alvaro a écrit:bonjour
Lors de mes dernières relations, j'ai voulu tester quelquechose qui me paraissait tout à fait possible mais néanmoins rendu délicat par la norme et le tabou.
Sans plus attendre, le résultat de mon expérience :
80% des femmes aiment se prendre un doigt dans le cul pendant l'amour
Voilà un sondage où le sondeur (le mot prend ici un sens tout particulier :mrgreen: ) explique clairement le contexte de sa démarche.
Néanmoins, à lire le reste du message, je trouve que ce qui rend le test délicat n'est ni la norme, ni le tabou, mais simplement l'envie.
Ma première réaction serait de dire que, dans 100% des cas où l'envie est partagée, ce geste-là, s'il est fait tendrement, peut être accepté. Que ce soit pour un partenaire ou pour l'autre, d'ailleurs.
Et dans 100% des cas où l'envie n'est pas partagée, ce geste-là est tout simplement la personnification de ce que j'apprécie le moins dans un partage sensuel, et que je considère comme un vol (oui, un "vol", je n'ai pas oublié une lettre :) ). Un vol avec effraction ! :roll:
D'ailleurs, et sans que je sois confit dans la pruderie, je trouve que l'expression "
se prendre un doigt dans le..." ne véhicule pas une once de tendresse, ni même de sensualité. Par exemple, on dit "il se prend un coup dans la gueule", mais il est rare qu'on dise "elle se prend un bisou dans le cou". ;)
Je me demande quel aurait été la réaction d'alvaro si une de ses partenaires lui avait... comment dire... "retourné sa question". :lol:
Citation:Source : moi
Réalisé sur : un échantillon non représentatif de 5 filles (mes dernières), âgées de 25 à 35 ans environ.
Un sondeur honnête aurait donc transformé sa première assertion pour écrire : "
4 des 5 dernières femmes que j'ai rencontrées ont aimé se prendre...".
Citation:Conditions d'expérience :
- condition n°1 : la rencontre était systématiquement la conclusion où la fille se montrait de plus en plus soumise.
- condition n°2 : une position de soumission, typiquement allongée sur le dos où en levrette, et bien sûr sans demander l'autorisation
- condition n°3 : en simultané avec une pénétration normale, et dans une phase de plaisir relativement intense pour elle.
- condition n°4 : en y allant très doucement et super clean, évidemment.
Si j'étais taquin, je relèverais la contradiction entre le "bien sûr sans demander l'autorisation" et le "en y allant très doucement". Si le doigt prodigue cette caresse très doucement, deux cas se présentent :
- ou bien la dame accepte la caresse, et c'est une autorisation tacite, traduite par son corps à défaut d'être traduite par ses mots ;
- ou bien la dame se crispe et là, même si la caresse est très douce, c'est un refus catégorique.
En outre, l'insistance sur l'aspect "soumise" me gêne un peu, mais là, je réagis à titre subjectif. Cette soumission (réelle ou supposée) donne à cette caresse un côté obligatoire, imposé, qui ne m'enchante guère. On est bien loin, là, d'une envie partagée.
Et puis, ce serait oublier que même quand une femme est "soumise", c'est quand même elle qui tient les rênes, puisque c'est elle qui accepte de l'être ou pas. Mesdemoiselles, mesdames, est-ce que je me trompe ? ;)
Citation:Qui a essayé ?
Essayé quoi ? Un sondage de cette manière ? Je me vois très bien m'approchant d'une femme, le doigt tendu, en lui disant "
Penchez-vous, c'est pour un sondage !" :mrgreen: