42 ans
Rennes
293
Tu vois tout sous un prisme très populaire et malheureusement hyper admis sans pour autant dire des choses tout à fait fausses... Mais tu parles d'époques ou hommes et femmes n'attendaient pas les mêmes choses de la vie dans un contexte plus que dépassé où les seules personnes qui pouvaient nous ressembler à peine un peu dans nos attentes actuelles étaient une poignée d'aristocrates.
L'histoire ne fait pas que s'apprendre, ça se comprend surtout et c'est toujours nuancé. J'ai effectivement fait des études entre autre en histoire ce que de moins en moins de garçons ont justement la chance de faire vu comme ils sont frappés par l'échec scolaire et je le crois dans l'indifférence. Le discours visant à faire des femmes des victimes et des hommes des bourreaux est idéologique et orienté. Faisant 50% de la population (et toujours un peu plus pour de multiples raisons, guerres, expositions à certaines activités et maladies liées, biologie peut-être...), tu n'en veux pas aux femmes de ne pas avoir évité ses croyances que tu dénonces ou les chasses aux sorcières? De ne pas avoir influencé suffisamment l'écriture d'un texte (je ne veux pas parler de ce qui est sacré pour certaines personnes)? Vous auriez peut-être pu éviter les guerres aussi? Et que sais-je encore...
Non tu ne le fais pas, et sais-tu pourquoi? C'est facile et rassurant de pouvoir se poser en victime. Pour les hommes c'est l'inverse, ils ont du mal à le faire car ont leur a appris à éviter de se comporter ainsi et à combattre en s'opposant même contre eux-même ce qui leur fait grandement défaut dans le monde actuel. Alors tu pourras me sortir des milliards de chiffres, ils sont tous en évolutions car les hommes commencent tout juste à se rendre compte qu'ils doivent évoluer sur de nombreuses questions et les prises en compte ne font que commencer fébrilement.
J'ai voulu parler de la question des hommes car je crois justement que des sujets sont mis sous silence et des questions n'évoluent pas pour eux et la façon dont le sujet était traité le démontrait bien. J'ai remis en question hommes et femmes d'ailleurs et mentionnant toujours le bien fondé des causes des femmes mais sans pour autant en accepter tous les aspects et en montrant la responsabilité est toujours partagée. Mais toi, tu t'ai posé en victime et tu as accusé les hommes en voulant me faire passer pour une personnes qui est contre toi et surtout contre les femmes dans un match où il faudrait savoir qui est plus victime que l'autre. Ce n'est pas un peu gros tout ça?
Comment vas-tu me répondre? En te victimisant toujours plus en tant que femme? ou en trouvant des nuances constructives sur ce que je dis? Peut-être en m'aidant justement à avoir un autre regard sur #balancetonp... et me disant comment je fais pour supporter de vivre au milieu de personnes qui me prennent pour un danger potentiel en vue du genre qu'ils m’attribuent. Je suis sûr que je ne suis pas le seul homme à le vivre, mais en parler n'est pas si simple, on a souvent un peut trop d'honneur ou peur de la réaction en face et c'est bête je l'admets. Car moi sérieusement, je le vis toujours mal et comme un traumatisme.
L'histoire ne fait pas que s'apprendre, ça se comprend surtout et c'est toujours nuancé. J'ai effectivement fait des études entre autre en histoire ce que de moins en moins de garçons ont justement la chance de faire vu comme ils sont frappés par l'échec scolaire et je le crois dans l'indifférence. Le discours visant à faire des femmes des victimes et des hommes des bourreaux est idéologique et orienté. Faisant 50% de la population (et toujours un peu plus pour de multiples raisons, guerres, expositions à certaines activités et maladies liées, biologie peut-être...), tu n'en veux pas aux femmes de ne pas avoir évité ses croyances que tu dénonces ou les chasses aux sorcières? De ne pas avoir influencé suffisamment l'écriture d'un texte (je ne veux pas parler de ce qui est sacré pour certaines personnes)? Vous auriez peut-être pu éviter les guerres aussi? Et que sais-je encore...
Non tu ne le fais pas, et sais-tu pourquoi? C'est facile et rassurant de pouvoir se poser en victime. Pour les hommes c'est l'inverse, ils ont du mal à le faire car ont leur a appris à éviter de se comporter ainsi et à combattre en s'opposant même contre eux-même ce qui leur fait grandement défaut dans le monde actuel. Alors tu pourras me sortir des milliards de chiffres, ils sont tous en évolutions car les hommes commencent tout juste à se rendre compte qu'ils doivent évoluer sur de nombreuses questions et les prises en compte ne font que commencer fébrilement.
J'ai voulu parler de la question des hommes car je crois justement que des sujets sont mis sous silence et des questions n'évoluent pas pour eux et la façon dont le sujet était traité le démontrait bien. J'ai remis en question hommes et femmes d'ailleurs et mentionnant toujours le bien fondé des causes des femmes mais sans pour autant en accepter tous les aspects et en montrant la responsabilité est toujours partagée. Mais toi, tu t'ai posé en victime et tu as accusé les hommes en voulant me faire passer pour une personnes qui est contre toi et surtout contre les femmes dans un match où il faudrait savoir qui est plus victime que l'autre. Ce n'est pas un peu gros tout ça?
Comment vas-tu me répondre? En te victimisant toujours plus en tant que femme? ou en trouvant des nuances constructives sur ce que je dis? Peut-être en m'aidant justement à avoir un autre regard sur #balancetonp... et me disant comment je fais pour supporter de vivre au milieu de personnes qui me prennent pour un danger potentiel en vue du genre qu'ils m’attribuent. Je suis sûr que je ne suis pas le seul homme à le vivre, mais en parler n'est pas si simple, on a souvent un peut trop d'honneur ou peur de la réaction en face et c'est bête je l'admets. Car moi sérieusement, je le vis toujours mal et comme un traumatisme.