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Est-ce que les gros popotins plaisent ?

messieurs vous êtes charmant ;)
merci :D
V
106 ans 5489
Des que j'ai un moment je repond à Titange... ben oui , y'en a qui travaillent lol

Bisous
NOUB ;)
38 ans 3404
je suis d'accordque c'est un atout et qu'il vaut mieux en avoir ... mais quand elles sont 'imposantes' alors autant ne pas en avoir :( !

bisous !

Noub ... je sens que la foudre va me tomber dessus !!!
69 ans Angers 1
Permets-moi chère Titange de te déclamer ces vers de Théodore de Banville composée pour célébrer une "femme de Rubens".
Tu verras que ces formes que tu sembles regretter ont longuement inspiré le poete. :)

Nymphe blanche et robuste,
Dont les bras et le buste
Défieraient les Titans
Et les autans;

Délice de la lyre,
Qui dus naître et sourire,
Colosse harmonieux,
Au temps des Dieux,

Ne crains plus, forme altière,
De mourir tout entière,
Puisque tu m'enivras.
Non, tu vivras!

Tu vivras par ces rimes,
Comme la neige aux cimes
Où volent les milans
Dure mille ans.

Oh! reste ainsi! déploie
Les trésors de ta joie
Pour guérir mon souci.
Oh! reste ainsi!

Dans le calme athlétique
De ta pose héroïque
Marche pour m'enchanter:
Je veux chanter.

O folâtre Céphise,
Que le dieu de Venise
Eût livrée au courroux
Du soleil roux;

Fille aux yeux pleins d'étoiles,
Qui naquis pour les toiles
De l'enchanteur d'Anvers,
Ou pour mes vers,

Ta tête de faunesse
Est folle de jeunesse
Et de rires ardents
Aux blanches dents.

Un sang pur et farouche,
Enfant, donne à ta bouche
Cet éclat de la chair
Qui m'est si cher,

Et comme un coquillage
Le rose cartilage
De ton nez retroussé
Est nuancé.

Ton folâtre visage,
Gai comme un bon présage,
Fait songer à des fleurs
Par ses couleurs;

Et ta petite oreille,
Qui n'a pas sa pareille,
Semble un joyau fini
Par Cellini.

Tes yeux, tes yeux étranges
Recèlent sous les franges
Soyeuses de tes cils
Des feux subtils.

Dans tes vagues prunelles
Courent des étincelles
D'or fauve, comme au fond
D'un ciel profond;

Et tes cheveux, où l'ombre
Court transparente et sombre,
S'embellissent encor
De reflets d'or.

Ils couvrent ta poitrine
Et ta gorge ivoirine
D'un large flot mouvant;
Et, bien souvent,

Tant s'épaissit, profonde,
Leur masse, qui s'inonde
De suaves parfums,
On les voit bruns.

Pourtant des flammes vives
S'égarent fugitives,
Dans leurs anneaux épars
De toutes parts,

Et quand tu la dénoues,
Ruisselant sur tes joues
Et baignant dans ses jeux
Ton sein neigeux,

Cette ample chevelure,
Qui te sert de parure,
Illumine ton flanc
D'or et de sang.

Tes blanches mains royales,
Aux lignes idéales,
Jettent comme un éclair
De rose clair,

Et les bras et le torse,
Éblouissants de force,
Ont tout l'emportement
De l'art flamand.

Ton cou, blanc comme un cygne,
Montre une douce ligne
D'un suave dessin;
Et ton beau sein,

Ton sein lourd, où se pose
Un divin rayon rose,
Est fait d'un marbre dur
Veiné d'azur.

O jeune chasseresse
Dont la folle paresse
Doit tressaillir encor
Au bruit du cor,

Toi que la Nuit dévore,
Et que baisait l'Aurore
Au temps où tu courais
Dans les forêts,

Laisse que je contemple
Cet adorable temple
Que le cruel Amour
Veut pour séjour;

Oh! laisse que j'admire
Ces haleines de myrrhe,
Ces ivoires, ces ors,
Tous ces trésors!

