Problème avec une collègue - Besoins de conseils / Soutien

Une nana qui fait des sorties comme ça en gueulant dans le couloir parce qu'on répond à ses remarques mesquines et parfaitement déplacées, moi j'appelle ça une hystérique.
Et pour calmer les hystériques j'ai jamais vu mieux que la baffe dans la tronche. Mais bon, ça tu ne peux pas te permettre de le faire au boulot. Reste éventuellement à te fermer les oreilles. Tu fais ton boulot de ton mieux et tu hausses les épaules quand elle fait une réflexion débile. Et puis pour les élèves tu deviens la plus agréable du bureau : quand elle fait une réflexion devant eux toi tu restes bien souriante et aimable, et tu ne dis que des choses agréables. Ça donnera vite le ton entre celle qui fait toujours des réflexions foireuses et celle qui a toujours un mot gentil pour tout le monde, et les gens finiront bien par voir qu'elle a une grande gueule parce qu'à l'intérieur ça sonne creux.

Parce que si tu ne veux/peux pas t'imposer, pas l'envoyer bouler, pas en parler à ta cheffe, pas changer de job, il ne reste pas 246 solutions, je pense. Il n'y a plus qu'à l'ignorer en beauté.

Et puis, tu sais, ce n'est pas parce que les gens ont compris qu'il vaut mieux l'avoir avec soi que contre soi qu'ils l'aiment bien. C'est une technique comme une autre pour avoir la paix avec elle. Alors essaie quand même de te faire accepter des autres pour ce que tu es, toi.

J'ai été harcelée par une nana qui semblait être appréciée de tous. Tout le monde plaisantait avec elle, elle avait l'air de régir tout son petit monde. Bref, je ne pensais avoir de soutien de personne quand j'ai commencé à dire que "maintenant ça suffit" (en fait, elle n'aurait pas dû pousser jusqu'à m'insulter, parce que ça ça m'a bien "réveillée"). En attendant, ça a été l'occasion pour plein de gens de lui dire leur petite vérité. Bon, après ce n'est pas allé très loin parce qu'à part une titulaire contre une vacataire, forcément, on sait qui gagne :roll:
Tout ça pour dire que ce n'est pas parce que les gens paraissent aimer quelqu'un que c'est vraiment le cas, alors n'hésite pas toi aussi à essayer de t'intégrer auprès d'eux.

Ohio a écrit:

Et ils l'entendent hurler comme une dingue dans les couloirs ? C'est un psy dont elle a besoin :shock:

C'est sûr qu'elle veut que tu partes , elle t'a prise en grippe je ne sais pourquoi mais partir serait vraiment pas la bonne solution à mon avis . Alors si tu veux pas parler à ta chef et lui répondre , il va falloir que tu affrontes avec un grand sourire ou bien répondre sur le ton de l'humour , l'ignorance est le plus grand des mépris , peut être qu'elle finira par se calmer puis la roue tourne ...

NI une ni deux si quelqu'un t'ennuie au boulot tu prévient ta hiérarchie (le cas échéant,syndicat,responsable en qui tu as confiance...) et tu menaces de déposer une plainte pour harcèlement moral (c'est bien précisé dans tout règlement intérieur) en prenant des notes exactement comme tu le fait maintenant pour en faire un dossier.

8)

Il me semble que tu as déjà posté sur ce problème il y a quelque temps ? Je suis désolée que ça n'aille pas mieux.
Je t'avais conseillé de partir, mais comme c'est impossible, tu vas devoir effectivement t'imposer.

Tu sembles avoir complètement perdu confiance en toi. Avant toute chose, retrouve l'estime que tu as de toi-même. Plus on a confiance en soi, et moins les autres nous marchent sur les pieds. Ta collègue a parfaitement senti tes failles et doit se faire un malin plaisir à te déstabiliser. Elle doit certainement appartenir à cette catégorie de gens qui ont besoin de rabaisser les autres pour se sentir rassuré sur leurs propres compétences. Elle agira de la sorte tant que tu ne lui montreras pas tes limites. Il ne s'agit pas de confrontation ou d'engueulade, tu peux le faire
avec des phrases et des remarques simples ou des demandes d'explication : "ah bon, je ne réponds pas au téléphone ? tu peux me dire quand s'il te plait ? " ou alors prends-la à contre-pied " ça pue ? tu ne voulais pas dire que je pue plutôt ? oui j'ai bien compris que tu ne pouvais pas me sentir. Tu ne m'aimes pas, mais on est collègue et on n'a pas à s'aimer. Par contre, on doit se respecter" "ça va péter ? qu'est-ce que tu veux dire ? tu me menaces ? tu vas me coller des baffes ?".


