X
c'est pas ceux qui ont les plus grandes oreilles qui entendent le plus....
42 ans
Rennes
293
Je pense que tu devrais développer sur ce que tu disais sur un féminisme qui souhaite "déconstruire" un genre wildtendercat. Car moi je suis d'accord avec ces personnes sur un
certain fond, mais pas la forme ni le fondement trop idéologique (la forme peut être très idéologique l'air de rien et super néfaste). Je pense justement que c'est très important pour les hommes de dégager ce qu'il y a bon dans cette cause et que c'est tout particulièrement notre intérêt et notre valorisation qui est derrière. En fait, je vais le dire encore plus fortement, elle font maladroitement ce que nous devrions faire nous et c'est tout le problème. (Ne rien y voir de misogyne, je pourrais le dire à l'inverse sur un autre sujet, les hommes font maladroitement ce que devraient faire les femmes sur ceci ou cela...).
C'est une simple invitation à développer un sujet ou je crois que des choses sont positives malgré les apparences.
C'est une simple invitation à développer un sujet ou je crois que des choses sont positives malgré les apparences.
41 ans
Tours
14
51 ans
Out of nowhere
3834
Haris-tote, répondre à cette question me mettrait HS et pourrait peut-être donner lieu à polémique.
J’estime simplement que si les femmes et les homme doivent avoir une parfaite égalité de droits, il y aura toujours des différences de résultats liées au sexe. Car même si certains stéréotypes peuvent effectivement conduire à nuire à une parfaite égalité de droits (en conditionnant par exemple une jeune fille à lui faire croire que telle ou telle profession est un métier d’homme), les différences entre les sexes sont importantes. Une « mode » actuelle semble surestimer les facteurs culturels comme comme cause d’effets et de différences conduisant à une inégalité entre les sexes.
J’estime simplement que si les femmes et les homme doivent avoir une parfaite égalité de droits, il y aura toujours des différences de résultats liées au sexe. Car même si certains stéréotypes peuvent effectivement conduire à nuire à une parfaite égalité de droits (en conditionnant par exemple une jeune fille à lui faire croire que telle ou telle profession est un métier d’homme), les différences entre les sexes sont importantes. Une « mode » actuelle semble surestimer les facteurs culturels comme comme cause d’effets et de différences conduisant à une inégalité entre les sexes.
42 ans
Rennes
293
L'égalité est importante, je crois que c'est un but et un horizon institutionnel à atteindre mais rarement un moyen. Malgré tout c'est un mot, aussi légitime soit-il et aussi belle qu'en soit l'idée. Être égal, certes mais sur quoi? Qu'est-ce qui est pris en compte dans cette égalité? Avec l'égalité au fronton de notre pays on peut vivre de façon parfaitement inégale sur bien des sujets et pour encore très longtemps. C'est un peu comme une devise nécessaire à ne pas oublier pour guider nos réflexions, nos combats. Cela ne veut de toute façon pas dire égalitaire et j'y suis favorable.
Pourquoi des facteurs biologiques ne seraient pas pris en compte? Je connais quelques recherches concernant des difficultés de garçons mais manifestement les arguments en faveur des hommes ne font pas flores ici donc je m'en tiens là pour le moment. Une différence biologique peut parfaitement être source d'inégalités et nul n'en est responsable alors pourquoi continuer à pénaliser?
D'un autre côté, hommes et femmes peuvent parfaitement faire les mêmes métiers sur le plan biologique. Je ne sais pas si on peut trouver des exceptions rares, rien ne me vient en tête... Dans l'ultime, je donne ma langue au chat. Enfin, je crois que si jamais on parvient à trouver des exceptions éventuelles (j'ai des doutes mais ne sait-on jamais), la réflexion globale est la même.
Nous allons peut-être devoir sortir de ce dualisme où la cause de l'un remettrait nécessairement en question celle de l'autre et comprendre enfin qu'un stéréotype ou préjugé s'élabore à la jonction des deux parties et l'organisation sociale qui fait consensus. Je crois sincèrement que c'est ce qui n'a pas été compris ou que l'on ne veut pas accepter.