J'aime tes jambes fières,
Ton dos où des lumières
Baignent les arcs sereins
De tes beaux reins;

Et ce pied de Diane
Agile et diaphane
Dont les doigts écartés
Ont des clartés;

Et ces ongles solides,
Polis et translucides,
Brillants sur les orteils
De tons vermeils!

O Néréide! O muse
Digne de Syracuse!
Quand j'écoute ta voix,
Quand je te vois

Courir, lascive et rose,
Dans le bois grandiose
Où si vite a bondi
Ton pied hardi;

Ou, quand sous les ombrages,
Paresseuse, tu nages,
Sans déranger les flots,
Près des îlots,

Mon rêve idéalise
Ta fraîche mignardise
En cent déguisements
Toujours charmants!

La nature discrète
Et merveilleuse prête
A mes illusions
Ses visions.

Les bocages des rives
Où des ailes furtives
Voltigent par milliers,
Les peupliers

Et la noire broussaille,
Tout s'anime et tressaille
D'un invincible émoi;
Et devant moi

Un essaim d'amazones
Aux brillantes couronnes
Passent sur le gazon
En floraison.

C'est Diane ingénue
Livrant sa gorge nue
Aux caresses des airs,
Dans les déserts;

C'est la grave Cybèle,
Comme un troupeau qui bêle,
Conduisant sans courroux
Ses lions roux;

C'est l'ange Cythérée
Dans la mer azurée
Appuyant ses pieds fins
Sur les dauphins;

C'est Ariane heureuse
Dans sa coupe amoureuse
Tordant, par un beau soir,
Le raisin noir;

C'est l'arrogante Omphale,
En robe triomphale,
Énervant un héros
Sur ses carreaux;

C'est Léda qui s'indigne
Sous le baiser du cygne
Et le cherche à son tour
Folle d'amour;

C'est Hélène, embrasée
De désirs, que Thésée
Emporte dans ses mains
Par les chemins;

C'est la jeune Amphitrite
Et sa cour favorite
Guidant aux flots ouverts
Les coursiers verts;

C'est la brune Antiope
Dont le cheval galope
Au bruit des javelots
Et des sanglots.

Les voilà, ce sont elles!
Ce sont les immortelles
Qui vivront à jamais
Sur les sommets!

Non, ces grandes guerrières
Qui vont dans les clairières
En me glaçant d'effroi,
C'est toujours toi.

C'est en toi que je trouve
Leurs blanches dents de louve,
Leurs crinières que fuit
La sombre nuit,

Leurs muscles, où respire
Avec tout son empire
L'immortelle vigueur
Qui vient du coeur;

Et cet éclat de l'ange,
Qu'un glorieux mélange
De neige et de carmin
Rend surhumain!

Mais, ô sage Aphrodite,
Qu'une race maudite
Et vouée au trépas
Ne connaît pas!

A ces superbes formes
Il faut les plis énormes
Des manteaux éperdus
Au vent tordus;

Il leur faut l'écarlate
Qui les baise et les flatte,
Le voile aérien
Du Tyrien,

La pourpre qui s'envole
Au zéphyre frivole
Et qui semble frémir
Ou s'endormir,

Et ces étoffes rares,
Aux ornements barbares,
Que parent les métaux
Orientaux.

Mais non, la pourpre même
Nuit dans un tel poëme
En mêlant ses ardeurs
A tes splendeurs;

O nymphe de la Thrace!
Il faut que l'oeil embrasse
Avec sérénité
Leur nudité.

Arrachée au plus rare
Filon du blanc Carrare
Par un nouveau Scyllis,
Père des lys,

Ta puissante nature
Se trouve à la torture
Dans les noirs casaquins
Aux plis mesquins,

Et, faite pour Corinthe,
Elle est lourde et contrainte
Sous le flot des pompons
Et des jupons.

