B
Patty a écrit:
Très intéressant ta contribution, franchement !
Donc contrairement à mes idées reçues, il existerait une sorte d'égalité hommes / femmes sur ce sujet délicat. Dont acte.
Il est vrai que ma première concubine, plus âgée que moi, lorsque j'avais la vingtaine, avait une libido pour le moins affirmée. Plus d'une vingtaine de rapports par semaine.
Et je me souviens encore que parfois, je me disais : non pitié, pas encore !
J'ai toujours trouvé particulièrement déstabilisant lorsqu'une femme à encore plus d'envies que moi, mais ma réaction à toujours été de relevé le défit.
Je ne peux même pas imaginer un seul instant repousser une femme qui me sollicite, quitte à parfois risquer d'aller au delà de mes possibilités physiques.
Depuis plus de 3 ans que je suis sur ce forum, j'ai vu plein de femmes témoigner que la sexualité de leur homme était un peu faible à leur goût. J'avoue en avoir même été étonnée, on parle souvent de la "femme qui n'a pas envie", plus rarement de "l'homme qui n'a pas envie".
Chez ces hommes qui ont une libido faible, la sexualité est tout à fait normale en début de relation, sans doute à cause de la nouveauté. Mais ça passe très vite. De rappports quotidiens, ils passent à des rapports 2 ou 3 fois par semaine, puis une fois par semaine, puis une ou deux fois par mois. Puis après c'est épisodique. Quand je dis "très vite" c'est en général en un an en moyenne.
Chez ces hommes qui ont une libido faible, la sexualité est tout à fait normale en début de relation, sans doute à cause de la nouveauté. Mais ça passe très vite. De rappports quotidiens, ils passent à des rapports 2 ou 3 fois par semaine, puis une fois par semaine, puis une ou deux fois par mois. Puis après c'est épisodique. Quand je dis "très vite" c'est en général en un an en moyenne.
Très intéressant ta contribution, franchement !
Donc contrairement à mes idées reçues, il existerait une sorte d'égalité hommes / femmes sur ce sujet délicat. Dont acte.
Il est vrai que ma première concubine, plus âgée que moi, lorsque j'avais la vingtaine, avait une libido pour le moins affirmée. Plus d'une vingtaine de rapports par semaine.
Et je me souviens encore que parfois, je me disais : non pitié, pas encore !
J'ai toujours trouvé particulièrement déstabilisant lorsqu'une femme à encore plus d'envies que moi, mais ma réaction à toujours été de relevé le défit.
Je ne peux même pas imaginer un seul instant repousser une femme qui me sollicite, quitte à parfois risquer d'aller au delà de mes possibilités physiques.