Je crois que les hommes devraient changer de point de vue sur bien des choses les concernant, mais que la réflexion est sans cesse mal posée. Elle est proposée comme un devoir de changement à cause des mises à mal qu'ils peuvent opérer. Et c'est une prison émotionnelle, encore ces notions de devoir et de responsabilité qui nous font défaut et que nous ne voulons pas lâcher. C'est donc un très mauvais point de vue, c'est exactement l'inverse qu'il faut faire. Les hommes n'ont pas pu évoluer sur bien des sujets à cause de certains encrages idéologiques et n'ont en réalité pas eu l'occasion de faire émerger une réflexion positive de leur genre ou même appris bien souvent à respecter leur être, ni leurs sentiments. Je vais être franc, je suis énormément déçu que cela ne se fasse pas à mon époque (malgré des avancées mais que je crois trop superficielles) même si je suis sûr que cela arrivera mais bien tard pour moi. Quelle frustration personnelle et pour la société quand je vois ce que nous perdons.
Certains hommes sortent déjà de ce contexte grâce à une bonne éducation et un environnement favorable ou d'autre encore ont réussi à se poser les bonnes questions. Mais dès que ce n'est le cas c'est désastreux.
J'aurais encore essayé...
Je vais quand même donner la mince bibliographie de ce que j'ai lu si un jour certaines personnes veulent comprendre mes interventions:
-Pourquoi les garçons perdent pied et les filles se mettent en danger Léonard Sax 2014
-Sois un homme! La construction de la masculinité Anne-Marie Sohn 2009
-Nos garçons en danger! Stephane clerget 2015 (celui que je recommande le plus, mais les autres sont bien aussi)
On peut tout avoir pour pas trop cher en occasion.
Pourquoi des facteurs biologiques ne seraient pas pris en compte? Je connais quelques recherches concernant des difficultés de garçons mais manifestement les arguments en faveur des hommes ne font pas flores ici donc je m'en tiens là pour le moment. Une différence biologique peut parfaitement être source d'inégalités et nul n'en est responsable alors pourquoi continuer à pénaliser?
D'un autre côté, hommes et femmes peuvent parfaitement faire les mêmes métiers sur le plan biologique. Je ne sais pas si on peut trouver des exceptions rares, rien ne me vient en tête... Dans l'ultime, je donne ma langue au chat. Enfin, je crois que si jamais on parvient à trouver des exceptions éventuelles (j'ai des doutes mais ne sait-on jamais), la réflexion globale est la même.
Nous allons peut-être devoir sortir de ce dualisme où la cause de l'un remettrait nécessairement en question celle de l'autre et comprendre enfin qu'un stéréotype ou préjugé s'élabore à la jonction des deux parties et l'organisation sociale qui fait consensus. Je crois sincèrement que c'est ce qui n'a pas été compris ou que l'on ne veut pas accepter.
Je crois que les hommes devraient changer de point de vue sur bien des choses les concernant, mais que la réflexion est sans cesse mal posée. Elle est proposée comme un devoir de changement à cause des mises à mal qu'ils peuvent opérer. Et c'est une prison émotionnelle, encore ces notions de devoir et de responsabilité qui nous font défaut et que nous ne voulons pas lâcher. C'est donc un très mauvais point de vue, c'est exactement l'inverse qu'il faut faire. Les hommes n'ont pas pu évoluer sur bien des sujets à cause de certains encrages idéologiques et n'ont en réalité pas eu l'occasion de faire émerger une réflexion positive de leur genre ou même appris bien souvent à respecter leur être, ni leurs sentiments. Je vais être franc, je suis énormément déçu que cela ne se fasse pas à mon époque (malgré des avancées mais que je crois trop superficielles) même si je suis sûr que cela arrivera mais bien tard pour moi. Quelle frustration personnelle et pour la société quand je vois ce que nous perdons.
Certains hommes sortent déjà de ce contexte grâce à une bonne éducation et un environnement favorable ou d'autre encore ont réussi à se poser les bonnes questions. Mais dès que ce n'est le cas c'est désastreux.
J'aurais encore essayé...
Je vais quand même donner la mince bibliographie de ce que j'ai lu si un jour certaines personnes veulent comprendre mes interventions:
-Pourquoi les garçons perdent pied et les filles se mettent en danger Léonard Sax 2014
-Sois un homme! La construction de la masculinité Anne-Marie Sohn 2009
-Nos garçons en danger! Stephane clerget 2015 (celui que je recommande le plus, mais les autres sont bien aussi)
On peut tout avoir pour pas trop cher en occasion.
