les groupes et profils fachos sur le net

la vraie vie sans facebook, c'est le bonheur :lol:

Non, y a les infos et les journaux ! :lol:

ClauBreizhPolska a écrit:

Et la rue... J'ai eu droit à "Sale métèque" ( je rentrais de vacances et mon coup de soleil généralisé ( parce qu'après avoir rôti devant j'avais rôti derrière dans un esprit de symétrie) s'était transformé en bronzage apparemment suspect), "Sale toubab", "Sale bourgeoise", "Sale gauchiste" (j'avais mentionné être prof), le harcèlement de rue sexiste par excellence... Notez la récurrence d la mise en doute de mon hygiène perso quand même... :roll:

ClauBreizhPolska a écrit:

à moins de lire Minute, on a qd mm du mal à tomber sur ce genre de propos...

Je pense vraiment pas qu'on puisse mettre extrème gauche et extrème droite dans le même panier.

Voila un article interessant sur le sujet:

http://mobile.liberati...-different-radicalement_909282

Alors oui dans les années 80 c'était différent, m'enfin c'était y'a 30 ans quand même. L'extrème gauche en France, à l'heure actuelle, me fait aussi peur qu'un panier de chatons.

Moi aussi ça me débecte ce que je peux trouver sur facebook. Et quand on signale bien souvent rien n'est retiré. Par contre les photos artistiques de nus sont retirés manu militari. Z'ont de droles de valeurs.

Sachant que je suis très très fatiguée je sais pas trop si ce que je dis au dessus exprime bien ce que je veux dire. M'enfin mon message n'exprime aucune critique ni rien. C'est juste mon avis sur la question. Faut pas le prendre mal ni rien. C'est juste que mon cerveau est éteint !

zazator a écrit:

Heu t'as vu par qui il est relayé l'article?
Personnellement, je ne pense pas qu'il faille faire de différence entre les fachos bruns et les fachos rouges.
Les deux extrêmes, c'est peut-être pas la même odeur mais ça pue autant. Oui ça c'est vraiment sale!

wildtendercat a écrit:

Sachant que de par tes interventions j'ai l'impression que tu es mentalement resté bloqué dans les années 50 je n'ai pas envie d'avoir ce débat avec toi. J'attends beaucoup + de Lovely.

Pour une fois, je suis d'accord avec Wildtendercat. Tout extrêmisme, de tout bord, porte en soi la menace et la violence. Aujourd'hui, et quelque soit l'extrêmisme, je dirais que nous sommes moins à l'abris que dans les années 80 car la dépression accentue la violence et ce genre de recours.

Sauf que dans l'actualité je ne vois pas beaucoup de violence de la part de l'extrème gauche. Extrème gauche qui semble compter bien peu de membres. Bien entendu je ne compte pas les loulous de 16 ans qui se disent extrème gauche pour se donner un genre. Au contraire de l'extrème droite. Il n'y a pas eu de "représailles" en réponse au meurtre de Clément. Juste des manifs pacifistes. Ce qui semblerait bien prouver que la violence ne vient pas de ce bord là.
Idem pour les agressions homophobes ou racistes de ces dernières années. Je n'ai jamais entendu parler d'agressions anti-extrème droite en retour.
Peut-être que les gens d'extrème gauche ont su tirer des lecons de leurs erreurs passées ? Je les pense moins obtus que ceux de l'autre bord.

Je tiens néanmoins à préciser que je ne me revendique pas de cet extrème. Je trouve juste regrettable de le mettre en miroir de l'extrème droite. Qui elle me fait réellement peur. Justifiée par l'actualité de ces dernières années.

Tant que je ne constaterai pas le retour de bande comme celle de la bande à Badeer je ne pense pas m'inquiéter outre mesure.

(On excuse les répétitions de tous genre merci)

LovelyLexy a écrit:

J'espère qu'il y en aura d'autres ;)
Des exemples récents, très postérieurs aux années 50 (lol) :
- les fachos de droite en opposition parfois violente au mariage pour tous.
- les black blocks (fachos de gauche) extrêmement violents et destructeurs dans les sommets de type G8, G9 etc...
- les fous de dieux (fachos musulmans) dans les manifestations en soutien de la cause palestinienne (c'est un peu plus vieux, ça remonte à 2009 si je me souviens bien).

Tout ça c'était l'expression d'une violence politique, pas celle de pauvres gens qui n'ont plus rien à perdre et qui sont au bout du rouleau.

zazator a écrit:

Ou peut être que les déconvenues successives leur ont enlevé leur aura de révolution et de romantisme... Je vais faire une analyse, à partir d'une remarque du philosophe Levinas au moment de la chute du bloc communiste: "l'idéal de la révolution a disparu.". En effet, on a pu voir s'effondrer le réultat des révolutions d'extrême gauche, sans intervention extérieure notable: en DDR, il fallait dix ans pour avoir un bien de consommation, les magasins étaient vides et le moindre mot de travers te valait une arrestation, tout le monde épiait tout le monde et était sur écoute. Tu as aussi les Khmers Rouges. Il reste la Corée du Nord, plus connue pour ses menaces et pour connaître régulièrement des famines, et la Chine qui se capitalise de manière assez perso ( j'ai une amie qui y a vécu et c'est une bombe à retardement, notamment car il n'existe aucun point d'eau non lourdement pollué). Les extrêmes droites se sont effondrés suite à une défaite militaire, et n'ont pas perdu de leur "prestige" aux yeux de leurs adhérents.
Mais je reste quand même sur mes gardes. En zappant sur les infos en vitesse, j'ai entraperçu des images de groupes d'extrême gauche potentiellement violents, et un mélange de riposte/réaction pourrait relancer la machine. On ne sait jamais, les pires coups de l'histoire sont généralement arrivés du côté où on s'y attendait le moins.

Franchement, y a pire que ce que tu cites, vas faire un tour sur le net : sang, race, purification, etc ...

En première ligne ceux de droite (extrémistes)prêts à éradiquer tout ce qui ne leur convient pas par la violence.
et les musulmans (extrémistes) avec les attentats.

Les autres bof, à mon avis moins de danger .

Politique ou religieuse les raisons importent peu.
Ce qui importe c'est le fait que ça enfle en temps de crise et que des innocents paient.

A mon avis, dans les temps à venir, tous les extrêmismes vont se développer: regardez, dans les années 30 on avait des batailles rangées entre extrêmisme opposés; chaque chose appelle l'apparition de son contraire