Nefertiti1 a écrit:
sache aussi quand mm que tu ne seras pas tjr seule dans la vie et que biensur si tu arrives a te faire ligature,ca pourra te coutee des relations,j ai eu moi mm le cas,une relation assez longue,mes 3 enfants bien accepte,mais le monsieur voulait un enfants,je n en voulais plus,j etais ligaturee deja ca a dure un peu et ont a mit fin a deux,pkoi le retenir alors que je ne voulais plus lui donne se qu il esperait..
Ensuite l avortement/la ligature,ca n a pas a etre mit cote a cote,la ligature est un choix extreme de contraception,alors que l avortement r"repare" justement un manque de contraception,et previsn pas mal de choses comme l abandon par exemple,ou les mauvais traitements sur enfants :roll:
1 - Je sais bien que je peux finir avec un homme qui voudra un enfant. Mais, je ne sais pas si c'est du pur hasard, de la chance ou une espèce de sélection naturelle, les hommes que j'ai fréquenté (toujours plus vieux que moi) et l'homme que je fréquente maintenant (30 ans) ne veulent pas d'enfants. Quand bien même, si la situation se présentait, je ne ferais pas de concession sur cette question. Tout comme je ne peux pas lui demander d'enterrer son rêve d'avoir un enfant, il ne peut pas me demander de me forcer à en avoir un: c'est seulement la traduction que nous ne voulons pas la même chose et que nos projets ne sont pas les mêmes. Alors, oui l'amour, jusqu'à un certain stade c'est bien beau et suffisant. Mais au bout d'un moment, il faut aussi rationaliser la relation: un homme qui n'attends pas les mêmes choses de la vie que moi sera frustré et/ou malheureux. Donc, c'est qu'il n'y a aucun avenir.
2 - As-tu pensé que peut-être, en permettant aux femmes l'accès à une contraception définitive, on éviterait des avortements ? Bien sûr, le nombre d'avortement dû au fait que la femme ne veut pas d'enfant est très bas. Au fil de mes recherches, j'ai lu (malheureusement je ne me souviens plus de la source, donc c'est à prendre avec des pincettes) que ces avortements représentaient 3% des procédures faites en France. C'est peu, mais ce serait déjà 3% en moins d'une procédure que je considère plus difficile que la stérilisation, voire plus traumatisante ...
Provence a bien repris mon idée: c'est surtout le fait de vouloir penser à notre place qui me révolte.
Je ne vais pas me lancer dans une diatribe juridique, mais un médecin qui rempli son rôle en informant la patiente de toutes les conséquences, de tous les enjeux, qui respecte le délai de réflexion imparti, n'a pas à se sentir "coupable" si la patiente venait à changer d'avis ...
Enfin bref ... Ca ma rend bien triste tout ça.
Merci à toutes en tout cas !