67 ans
CHER
27
Bonjour à toutes et à tous
Je trouve la question de Anthonyuu un peu saugrenue , car comme le dis précisément ALLEGORIE , ce sont les préliminaires qui compte . Personnellement , je ne crois pas que la taille est une importance primordiale pour la vie sexuelle d'un couple . Seuls ... les hommes , dans leurs phantasmes rêvent ...( à tort )d'avoir un " membre " hors norme afin ( encore à tort ! ) d'épater ( et souvent d'effrayer ) sa partenaire . Bien évidement , si le pauvre type est franchement " petit " cela risque de devenir problématique . Si le gars est monté comme un étalon ...ce sera aussi problématique , donc restons dans la bonne mesure et contentons nous des préliminaires , de la douceur et la longueur du pénis tombera rapidement dan l'oublie durant l'acte .
Je trouve la question de Anthonyuu un peu saugrenue , car comme le dis précisément ALLEGORIE , ce sont les préliminaires qui compte . Personnellement , je ne crois pas que la taille est une importance primordiale pour la vie sexuelle d'un couple . Seuls ... les hommes , dans leurs phantasmes rêvent ...( à tort )d'avoir un " membre " hors norme afin ( encore à tort ! ) d'épater ( et souvent d'effrayer ) sa partenaire . Bien évidement , si le pauvre type est franchement " petit " cela risque de devenir problématique . Si le gars est monté comme un étalon ...ce sera aussi problématique , donc restons dans la bonne mesure et contentons nous des préliminaires , de la douceur et la longueur du pénis tombera rapidement dan l'oublie durant l'acte .
C
Salut Anthony,
Pour répondre à ta question c’est vrai que ce n’est pas la taille mais la manière sa c’est sur.. après, j’ai eu une relation avec un homme qui avait un très gros sexe et c’est vrai, que comme il y allait brutalement, c’était parfois très douloureux. J’en ai connu un avec un plus petit sexe pour te donner une image il fesait 14cm je crois, et il s’y prenait tellement bien que j’avais plus de plaisir qu’avec le précédent qui en avait un plus gros. Déjà je pense que pour donner du plaisir à une femme il faut bien l’exiter Pour qu’elle soit bien mouiller, et il faut que l’homme bande vraiment a fond qu’il soit vraiment dur et la c’est le kiffe totale... j’espère t’avoir un peu aider...
Pour répondre à ta question c’est vrai que ce n’est pas la taille mais la manière sa c’est sur.. après, j’ai eu une relation avec un homme qui avait un très gros sexe et c’est vrai, que comme il y allait brutalement, c’était parfois très douloureux. J’en ai connu un avec un plus petit sexe pour te donner une image il fesait 14cm je crois, et il s’y prenait tellement bien que j’avais plus de plaisir qu’avec le précédent qui en avait un plus gros. Déjà je pense que pour donner du plaisir à une femme il faut bien l’exiter Pour qu’elle soit bien mouiller, et il faut que l’homme bande vraiment a fond qu’il soit vraiment dur et la c’est le kiffe totale... j’espère t’avoir un peu aider...
55 ans
Une femme grande, blonde et très ronde
1549
Haris-tote a écrit:
Bonjour Haris-Tote
Pour rebondir sur le hors sujet un podcast sur le phénomène metoo.
https://www.francecult...tins-du-mardi-02-octobre-2018.
Je tiens à la galanterie pour ma part (alors que certaines féministes s'y attaquent comme elles s'attaquent ridiculement aux cartes postales kitsches des stations balnéaires...) et je suis d'accord avec cela :
« En France le contrecoup à #metoo me semble plus important que la vague. Les médias n’ont à la bouche que les dérives du mouvement, ses ambiguïtés. Avant-même que le débat ne commence on le circonscrit ».
La parole des victimes passe au second plan.
L'égalité est importante, je crois que c'est un but et un horizon institutionnel à atteindre mais rarement un moyen. Malgré tout c'est un mot, aussi légitime soit-il et aussi belle qu'en soit l'idée. Être égal, certes mais sur quoi? Qu'est-ce qui est pris en compte dans cette égalité? Avec l'égalité au fronton de notre pays on peut vivre de façon parfaitement inégale sur bien des sujets et pour encore très longtemps.