Car, pour une Déesse
Tordant sa longue tresse,
Nous voulons des habits
Faits de rubis.

En vain Gavarni l'aide,
Vénus Victrix est laide
Avec le falbala
De Paméla,

Et, pour orner sa gloire,
Choisit la perle noire
Arrachée à la mer
Du gouffre amer.

Donc, rayonne et sois belle,
Mystérieux modèle,
Mais pour l'oeil contempteur
Du grand sculpteur.

Sois belle, ô nymphe blonde,
Sans que jamais le monde,
Ce vain historien,
En sache rien!

Mais dans mon ode pleine
De chansons, comme Hélène
Tu te réveilleras;
Tu brilleras

Pour la race future,
En ta haute stature,
Sous le baiser riant
De l'Orient;

Comme une fleur d'Asie
Épandant l'ambroisie
D'un buisson de rosiers
Extasiés;

Magnifique, vêtue,
Ainsi qu'une statue,
De la seule fraîcheur
De ta blancheur,

Et montrant emmêlée,
Au vent échevelée,
Ta sauvage toison
Riche à foison.

Alors, quand nos idoles
Mourantes et frivoles,
Aux yeux irrésolus,
Ne seront plus

Que des chimères vaines,
Toi, le sang de tes veines
Montera, vif et prompt,
Jusqu'à ton front.

On verra luire encore
Ton sein qui se décore
De ses lys éclatants;
Et dans ce temps

Où ceux dont l'âme fière
Tient la vile matière
En souverain mépris
Seront épris

De tes formes parfaites,
On verra les poëtes,
Tourmentés par le mal
De l'idéal,

Attester par leurs larmes
Le pouvoir de tes charmes
Et l'immortalité
De ta beauté.
38 ans 3404
pfiou !!! j'ai pas du comprendre la moitié du poême mais qu'est-ce qu'il est long :shock: !!!!

merci en tout cas j'avoue qu'avant on étant source de poésie, mais à l'heure actuelle les temps ont changé !
43 ans 3006
Les temps changeront encore...
38 ans 3404
certes, mais quand ? :shock: !

j'aime pas mon corps actuel ... alors ?
philou49 a écrit:
Permets-moi chère Titange de te déclamer ces vers de Théodore de Banville composée pour célébrer une "femme de Rubens".
Tu verras que ces formes que tu sembles regretter ont longuement inspiré le poete. :)

Nymphe blanche et robuste,
Dont les bras et le buste
Défieraient les Titans
Et les autans;

Délice de la lyre,
Qui dus naître et sourire,
Colosse harmonieux,
Au temps des Dieux,

Ne crains plus, forme altière,
De mourir tout entière,
Puisque tu m'enivras.
Non, tu vivras!

Tu vivras par ces rimes,
Comme la neige aux cimes
Où volent les milans
Dure mille ans.

Oh! reste ainsi! déploie
Les trésors de ta joie
Pour guérir mon souci.
Oh! reste ainsi!

Dans le calme athlétique
De ta pose héroïque
Marche pour m'enchanter:
Je veux chanter.

O folâtre Céphise,
Que le dieu de Venise
Eût livrée au courroux
Du soleil roux;

Fille aux yeux pleins d'étoiles,
Qui naquis pour les toiles
De l'enchanteur d'Anvers,
Ou pour mes vers,

Ta tête de faunesse
Est folle de jeunesse
Et de rires ardents
Aux blanches dents.

Un sang pur et farouche,
Enfant, donne à ta bouche
Cet éclat de la chair
Qui m'est si cher,

Et comme un coquillage
Le rose cartilage
De ton nez retroussé
Est nuancé.

Ton folâtre visage,
Gai comme un bon présage,
Fait songer à des fleurs
Par ses couleurs;

Et ta petite oreille,
Qui n'a pas sa pareille,
Semble un joyau fini
Par Cellini.

Tes yeux, tes yeux étranges
Recèlent sous les franges
Soyeuses de tes cils
Des feux subtils.