Son comportement est inadmissible (et elle le sait).
Réagis et envoie la bouler (poliment et sans agressivité pour ne pas faire de faute professionnelle ni montrer qu'elle peut te toucher)comme tu l'as fait pour ses galettes de riz. Elle crie dans le couloir et alors ? Elle va surtout passer pour une tarée et puis c'est tout. De quoi as-tu vraiment peur ? la situation ne peut pas être pire il me semble.

Réfléchis à tout ce que tu fais correctement dans ton travail et convaincs toi que tu es une excellente employée. Personne n'a le droit de se comporter de cette manière avec toi. Courage !

Merci pour vos réponses, elles sont pleines de bon sens, mais malheureusement les conseils que vous me donner, je n'arrive pas à les appliquer.

Aujourd'hui je me suis retrouvée en pause clope avec ma chef, et je lui ai demandé l'air de rien quand était les entretiens annuels... Elle m'a répondu que c'était en juillet, mais que s'il y avait quelque chose qui n'allait pas, il fallait en parler tout de suite.

Elle m'a demandé si quelque chose n'allait pas, j'ai répondu oui. Elle m'a dit qu'on en parlerait dans l'après midi.

L'apres midi vient, j'en étais en larmes rien qu'en pensant à cette discussion qui allait arriver, et puis tout se bousculait dans ma tête, comment dire les choses, comment les tourner, comment être la plus diplomate possible, comment ne pas être pathétique et ne pas pleurer...

Bref, on se fait un entretien pour faire un point sur mon travail. Et puis rien. Elle avait sûrement dû oublier que je devais lui parler de quelque chose.

Et puis moi, je n'en ai pas parlé non plus. J'aurai dû. C'est ma faute.

Pendant ce temps là, je vois mes collègues rigoler entre elles, je vois ma chef qui se comporte avec ma collègue comme une amie, en apparence tout va bien...

... sauf que moi je me prends les réflexions, de ma collègue mais aussi des autres, je demande si je peux aider et on me réponds agressivement "Bah l'aide ca se fait, ca se demande pas !!!", je vois ma collègue qui me pose problème débouler dans le bureau de la chef alors que je suis en entretien avec elle et hurler "T'as pas ramassé l'ordi dans la salle, faut le faire hein !!!".

Mes autres collègues me donnent des directives pour soit disant "Bien clarifier les choses". Sauf que c'était déjà du travail que je faisais déjà... Avec un mail et ma chef en copie alors qu'elle pourrait très bien me le dire de vive voix...


Bref. Peut-être que c'est moi qui ai un problème finalement. Peut-être que j'ai l'air tellement idiote et "gentille" que le gens ont peur qu'à chaque fois que je prends quelque chose en charge ca devienne la catastrophe...

Tecolote a écrit:

J'ai peur qu'on me propose de démissionner si ca ne me plait pas, que j'ai qu'à m'en aller, ou qu'on me licencie, parce que de toute évidence il n'y a que moi qui ait un problème, pas les autres. Les autres s'entendent très bien entre elles, aucun soucis.

Je ne veux pas faire d'histoires non plus.

Et puis j'ai pas envie de bassiner ma chef avec mes petites frustrations existentielles...

Quelle horreur cette ambiance de travail ! Je ne travaille pas dans ton service, mais il n'a pas l'air de tourner rond ! Je ne me verrais pas remballer quelqu'un qui me propose son aide. Et l'autre qui interrompt ton entretien avec ta chef pour venir t'engueuler.... le savoir-vivre n'a pas l'air d'être le fort de tes collègues, et si ta chef ne dit rien, c'est que quelque part, elle accepte la situation.

