H
Moi je buvais pas mal de coca light, mais coca quand même, du coup c'était mauvais surtout avec tout l'asparthame et les colorants qu'il y a dedans.
La question de l'entretien sur le contenu de mon assiette m'a destabilisée car j avais déjà admis d'entrée de jeu que niveau quantitatif, je mangeais en trop grande quantité lors des repas, et que je mangeais des trucs trop gras et trop sucrés aussi trp souvent. Simplement dans mon cas, je mangeais aussi souvent des trucs "dits" équilibrés. L'un n'excluait pas l'autre chez moi, alors qu elle dans son discours si niveau quantitatif tu était dans le trop, bah qualitativement aussi tu était forcément dans la junk food. Je ne sais pas si on peux se sentir "satisfait" après un entretien psy, je pense qu'on se sent "travaillé" un peu comme quand on reviens de l'ostéo mais au niveau mental. Moi après l'entretien je me suis sentie cataloguée, pas prise dans mon individualité. Je sais aussi qu'il a été notée que je mettais en oeuvre des "stratégies d'évitement" dans mes relations sociales, simplement j'aurais aimé demandé à la psy ce que je pouvais avoir comme alternative à l'époque... je me le suis un peu pris en pleine poire, un peu comme si on disait de moi que je suis quelqu un de fuyant, lâche et je n'ai jamais su quelle était la pertinence de cette observation au niveau psychologique, j'aurais bien aimé.Je suppose qu'il s'agissait de déterminer si j'étais isolée, ou en plein épisode dépressif.... Pourtant j ai admis ue je me sentais vraiment pas bien
Oui quand tu as un TCA même si tu es opérée tu échoues, la personne opérée que je connais qui reprends du poids c'est son cas. Elle ne sait pas pourquoi elle mange, elle se dit heureuse ds sa vie familiale, heureuse dans sa vie pro, du coup là c'est le noir complet pour elle, la raison pour laquelle elle mange est totalement inconsciente. C'est vraiment galère à traiter les TCA, le parcours est long, je ne sais pas si un jour tu peux te sentir "guéri". Je pense que tu es plutôt en rémission. C'est pas vraiment comme un alcoolique qui ne retouchera pas à un verre et sera complètement abstinent, c'est pire : tu devras te nourrir tous les jours en combattant une pulsion, une pensée, une manière d'être etc.
La question de l'entretien sur le contenu de mon assiette m'a destabilisée car j avais déjà admis d'entrée de jeu que niveau quantitatif, je mangeais en trop grande quantité lors des repas, et que je mangeais des trucs trop gras et trop sucrés aussi trp souvent. Simplement dans mon cas, je mangeais aussi souvent des trucs "dits" équilibrés. L'un n'excluait pas l'autre chez moi, alors qu elle dans son discours si niveau quantitatif tu était dans le trop, bah qualitativement aussi tu était forcément dans la junk food. Je ne sais pas si on peux se sentir "satisfait" après un entretien psy, je pense qu'on se sent "travaillé" un peu comme quand on reviens de l'ostéo mais au niveau mental. Moi après l'entretien je me suis sentie cataloguée, pas prise dans mon individualité. Je sais aussi qu'il a été notée que je mettais en oeuvre des "stratégies d'évitement" dans mes relations sociales, simplement j'aurais aimé demandé à la psy ce que je pouvais avoir comme alternative à l'époque... je me le suis un peu pris en pleine poire, un peu comme si on disait de moi que je suis quelqu un de fuyant, lâche et je n'ai jamais su quelle était la pertinence de cette observation au niveau psychologique, j'aurais bien aimé.Je suppose qu'il s'agissait de déterminer si j'étais isolée, ou en plein épisode dépressif.... Pourtant j ai admis ue je me sentais vraiment pas bien
Oui quand tu as un TCA même si tu es opérée tu échoues, la personne opérée que je connais qui reprends du poids c'est son cas. Elle ne sait pas pourquoi elle mange, elle se dit heureuse ds sa vie familiale, heureuse dans sa vie pro, du coup là c'est le noir complet pour elle, la raison pour laquelle elle mange est totalement inconsciente. C'est vraiment galère à traiter les TCA, le parcours est long, je ne sais pas si un jour tu peux te sentir "guéri". Je pense que tu es plutôt en rémission. C'est pas vraiment comme un alcoolique qui ne retouchera pas à un verre et sera complètement abstinent, c'est pire : tu devras te nourrir tous les jours en combattant une pulsion, une pensée, une manière d'être etc.