Dans tes vagues prunelles
Courent des étincelles
D'or fauve, comme au fond
D'un ciel profond;

Et tes cheveux, où l'ombre
Court transparente et sombre,
S'embellissent encor
De reflets d'or.

Ils couvrent ta poitrine
Et ta gorge ivoirine
D'un large flot mouvant;
Et, bien souvent,

Tant s'épaissit, profonde,
Leur masse, qui s'inonde
De suaves parfums,
On les voit bruns.

Pourtant des flammes vives
S'égarent fugitives,
Dans leurs anneaux épars
De toutes parts,

Et quand tu la dénoues,
Ruisselant sur tes joues
Et baignant dans ses jeux
Ton sein neigeux,

Cette ample chevelure,
Qui te sert de parure,
Illumine ton flanc
D'or et de sang.

Tes blanches mains royales,
Aux lignes idéales,
Jettent comme un éclair
De rose clair,

Et les bras et le torse,
Éblouissants de force,
Ont tout l'emportement
De l'art flamand.

Ton cou, blanc comme un cygne,
Montre une douce ligne
D'un suave dessin;
Et ton beau sein,

Ton sein lourd, où se pose
Un divin rayon rose,
Est fait d'un marbre dur
Veiné d'azur.

O jeune chasseresse
Dont la folle paresse
Doit tressaillir encor
Au bruit du cor,

Toi que la Nuit dévore,
Et que baisait l'Aurore
Au temps où tu courais
Dans les forêts,

Laisse que je contemple
Cet adorable temple
Que le cruel Amour
Veut pour séjour;

Oh! laisse que j'admire
Ces haleines de myrrhe,
Ces ivoires, ces ors,
Tous ces trésors!

J'aime tes jambes fières,
Ton dos où des lumières
Baignent les arcs sereins
De tes beaux reins;

Et ce pied de Diane
Agile et diaphane
Dont les doigts écartés
Ont des clartés;

Et ces ongles solides,
Polis et translucides,
Brillants sur les orteils
De tons vermeils!

O Néréide! O muse
Digne de Syracuse!
Quand j'écoute ta voix,
Quand je te vois

Courir, lascive et rose,
Dans le bois grandiose
Où si vite a bondi
Ton pied hardi;

Ou, quand sous les ombrages,
Paresseuse, tu nages,
Sans déranger les flots,
Près des îlots,

Mon rêve idéalise
Ta fraîche mignardise
En cent déguisements
Toujours charmants!

La nature discrète
Et merveilleuse prête
A mes illusions
Ses visions.

Les bocages des rives
Où des ailes furtives
Voltigent par milliers,
Les peupliers

Et la noire broussaille,
Tout s'anime et tressaille
D'un invincible émoi;
Et devant moi

Un essaim d'amazones
Aux brillantes couronnes
Passent sur le gazon
En floraison.

C'est Diane ingénue
Livrant sa gorge nue
Aux caresses des airs,
Dans les déserts;

C'est la grave Cybèle,
Comme un troupeau qui bêle,
Conduisant sans courroux
Ses lions roux;

C'est l'ange Cythérée
Dans la mer azurée
Appuyant ses pieds fins
Sur les dauphins;

C'est Ariane heureuse
Dans sa coupe amoureuse
Tordant, par un beau soir,
Le raisin noir;

C'est l'arrogante Omphale,
En robe triomphale,
Énervant un héros
Sur ses carreaux;

C'est Léda qui s'indigne
Sous le baiser du cygne
Et le cherche à son tour
Folle d'amour;

C'est Hélène, embrasée
De désirs, que Thésée
Emporte dans ses mains
Par les chemins;

C'est la jeune Amphitrite
Et sa cour favorite
Guidant aux flots ouverts
Les coursiers verts;

C'est la brune Antiope
Dont le cheval galope
Au bruit des javelots
Et des sanglots.

Les voilà, ce sont elles!
Ce sont les immortelles
Qui vivront à jamais
Sur les sommets!