Je ne sais que te dire. Cela me semble gérable quand une ou deux collègues sont toxiques mais quand c'est tout le service, ça devient compliqué. Je sais que c'est difficile, mais ne te remets pas en cause en pensant que tout vient de toi. Non, la situation n'est pas normale, quand on te rabaisse quotidiennement et qu'on te prend pour cible devant ta chef, ce ne sont pas des petites frustrations existentielles. As-tu au moins un entourage proche conscient de tes difficultés qui peut t'écouter et te soutenir ?

Et quand tu reçois un mail avec copie à la cheffe pour te donner des directives pour des choses que tu faisais déjà, est-ce que tu réponds ? Un truc du genre "Je te remercie de te préoccuper ainsi des tâches que j'effectue. Je suis ravie de t'annoncer que tu peux dores et déjà rayer ces préoccupations de ton esprit : ce sont des tâches que j'effectue déjà toute seule, et correctement qui plus est. Bonne journée"

Que tu ne veuilles pas créer de problèmes c'est une chose, mais qui ne dit mot consent. Alors tu la joues faux derch en répondant un truc aimable comme si tu n'avais pas compris qu'elles cherchaient juste à te casser (ben quoi ? elles se préoccupent de toi, c'est geeeeeentil... mon oeil ouais !) et tu rassures ces bonnes âmes qui se sont tant inquiétées pour ton travail (elles se sont inquiétées pour rien, les pauuuvres... rajouter mentalement "connes").

Quant au coup de main, tu es payée pour les aider ? Si non, alors chacun ses problèmes. Et si on te demande pourquoi tu n'aides pas, tu prends l'air le plus simplet que tu peux pour répondre "Ben... J'ai proposer de l'aide à de nombreuses reprises et on m'a toujours envoyée bouler... J'en ai conclu que je dérangeais et qu'on voulait que je me mêle de mes affaires... C'est pas ça ? C'est que je ne veux pas déranger, moi :angel: "

Sois gentille, ne fais pas de vagues si tu ne souhaites pas en faire, mais fais toujours l'idiote pour renvoyer la balle dans le camp des gens qui t'ennuient.

Le coup de l'autre qui déboule dans le bureau pendant ton entretien, tu as deux possibilités :
- soit tu l'envoies bouler fermement (ce que tu ne souhaites pas faire) : "Tu permets ? Je suis en entretien. On parlera plus tard" ou bien "C'est fou le temps que tu peux perdre à me faire toute la journée des réflexions déplacées, à essayer de m'humilier devant les gens, à débouler pendant que j'ai un entretien important, à exiger, à crier, alors qu'en y mettant de la bonne volonté et une dose de bonne humeur tu aurais ramassé l'ordi et tout le monde serait moins fatigué" (et là en plus ça permet de lâcher la bombe)
- soit tu prends ton plus joli sourire niais et tu dis "Je suis sûre que ce que tu as à dire est on ne peut plus pertinent. Tu permets qu'on en discute lorsqu'on aura fini notre entretien ? Merci beaucoup."

Tu peux te défendre sans faire de vagues, sans affronter qui que ce soit directement. Ça suppose de savoir faire semblant de ne voir que le meilleur dans chaque personne (genre, officiellement, on ne te fait pas de réflexion on veut juste t'aider) et de vouloir (officiellement, toujours) éviter aux gens de perdre du temps (en "t'aidant" avec des choses que tu fais déjà très bien toute seule). Ca peut être jouissif à cultiver, ça. L'art du "c'est vraiment gentil de vouloir m'aider, mais là je n'en ai pas besoin. La prochaine fois je saurai que je peux venir te voir pour un coup de main ou un conseil, ça me fait très plaisir" (et ne pas oublier de ponctuer ça mentalement de jolis noms d'oiseaux :lol: ).

Bon... Pour donner des nouvelles...

J'ai posé un arrêt maladie lundi et mardi de cette semaine. Impossible pour moi d'y aller, je n'avais vraiment pas la force ni le courage.