Bonjour Haris-Tote
Pour rebondir sur le hors sujet un podcast sur le phénomène metoo.
https://www.francecult...tins-du-mardi-02-octobre-2018.
Je tiens à la galanterie pour ma part (alors que certaines féministes s'y attaquent comme elles s'attaquent ridiculement aux cartes postales kitsches des stations balnéaires...) et je suis d'accord avec cela :
« En France le contrecoup à #metoo me semble plus important que la vague. Les médias n’ont à la bouche que les dérives du mouvement, ses ambiguïtés. Avant-même que le débat ne commence on le circonscrit ».
La parole des victimes passe au second plan.
51 ans
Mika kamys
3
Coucou ! Qui veux tester 21 cm, anime nu les soirées pour le fun... bisous à toutes.
50 ans
Aucune discussions sur le sexe via le Tchat! Passez votre chemin si c\'est le cas.
4512
J 'aurais cru ne jamais lire ceci ici ..pff
51 ans
Out of nowhere
3834
allegorie a écrit:
« En France le contrecoup à #metoo me semble plus important que la vague. Les médias n’ont à la bouche que les dérives du mouvement, ses ambiguïtés. Avant-même que le débat ne commence on le circonscrit ».
La parole des victimes passe au second plan.
Oui cette vague est plus importante parce qu’on a voulu nous faire croire, à tort selon moi, qu’une révolution était nécessaire. Hors celle-ci a déjà eu lieu, il y a 50 ans, lorsqu’on a proclamé qu’il fallait désormais « jouir sans entraves » et que l’on a détruit tous les codes culturels du désir, la galanterie dont tu parles par exemple. La domination masculine n’existe plus (que maîtrisent-ils de plus aujourd’hui?).
« En France le contrecoup à #metoo me semble plus important que la vague. Les médias n’ont à la bouche que les dérives du mouvement, ses ambiguïtés. Avant-même que le débat ne commence on le circonscrit ».
La parole des victimes passe au second plan.
Oui cette vague est plus importante parce qu’on a voulu nous faire croire, à tort selon moi, qu’une révolution était nécessaire. Hors celle-ci a déjà eu lieu, il y a 50 ans, lorsqu’on a proclamé qu’il fallait désormais « jouir sans entraves » et que l’on a détruit tous les codes culturels du désir, la galanterie dont tu parles par exemple. La domination masculine n’existe plus (que maîtrisent-ils de plus aujourd’hui?).
55 ans
Une femme grande, blonde et très ronde
1549
Kamys a écrit:
😨😂😂😂😂😂 21 c'est aussi le nombre de vos neurones je pense.
Coucou ! Qui veux tester 21 cm, anime nu les soirées pour le fun... bisous à toutes.
😨😂😂😂😂😂 21 c'est aussi le nombre de vos neurones je pense.
55 ans
Une femme grande, blonde et très ronde
1549
wildtendercat a écrit:
La domination masculine n'existe plus😨... cela se voit dans l'écart salarial, dans le nombre de femmes en politique, occupant des postes à responsabilité, ou siégeant dans les conseils d'administration, etc.
Le plafond de cristal est une chose bien réelle.
allegorie a écrit:
« En France le contrecoup à #metoo me semble plus important que la vague. Les médias n’ont à la bouche que les dérives du mouvement, ses ambiguïtés. Avant-même que le débat ne commence on le circonscrit ».
La parole des victimes passe au second plan.
Oui cette vague est plus importante parce qu’on a voulu nous faire croire, à tort selon moi, qu’une révolution était nécessaire. Hors celle-ci a déjà eu lieu, il y a 50 ans, lorsqu’on a proclamé qu’il fallait désormais « jouir sans entraves » et que l’on a détruit tous les codes culturels du désir, la galanterie dont tu parles par exemple. La domination masculine n’existe plus (que maîtrisent-ils de plus aujourd’hui?).
« En France le contrecoup à #metoo me semble plus important que la vague. Les médias n’ont à la bouche que les dérives du mouvement, ses ambiguïtés. Avant-même que le débat ne commence on le circonscrit ».
