai bien saisi ton parcours. Tu as fait 3 séances et demi avec quelqu'un qui prétendait à tort relever de la ra, puis plus tard une vraie thérapie prolongée et fructueuse avec qqn qui ne s'en prévaut pas, et qui répond bien à ta demande d'adéquation patient/thérapeute. OK, c'est tout ce que je demandais. C'est où le dérapage?
Quant à cette description que tu fait de ta propre thérapie: "je ne cesse de clamer qu'il me semble qu'une voie possible, est de ne considérer les problématiques corporelles et alimentaires que comme des dommages collatéraux de douleurs plus profondes, auxquelles on peut s'attaquer directement."
... en quoi d'après toi diffère-t-elle de la ra? comment sais-tu que ça n'est pas ce que Z et A (par exemple) pratiquent dans leur cabinet? comment peux-tu le savoir puisque tu n'as pas fait de ra (même si tu t'es renseignée à ce sujet)?
Plusieurs fois j'ai fait allusion aux déclarations de ces médecins eux-mêmes sur leur propre pratique, et notamment la réponse à la critique un peu caricaturale qui consiste à y voir des TCC ne s'attaquant pas aux fameux "maux profonds"... et tu n'as pas répondu. "C'est la même chose même si ça s'appelle pas pareil", j'ai trouvé ça un peu court pour qqn qui ne s'y est pas confronté.
Si ni les propos de ces médecins ni ceux de leurs patients ne t'intéressent et ne risquent de te faire changer d'avis sur quoi que ce soit... ben tant pis! mais moi je ne prétendrai pas que le post "dérape" pour autant ;)
Je me doutais que la discussion allait déraper, et c'est pour ça que j'avais arrêté de parler sur ce thème ces derniers mois. Ca n'a pas loupé.
Je ne comprends pas pourquoi tu parles de malhonnêteté intellectuelle ici.
Je ne comprends pas pourquoi tu parles de malhonnêteté intellectuelle ici.
Je n'ai pas vu à quel moment le post avait "dérapé" et en quoi :shock:
Pour l'expression "malhonnêteté intellectuelle", en quoi n'est-elle pas claire dans son contexte?
Poupoule dixit: "Je ne suis pas en train de dire qu'on doit forcément s'investir des années dans la ra pour pouvoir en dire qch de précis... mais un minimum me semble relever de l'honnêteté intellectuelle. Ca vaut pour tous les témoignages, je ne parle pas spécialement du tien."
Je disais donc simplement que parler de ra en s'y étant coltiné ou pas, ce n'est pas exactement la même chose, et l'honnêteté consiste à le reconnaître. J'ai plein d'idées sur la parentalité, et pourtant je ne prétends pas avoir été parent moi-même, c'est tout. Pas la peine d'y voir plus grave ou que sais-je. N'est-ce pas l'expérience la plus commune de cette partie du forum que de lire: je viens de commencer une ra, je fais gaffe à manger équilibré et j'espère bien voir les résultats très vite. Ben non, il ne suffit pas de parler de ra pour que ça en soit.
Quant à élaborer sur ton expérience (ce dont je te remercie), désolée tu l'avais peut être déjà précisé ailleurs mais il m'arrive de manquer des posts... maintenant j'ai bien saisi ton parcours. Tu as fait 3 séances et demi avec quelqu'un qui prétendait à tort relever de la ra, puis plus tard une vraie thérapie prolongée et fructueuse avec qqn qui ne s'en prévaut pas, et qui répond bien à ta demande d'adéquation patient/thérapeute. OK, c'est tout ce que je demandais. C'est où le dérapage?
Quant à cette description que tu fait de ta propre thérapie: "je ne cesse de clamer qu'il me semble qu'une voie possible, est de ne considérer les problématiques corporelles et alimentaires que comme des dommages collatéraux de douleurs plus profondes, auxquelles on peut s'attaquer directement."
... en quoi d'après toi diffère-t-elle de la ra? comment sais-tu que ça n'est pas ce que Z et A (par exemple) pratiquent dans leur cabinet? comment peux-tu le savoir puisque tu n'as pas fait de ra (même si tu t'es renseignée à ce sujet)?
Plusieurs fois j'ai fait allusion aux déclarations de ces médecins eux-mêmes sur leur propre pratique, et notamment la réponse à la critique un peu caricaturale qui consiste à y voir des TCC ne s'attaquant pas aux fameux "maux profonds"... et tu n'as pas répondu. "C'est la même chose même si ça s'appelle pas pareil", j'ai trouvé ça un peu court pour qqn qui ne s'y est pas confronté.
Si ni les propos de ces médecins ni ceux de leurs patients ne t'intéressent et ne risquent de te faire changer d'avis sur quoi que ce soit... ben tant pis! mais moi je ne prétendrai pas que le post "dérape" pour autant ;)