Non, ces grandes guerrières
Qui vont dans les clairières
En me glaçant d'effroi,
C'est toujours toi.

C'est en toi que je trouve
Leurs blanches dents de louve,
Leurs crinières que fuit
La sombre nuit,

Leurs muscles, où respire
Avec tout son empire
L'immortelle vigueur
Qui vient du coeur;

Et cet éclat de l'ange,
Qu'un glorieux mélange
De neige et de carmin
Rend surhumain!

Mais, ô sage Aphrodite,
Qu'une race maudite
Et vouée au trépas
Ne connaît pas!

A ces superbes formes
Il faut les plis énormes
Des manteaux éperdus
Au vent tordus;

Il leur faut l'écarlate
Qui les baise et les flatte,
Le voile aérien
Du Tyrien,

La pourpre qui s'envole
Au zéphyre frivole
Et qui semble frémir
Ou s'endormir,

Et ces étoffes rares,
Aux ornements barbares,
Que parent les métaux
Orientaux.

Mais non, la pourpre même
Nuit dans un tel poëme
En mêlant ses ardeurs
A tes splendeurs;

O nymphe de la Thrace!
Il faut que l'oeil embrasse
Avec sérénité
Leur nudité.

Arrachée au plus rare
Filon du blanc Carrare
Par un nouveau Scyllis,
Père des lys,

Ta puissante nature
Se trouve à la torture
Dans les noirs casaquins
Aux plis mesquins,

Et, faite pour Corinthe,
Elle est lourde et contrainte
Sous le flot des pompons
Et des jupons.

Car, pour une Déesse
Tordant sa longue tresse,
Nous voulons des habits
Faits de rubis.

En vain Gavarni l'aide,
Vénus Victrix est laide
Avec le falbala
De Paméla,

Et, pour orner sa gloire,
Choisit la perle noire
Arrachée à la mer
Du gouffre amer.

Donc, rayonne et sois belle,
Mystérieux modèle,
Mais pour l'oeil contempteur
Du grand sculpteur.

Sois belle, ô nymphe blonde,
Sans que jamais le monde,
Ce vain historien,
En sache rien!

Mais dans mon ode pleine
De chansons, comme Hélène
Tu te réveilleras;
Tu brilleras

Pour la race future,
En ta haute stature,
Sous le baiser riant
De l'Orient;

Comme une fleur d'Asie
Épandant l'ambroisie
D'un buisson de rosiers
Extasiés;

Magnifique, vêtue,
Ainsi qu'une statue,
De la seule fraîcheur
De ta blancheur,

Et montrant emmêlée,
Au vent échevelée,
Ta sauvage toison
Riche à foison.

Alors, quand nos idoles
Mourantes et frivoles,
Aux yeux irrésolus,
Ne seront plus

Que des chimères vaines,
Toi, le sang de tes veines
Montera, vif et prompt,
Jusqu'à ton front.

On verra luire encore
Ton sein qui se décore
De ses lys éclatants;
Et dans ce temps

Où ceux dont l'âme fière
Tient la vile matière
En souverain mépris
Seront épris

De tes formes parfaites,
On verra les poëtes,
Tourmentés par le mal
De l'idéal,

Attester par leurs larmes
Le pouvoir de tes charmes
Et l'immortalité
De ta beauté.

MERCI pour ce poème, je eu des frissons en le lisant et les larmes aux yeux 8) merci merci
38 ans 3404
eva moi aussi beaucoup de frissons mais en même temps ... et comme je l'ai dis, d'une j'en ai pas compris la moitié et de deux .... (j'vais me faire taper dessus) bahhh j'ia toujours le même avis .. j'aime pas mon popotin :(!!!
V
106 ans 5489
Alors comme promis je te réponds, Titange...
Et oui tu vas te faire taper sur les doigts !!! :twisted:

