Je reste persuadée qu'à partir du moment où on commence à penser en terme d'efficacité, ça aliène inévitablement le coté créatif, artistique.
Je veux dire, je sais que l'on n'est pas obligé d'être un moitié clochard obscur qui fait des trucs ultra-conceptuels, mais dés lors que cet aspect "business" entre en ligne de compte et
prends le pas sur l'art, ce n'est plus la peine de parler d'artistes, mais d'hommes et de femmes d'affaires.
Il y a une grosse différence entre savoir gérer ses affaires pour pouvoir s'en sortir et continuer à faire son art, si on a la chance d'avoir du succès.
Et être une grosse machine bien rodée qui fait tout pour faire le plus de fric possible, au détriment du côté artistique. On regarde ce qui marche et on suce bien ça jusqu'à la moelle.
Et je pense que Beyonce entre largement dans la deuxième catégorie, c'est un produit de consommation au même titre qu'une voiture ou une brosse à dent. Elle se vend