H
papille a écrit:
Je ne négligerais pas le sport, la RA, la thérapie, mais si cela ne me fait pas perdre assez, je ne vois pas comment je pourrais passer à coté de l'opération pour me donner une chance de vivre ma vie comme je l entends.
Que faire ? Peut-être rien, dans un premier temps.
Et si on est incapable de s'arrêter sur ce premier temps, se demander pourquoi. Quelles sont ces angoisses qui nous assaillent, de quoi parlent-elles au fond ?
Pour mes angoisses, je pense que certaines se situent bien loin de la nourriture et rejaillissent pourtant...
J'imagine que tu ne veux pas perdre du poids pour "perdre du poids". Que ce n'est pas une fin mais un moyen. Que tu recherches autre chose à travers cette perte de poids.
J'imagine que ce n'est pas juste le chiffre sur la balance qui dérange, parce qu'à moins de vivre sur une balance, on n'a pas affaire à lui si souvent.
si, voir le chiffre sur la balance baisser déjà me ferais déculpabiliser et me soulagerait un peu la conscience, le poids qui pèse sur mes épaules. Ce que je recherche, c'est m'aimer, que ma santé aille mieux,pouvoir refaire du sport, m'assumer, retrouver ce que je voyais avant dans les yeux de mon conjoint, ne plus à subir les moqueries de l'entourage. Alors pour moi les chiffres sur la balance ça représente bcp, aussi futiles soit-il.
Donc peut-être que ça peut t'aider de penser à/parler de ce que tu cherches et pour lequel tu imagines que "la perte de poids" serait le moyen.Le moyen vers quoi ?
De parler de ce que je cherche je ne suis pas sure que ça m 'aide dans le sens où ça me fend le coeur de me rappeler de "ma vie de mince/maigre", de tout ce que j'arrivais à faire Certes je m 'affamais, j'étais en hypoglycémie, anémie et au bord du malaise quasiment tout le temps mais au moins je correspondait à ce que les autres voulaient de moi,on me foutait bcp plus la paix qu'auj, c'était beaucoup moins dur à vivre que maintenant. Et je comprends parfaitement que l'on soit dans un désespoir si profond qu'on envisage de se faire charcuter
Est-ce que tu as pu ressentir de l'intérêt, de l'espoir, par rapport à la RA, à une thérapie, à une activité physique ? Parce que même si tout ça a des limites naturelles, leurs apports ne sont pas à négliger et s'inscrivent de façon très cohérente vers une amélioration de la qualité de vie, avec ou sans chirurgie au final.
Et si on est incapable de s'arrêter sur ce premier temps, se demander pourquoi. Quelles sont ces angoisses qui nous assaillent, de quoi parlent-elles au fond ?
Pour mes angoisses, je pense que certaines se situent bien loin de la nourriture et rejaillissent pourtant...
J'imagine que tu ne veux pas perdre du poids pour "perdre du poids". Que ce n'est pas une fin mais un moyen. Que tu recherches autre chose à travers cette perte de poids.
J'imagine que ce n'est pas juste le chiffre sur la balance qui dérange, parce qu'à moins de vivre sur une balance, on n'a pas affaire à lui si souvent.
si, voir le chiffre sur la balance baisser déjà me ferais déculpabiliser et me soulagerait un peu la conscience, le poids qui pèse sur mes épaules. Ce que je recherche, c'est m'aimer, que ma santé aille mieux,pouvoir refaire du sport, m'assumer, retrouver ce que je voyais avant dans les yeux de mon conjoint, ne plus à subir les moqueries de l'entourage. Alors pour moi les chiffres sur la balance ça représente bcp, aussi futiles soit-il.
Donc peut-être que ça peut t'aider de penser à/parler de ce que tu cherches et pour lequel tu imagines que "la perte de poids" serait le moyen.Le moyen vers quoi ?
De parler de ce que je cherche je ne suis pas sure que ça m 'aide dans le sens où ça me fend le coeur de me rappeler de "ma vie de mince/maigre", de tout ce que j'arrivais à faire Certes je m 'affamais, j'étais en hypoglycémie, anémie et au bord du malaise quasiment tout le temps mais au moins je correspondait à ce que les autres voulaient de moi,on me foutait bcp plus la paix qu'auj, c'était beaucoup moins dur à vivre que maintenant. Et je comprends parfaitement que l'on soit dans un désespoir si profond qu'on envisage de se faire charcuter
Est-ce que tu as pu ressentir de l'intérêt, de l'espoir, par rapport à la RA, à une thérapie, à une activité physique ? Parce que même si tout ça a des limites naturelles, leurs apports ne sont pas à négliger et s'inscrivent de façon très cohérente vers une amélioration de la qualité de vie, avec ou sans chirurgie au final.
Je ne négligerais pas le sport, la RA, la thérapie, mais si cela ne me fait pas perdre assez, je ne vois pas comment je pourrais passer à coté de l'opération pour me donner une chance de vivre ma vie comme je l entends.