110 ans
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C'est la cause de mon arrêt, dépression. Cela dit j'en discute + avec ma psy qu'avec mon médecin traitant (c'est déjà arrivé que je sois mal - toujours le boulot - et le médecin ne donnait que 15 jours, là c'était carrément 1 mois mais tant médecin que psys me prolongeraient sans hésiter). Elle m'aide à relativiser et selon elle reprendre si tôt c'est pas forcément la bonne idée, mais de mon côté je n'ai jamais été arrêtée aussi longtemps (tant maladie que congés), et même si je me sens plus légitime à être en arrêt qu'à être au bureau à me demander ce que je vais faire de ma journée, je me vois mal jouer les prolongations. Je me dis que cette première semaine de janvier sera décisive. Je risque juste de réagir très mal si on n'accède pas à mes demandes (qui sont claires, et des concessions je sais aussi en faire) étant donné que je suis éreintée.
De toute façon, mon problème fondamental ce n'est pas le manque de travail (y'a des gens qui s'en accommoderaient parfaitement). C'est le fait que je n'ai rien d'autre dans ma vie que le boulot. Mais là le boulot c'est tellement la misère que ça m'empêche de développer autre chose en dehors.
Prends soin de toi aussi a-nonyme, la fermeture potentielle d'une boîte c'est pas franchement non plus un début d'année facile à envisager :?
De toute façon, mon problème fondamental ce n'est pas le manque de travail (y'a des gens qui s'en accommoderaient parfaitement). C'est le fait que je n'ai rien d'autre dans ma vie que le boulot. Mais là le boulot c'est tellement la misère que ça m'empêche de développer autre chose en dehors.
Prends soin de toi aussi a-nonyme, la fermeture potentielle d'une boîte c'est pas franchement non plus un début d'année facile à envisager :?