En revenant hier ( donc mercredi ) ma chef a demandé à me voir en entretien. J'ai pu lui dire tout ce qui n'allait pas avec cette collègue, et l'attitude des autres à mon égard également.

Elle m'a répondu que finalement, c'était moi qui me mettait à dos mes collègues à cause des nombreuses boulettes que j'ai pu faire en janvier et février ( pour rappel, on m'avait confié presque la totalité des taches d'un collègue en absence prolongée, j'avais donc deux fois plus de travail que je n'arrivais pas à faire correctement ).

Elle m'a dit qu'on ne pouvait pas me changer de bureau, et qu'en gros, même si elle ne me l'a pas dit, il n'y avait rien à faire d'autre que de la contrer quand elle m’agaçait.

Affaire close.

Ma chef et ma collègue sont allées boire un café à l'extérieur, ma chef a sûrement dû tout lui raconter, même si elle m'a promis que ca resterait entre nous et qu'elle serait neutre.

Depuis que je suis revenue hier, ma collègue fait la gueule, m'adresse à peine un mot alors que moi, bonne pâte, j'essaye de faire la conversation, etc...

Honnêtement, je suis arrivée à un stade où je ne peux plus rien faire.

( Sauf l'envoyer chier, mais bon... Franchement, à quoi ca servirait, à part supporter une situation d'autant plus lourde et de me mettre définitivement à dos les autres collègues qui l'aiment bien...? )

Elle fait la gueule ? Ca lui passera avant que ça te revienne. En attendant, tu la laisses bouder. C'est son problème, pas le tien.

Quant à ta cheffe, ah ben quelle réponse dis donc ! Et rappeler aux collègues qu'une débutante débute et donc se plante parfois le temps d'apprendre, non ? Et se dire, elle, qu'il n'était pas très malin de te donner double dose de travail alors que tu ne savais déjà pas faire juste ton boulot assez bien, non plus ?
Quand bien même tu as fait des erreurs, tu n'es pas responsable des rancœurs débiles de tes collègues et des mauvais choix de ta cheffe (c'est auprès d'elles qu'elle aurait dû distribuer les tâches du collègues manquant ou bien elle aurait dû leur rappeler qu'il leur appartient aussi de t'aider si elles te voient en difficulté puisque tu débutes et elles sont expérimentées).

Bref, puisque personne n'assume, n'assume pas non plus. Tu classes l'affaire, tu fais ton boulot sans faire de boulettes, et pour le reste soit ça leur passe soit c'est leur propre vie au boulot qu'elles pourriront (puisqu'elles pourriront l'ambiance de boulot seules sans que ça t'atteigne).

Si elle fait la gueule c'est que ta chef a du lui en parler et justement elle lui a peut être dit de se calmer , non ? C'est bizarre qu'elle te fasse la gueule du jour au lendemain ...

Pour l'instant , reste agréable même si elle tire la gueule et puis si elle recommence remet la à sa place une bonne fois pour toute , si tu te sens pas d'y aller au point de poser un arrêt maladie c'est très grave comme situation . Peut être qu'une menace de plainte pour harcèlement lui ferait du bien aussi ! Quant aux collègues si elles te font la gueule alors qu'elles n'ont rien à voir dans l'histoire , ça serait vraiment un comportement de gamines , elles ont quel âge sérieusement ? :shock:

Je vous jure j'en peux carrément plus.

Ca fait bientôt 3 semaines que ma collègue m'adresse à peine un mot, ma chef aussi.

Pourtant j'essaye vraiment d'aller vers les autres, je demande comment ca va, et "Comment ton week-end s'est passé ?", Oh dis donc t'es malade qu'est ce que t'as ?" - "Tu veux que je t'aide ?".

Je fais vraiment des efforts, pour avoir le sourire, pour ne pas faire la gueule, pour être disponible et serviable...

Et y'a rien qui change... Chaque jour ma chef me tire la tronche, m'adresse le moins de phrases possible, ma collègue qui me pose problème fait la tronche...

C'est dur de ne pas être parfaite, de décevoir les gens, je sais que j'ai fais des boulettes et qu'il va falloir que je mange mon pain noir pendant quelques temps, mais je suis toujours remise en cause, tout mon travail est toujours remis en cause, genre je suis une demeurée, je suis bonne à rien... alors que ca fait au moins un bon mois que je n'ai pas fait d'erreurs.