Je ne vais pas dire que tu n'as pas un popotin rond car je te mentirais et je ne le souhaite pas... Mais comme le dis ma douce Aspha (et tant pis pour la batte à cloux)... et ben tu as un joli popotin qui a l'air ferme et qui est bien haut et rond... et non pas tombant comme une vieille crepe !
Je dirais même que j'ai eu la chance d'apercevoir le haut d'un string (exactement en même temps que ma douce Aspha me montrait le sien...) et bien... OUFFFF c'est très beau ! tu le porte bien parceque ton popotin le vaut bien !
Plus sérieusement ce qui fait une fille n'est pas son popotin... ce que je veux dire par là c'est que ton popotin ce n'est pas toi...et toi tu n'es pas qu'un popotin ! Tu es fille adorable et malicieuse qui a des formes, un peu de kilos au dela de la moyenne et qui porte un joli fessier... que dire de plus ? et ben moi j'aime bien ! na ! Maintenant que tu n'aime pas ton popotin c'est une autre chose mais là ca ne vient QUE de toi ! Dis toi tous les matin au reveil que tu as le plus beau popotin du Lycée et tu verras ! Tu sais il n'es pas facile de s'assumer le plus souvent à cause du regard des autres... ou plutot à cause de la manière dont on percoit le regard des autres. Hors là plusieurs personnes te disent la vérité : tu as un joli popotin ! Certes il est rond et alors ???? (je ne sais pourquoi j'ai la vision d'une levrette en tête...) Décomplexe Titange ! Tu as cet argument à faire valoir : "j'ai un joli popotin bien rond et ferme et j'en suis fière", alors pourquoi passer à côté ?? ?ça serait si bête... Tu le dis toi même tu aimes bouger ton popotin au rythme de musiques africaines... et tu disais aussi que les hommes aimaient le regarder et te regarder... alors ou est le soucis...
maintenant la prochaine fois que tu diras du mal de ton popotin tu auras le grand méchant Binou qui viendra te taper sur les doigts (sur les doigts par sur le popotin... sinon c'est moi qui me ferais taper dessus... batte à clous !!!)
ALORS DECOMPLEXE MA TITANGE ! TU ES TRES JOLIE (DE TOUT TON CORPS) ET TU LE SAIS !

Voilà je sais pas si j'ai réussi à bien m'exprimer et à dire ttce que je voulais comme je le voulais... mais au moin j'aurais vidé mon sac en toute sincérité et sans craindre la batte à clous d'Aspha !

BISOUUUUUUUUUS
NOUB ;)
38 ans 3404
Noub a écrit:
Alors comme promis je te réponds, Titange...
Et oui tu vas te faire taper sur les doigts !!! :twisted:

Je ne vais pas dire que tu n'as pas un popotin rond car je te mentirais et je ne le souhaite pas... Mais comme le dis ma douce Aspha (et tant pis pour la batte à cloux)... et ben tu as un joli popotin qui a l'air ferme et qui est bien haut et rond... et non pas tombant comme une vieille crepe !
Je dirais même que j'ai eu la chance d'apercevoir le haut d'un string (exactement en même temps que ma douce Aspha me montrait le sien...) et bien... OUFFFF c'est très beau ! tu le porte bien parceque ton popotin le vaut bien !
Plus sérieusement ce qui fait une fille n'est pas son popotin... ce que je veux dire par là c'est que ton popotin ce n'est pas toi...et toi tu n'es pas qu'un popotin ! Tu es fille adorable et malicieuse qui a des formes, un peu de kilos au dela de la moyenne et qui porte un joli fessier... que dire de plus ? et ben moi j'aime bien ! na ! Maintenant que tu n'aime pas ton popotin c'est une autre chose mais là ca ne vient QUE de toi ! Dis toi tous les matin au reveil que tu as le plus beau popotin du Lycée et tu verras ! Tu sais il n'es pas facile de s'assumer le plus souvent à cause du regard des autres... ou plutot à cause de la manière dont on percoit le regard des autres. Hors là plusieurs personnes te disent la vérité : tu as un joli popotin ! Certes il est rond et alors ???? (je ne sais pourquoi j'ai la vision d'une levrette en tête...) Décomplexe Titange ! Tu as cet argument à faire valoir : "j'ai un joli popotin bien rond et ferme et j'en suis fière", alors pourquoi passer à côté ?? ?ça serait si bête... Tu le dis toi même tu aimes bouger ton popotin au rythme de musiques africaines... et tu disais aussi que les hommes aimaient le regarder et te regarder... alors ou est le soucis...
maintenant la prochaine fois que tu diras du mal de ton popotin tu auras le grand méchant Binou qui viendra te taper sur les doigts (sur les doigts par sur le popotin... sinon c'est moi qui me ferais taper dessus... batte à clous !!!)
ALORS DECOMPLEXE MA TITANGE ! TU ES TRES JOLIE (DE TOUT TON CORPS) ET TU LE SAIS !