La parole des victimes passe au second plan.
Oui cette vague est plus importante parce qu’on a voulu nous faire croire, à tort selon moi, qu’une révolution était nécessaire. Hors celle-ci a déjà eu lieu, il y a 50 ans, lorsqu’on a proclamé qu’il fallait désormais « jouir sans entraves » et que l’on a détruit tous les codes culturels du désir, la galanterie dont tu parles par exemple. La domination masculine n’existe plus (que maîtrisent-ils de plus aujourd’hui?).
La domination masculine n'existe plus😨... cela se voit dans l'écart salarial, dans le nombre de femmes en politique, occupant des postes à responsabilité, ou siégeant dans les conseils d'administration, etc.
Le plafond de cristal est une chose bien réelle.
51 ans
Out of nowhere
3834
Je veux bien croire qu’il existe des cas où il y a une réticence à faire « monter » une femme.
Mais très globalement, je pense qu’un certain nombre de facteurs font que les femmes sont moins enclines, par choix, à monter au sommet de ces postes à responsabilité.
La maternité est aussi un obstacle et une contrainte qui peut parfois l’expliquer. Il est manifeste que les souhaits professionnels des femmes diffèrent toujours grandement de ceux des hommes. Par exemple les étudiantes se destinent massivement vers les professions médicales, juridiques et l’enseignement. Notamment parce que ce sont des métiers de relation humaine qui laissent plus de temps disponible pour la vie de famille. Les féministes le regrettent, mais la tendance est inchangée, le mariage et les enfants incitent les hommes à travailler plus et les femmes à s’investir moins dans leur vie professionnelle. Et rien ne permet de prouver qu’il s’agit de facteurs culturels archaïques.
La liberté de carrière doit être la même, mais les différences collectives existent, et il ne faut donc pas s’attendre à ce que cette liberté débouche sur une égalité de résultat, entendue comme une similitude totale.
Mais très globalement, je pense qu’un certain nombre de facteurs font que les femmes sont moins enclines, par choix, à monter au sommet de ces postes à responsabilité.
La maternité est aussi un obstacle et une contrainte qui peut parfois l’expliquer. Il est manifeste que les souhaits professionnels des femmes diffèrent toujours grandement de ceux des hommes. Par exemple les étudiantes se destinent massivement vers les professions médicales, juridiques et l’enseignement. Notamment parce que ce sont des métiers de relation humaine qui laissent plus de temps disponible pour la vie de famille. Les féministes le regrettent, mais la tendance est inchangée, le mariage et les enfants incitent les hommes à travailler plus et les femmes à s’investir moins dans leur vie professionnelle. Et rien ne permet de prouver qu’il s’agit de facteurs culturels archaïques.
La liberté de carrière doit être la même, mais les différences collectives existent, et il ne faut donc pas s’attendre à ce que cette liberté débouche sur une égalité de résultat, entendue comme une similitude totale.
55 ans
Une femme grande, blonde et très ronde
1549
Les professions juridiques et médicales laissent plus de temps pour la vie de famille... vu les vies de dingues des infirmières ou docteurs j'ai un doute.
Quant aux professions juridiques je connais bien. Une juriste ou avocate qui ne travaille que 35h par semaine c'est de l'utopie. Les collaboratrices sont plus nombreux que les collaborateurs au début mais les associés hommes représentent l'immense majorité.
Les femmes sont rarement élues associées. Qu'elles aient des enfants ou pas.
Les différences de carrière ne sont pas un choix. Les hommes au pouvoir ne leur laissent pas le choix au final.
Un homme peut tout aussi bien s'occuper plus de sa famille.
En Suède ils y arrivent bien après tout.
Quant aux professions juridiques je connais bien. Une juriste ou avocate qui ne travaille que 35h par semaine c'est de l'utopie. Les collaboratrices sont plus nombreux que les collaborateurs au début mais les associés hommes représentent l'immense majorité.
Les femmes sont rarement élues associées. Qu'elles aient des enfants ou pas.
Les différences de carrière ne sont pas un choix. Les hommes au pouvoir ne leur laissent pas le choix au final.
Un homme peut tout aussi bien s'occuper plus de sa famille.
En Suède ils y arrivent bien après tout.