49 ans
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En famille étant jeune, c'était un sujet tabou.
J'ai découvert la joie du topless avec des amis quand je partais en vacances avec des amis entre 16 et 25 ans.
Entre 25 et 35 ans, je n'osais plus trop avec ma prise de poids et aussi en raison d'un compagnon jaloux (ce qui ne l'a pas empêché de me quitter pour une femme adepte du décolleté plongeant et de string qui dépasse, mais je disgresse).
Depuis j'ai un chéri ibérique qui apprécie et trouve cela normal. Je passe régulièrement 1 mois par an en Espagne, et je pratique le topless systématiquement dans le jardin ou sur la plage. Que je sois seule, en couple ou avec la belle-famille. C'est banal pour ma belle-sœur espagnole et sa fille ado et je fais de même. La présence du beauf-frère et du neveu n'y change rien.
Quand je me suis remise au topless vers 35 ans, c'était avant tout un défis personnel d'acceptation de mon corps. Une sorte de thérapie lowcost. J'avais vu un jour aux Pays-bas une femme obèse qui faisait du naturisme dans une zone mixte (naturiste et non-naturiste). Elle dégageait de la beauté et de la joie malgré un poids probablement supérieur à 100kg. Elle m'a servi d'exemple. Oui, j'ai grossi depuis mes 20 ans, et alors ? Depuis, le topless est pour moi un mélange entre simplicité, plaisir et maintien de l'acceptation de mon corps.
J'ai découvert la joie du topless avec des amis quand je partais en vacances avec des amis entre 16 et 25 ans.
Entre 25 et 35 ans, je n'osais plus trop avec ma prise de poids et aussi en raison d'un compagnon jaloux (ce qui ne l'a pas empêché de me quitter pour une femme adepte du décolleté plongeant et de string qui dépasse, mais je disgresse).
Depuis j'ai un chéri ibérique qui apprécie et trouve cela normal. Je passe régulièrement 1 mois par an en Espagne, et je pratique le topless systématiquement dans le jardin ou sur la plage. Que je sois seule, en couple ou avec la belle-famille. C'est banal pour ma belle-sœur espagnole et sa fille ado et je fais de même. La présence du beauf-frère et du neveu n'y change rien.
Quand je me suis remise au topless vers 35 ans, c'était avant tout un défis personnel d'acceptation de mon corps. Une sorte de thérapie lowcost. J'avais vu un jour aux Pays-bas une femme obèse qui faisait du naturisme dans une zone mixte (naturiste et non-naturiste). Elle dégageait de la beauté et de la joie malgré un poids probablement supérieur à 100kg. Elle m'a servi d'exemple. Oui, j'ai grossi depuis mes 20 ans, et alors ? Depuis, le topless est pour moi un mélange entre simplicité, plaisir et maintien de l'acceptation de mon corps.