Voilà je sais pas si j'ai réussi à bien m'exprimer et à dire ttce que je voulais comme je le voulais... mais au moin j'aurais vidé mon sac en toute sincérité et sans craindre la batte à clous d'Aspha !

BISOUUUUUUUUUS
NOUB ;)


bon bahhh après avoir tout lu j'ai bien cru que t'allais être plus méchant !! ouf ;) ! Aspha, je te rasure tout va bien, ne le tapes pas ;) !!!

Comment ca t'as aperçu un bout de mon string ??? quand ca ?? expliiiiiiiique mdr !!!

Sinon bahhh merci pour tout et puis heuuu ok j'ai le plus beau popotin :D !!

bisous !
43 ans 3006
Noub a écrit:


Voilà je sais pas si j'ai réussi à bien m'exprimer et à dire ttce que je voulais comme je le voulais... mais au moin j'aurais vidé mon sac en toute sincérité et sans craindre la batte à clous d'Aspha !

BISOUUUUUUUUUS
NOUB ;)


T'es sûr de toi là ? Franchement Noub j'ai bien compris ce que tu voulais dire, tu étais à côté de moi quand je l'ai lu... Et tu m'as demandé de rectifier certains points vraiment pas clairs du tout. Je te rassure Titange, messire du Noub maladroit ne te drague pas, il ne parle pas de TON popotin quand il fait une sacrée remarque déplacée. Quand messire pense à une certaine levrette, ce qu'il m'a confirmé à l'oral, il pense à une certaine photo de moi. Rassure toi tout va bien toujours en tout bien tout honneur. J'y veille :P
38 ans 3404
pas de soucis j'avais compris :D !

bisous !
Noub a écrit:
veux dire par là c'est que ton popotin ce n'est pas toi...et Voilà je sais pas si j'ai réussi à bien m'exprimer et à dire ttce que je voulais comme je le voulais... mais au moin j'aurais vidé mon sac en toute sincérité et sans craindre la batte à clous d'Aspha !

BISOUUUUUUUUUS
NOUB ;)

moi je relève juste cette phrase :lol:
parce si c'est pas moi qui le fait ben ce sera soit YOJIK, Scrameustache, argh :lol: :lol: :lol:
V
106 ans 5489
EVAlacoquine a écrit:
Noub a écrit:
veux dire par là c'est que ton popotin ce n'est pas toi...et Voilà je sais pas si j'ai réussi à bien m'exprimer et à dire ttce que je voulais comme je le voulais... mais au moin j'aurais vidé mon sac en toute sincérité et sans craindre la batte à clous d'Aspha !

BISOUUUUUUUUUS
NOUB ;)

moi je relève juste cette phrase :lol:
parce si c'est pas moi qui le fait ben ce sera soit YOJIK, Scrameustache, argh :lol: :lol: :lol:


OOOOOOOOOOHHHH LA GAFFFE !!! flute je pensais pas du tout à ça.... il y en a sur VLR qui sont un peu... tordu lol

Bisous à toi aussi
NOUB ;)
B I U


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