Je suis allée voir une nouvelle psy pour lui parler de tout ca, je lui ai tout raconté, ca me pesait énormément. Pendant deux séances d'une heure chacune, j'ai fais dans le détail, j'ai tout dis ou presque... Et ce qu'elle m'a répondu c'est juste "Oui, bon, ben c'est pas si grave non ? Ca fait que 7 mois que ca dure..."



Bon donc en fait en résumé, si j'écoute ma chef, mes collègue et ma nouvelle psy, tout est de ma faute, c'est bien fait pour ma gueule.

Et franchement, je craque là...

Eh oh, tu ne vas pas te laisser miner par ces gens, non ?!

Tu voulais être un peu appréciée, qu'on te traite correctement, et on t'ignore comme pour te faire craquer. Ok, très bien, si ça les amuse. A toi de leur montrer qu'il faudra compter avec toi jusqu'à ce que toi tu décides de toi-même que ta place est ailleurs parce que tu auras trouvé un poste plus intéressant et non parce qu'on t'y aura poussée.

Elles veulent faire la gueule et ne pas te répondre ? Ça les regarde. Toi tu gardes le sourire (au moins devant elles) et tu joues au jeu des questions-réponses. "Bonjour, ça va ?" (...) "Ça va Ohio, merci. Et toi ?", "Oh ben moi ça va bien, encore une bonne journée qui commence", et tu te tires en sifflotant.
"Tu veux de l'aide ?" (...) "Non merci, mais c'est gentil d'avoir pensé à m'aider", "Oh ben c'est avec plaisir, tu sais"... :sifl:

Quand elles en auront marre d'avoir l'air connes et qu'elles comprendront que toi ça n'entame pas ton moral et qu'en plus tu touches ton salaire à les faire passer pour des nouilles (et à faire ton boulot, hein), ça les calmera. Et puisque tu ne fais plus d'erreurs, elles auront du mal à invoquer une quelconque erreur de ta part. D'autant que "ne se laisse pas miner le moral facilement" ne compte pas vraiment pour une faute professionnelle :lol:

Ta psy est une idiote. En tout cas, il faut sacrément en être une pour ne pas se rendre compte que ça te pèse vraiment et pour prendre ça par-dessus la jambe plutôt que de t'aider un peu à trouver en toi des solutions pour que ça te pèse moins.
Quant aux autres, elles ne vont quand même pas avouer qu'elles sont en partie responsables de la situation ou qu'en tout cas elles l'entretiennent volontairement. Ça ne veut pas dire qu'elles ont raison.

Alors, non, ce n'est pas "bien fait pour [ta] gueule" et, non, au stade où vous en êtes ce ne sont plus tes erreurs du début qui sont responsables de la situation. Même si ça a pu les embêter au début (en même temps, une débutante ça débute... oh, pas possible !), tu sembles faire de gros efforts pour rétablir le contact et, maintenant, tu ne fais visiblement plus d'erreurs, alors cette rancœur n'a plus lieu d'être.

Bon, a ce que j'ai lu, tu en as parlé avec ta chef, donc, elle ne peut pas dire qu'elle n'est pas au courant de la situation que tu vis.

As tu gardé tous les email de ta collègue? tu peux appeler l'inspection du travail pour leur expliquer la situation, ils pourront peut être faire bouger les choses.

En tout les cas, ne démissionne pas, tu leur donnerais raison et en plus tu n'aurais pas droit au chômage. Si tu connais une personne délégué du syndic (d'une autre boite que la tienne vu qu'il y en a pas chez toi, tu peux redemender avec elle un entretient si l'inspection du travail ne bouge pas.

Eventuellement aussi tu peux tenter de négocier un licenciement pour incompatibilité d'humeur.

En tout cas, tiens nous au courant, nous avons vécu la même situation avec mon homme et, après plus d'un an de harcelement moral, il vient enfin de se faire licencier.

et perso, je préfère des collègues qui tirent la tronche a des collègues qui me harcèlent. :roll: