49 ans
Paris
9874
Coucou!
Comme tous les 1er mai, je fête mon anniversaire de sleeve :)
J'en profite donc pour donner des news.
A 3 ans post op, l'appétit et le poids toujours stables.
Les difficultés que j'évoquais l'an dernier (surtout stress pro mettant en ébullition un peu tout le reste) m'ont conduite à revoir un psy (l'hypnose s'est révélée pas du tout mon truc). C'est un psychologue, trouvé au hasard sur les pages jaunes, il me convient bien, 50€ pas remboursés mais il me garde une heure. J'ai l'impression de bien avancer. J'avais arrêté la thérapie trop tôt je pense, avec le départ d'Apfel à la retraite, même si j'ai eu raison d'essayer seule à l'époque. Mais au premier gros stress, en l'occurrence pro, j'ai bien senti que j'avais besoin d'aide.
Du coup avec lui on a tout repris à zéro, le rapport au corps et le reste.
Aussi, et j'ai longtemps hésité à en parler ici car certaines réactions très jugeantes peuvent être difficiles à accepter, mais il me semble plus honnête de ne pas raconter mon parcours à moitié, j'ai choisi d'avoir également recours à une lipo (2016) et à une abdominoplastie (2017). Une fois le rapport au poids et à l'alimentation stabilisé, j'avais envie d'une amélioration de silhouette. C'est très discret, personne sauf mes proches ne le sait, ça ne se voit quasi pas habillée, c'était un cadeau très intime que j'avais envie de ME faire. J'y ai réfléchi longtemps, en ai parlé en thérapie, me suis décidée avec le même sentiment que pour la sleeve: zéro doute.
Au bout de tout ce parcours, le sentiment qui domine est toujours que la partie la plus importante aura été et de loin la RA, c'est-à-dire pour moi la fin de la culpabilité devant la nourriture. A côté, les divers coups de scalpel, bien qu'étapes importantes, me semblent plus anecdotiques. Bien sûr tout cela est cohérent et fait un tout: c'est plus facile de ne pas culpabiliser face aux aliments quand de toute façon la satiété arrive vite. En tout cas c'est mon parcours et, comme je ne peux pas revenir en arrière et dire à la gamine de 15 ans de ne pas commencer un régime alors qu'elle a un IMC normal, on va dire qu'il me convient :)
Bisous!
Comme tous les 1er mai, je fête mon anniversaire de sleeve :)
J'en profite donc pour donner des news.
A 3 ans post op, l'appétit et le poids toujours stables.
Les difficultés que j'évoquais l'an dernier (surtout stress pro mettant en ébullition un peu tout le reste) m'ont conduite à revoir un psy (l'hypnose s'est révélée pas du tout mon truc). C'est un psychologue, trouvé au hasard sur les pages jaunes, il me convient bien, 50€ pas remboursés mais il me garde une heure. J'ai l'impression de bien avancer. J'avais arrêté la thérapie trop tôt je pense, avec le départ d'Apfel à la retraite, même si j'ai eu raison d'essayer seule à l'époque. Mais au premier gros stress, en l'occurrence pro, j'ai bien senti que j'avais besoin d'aide.
Du coup avec lui on a tout repris à zéro, le rapport au corps et le reste.
Aussi, et j'ai longtemps hésité à en parler ici car certaines réactions très jugeantes peuvent être difficiles à accepter, mais il me semble plus honnête de ne pas raconter mon parcours à moitié, j'ai choisi d'avoir également recours à une lipo (2016) et à une abdominoplastie (2017). Une fois le rapport au poids et à l'alimentation stabilisé, j'avais envie d'une amélioration de silhouette. C'est très discret, personne sauf mes proches ne le sait, ça ne se voit quasi pas habillée, c'était un cadeau très intime que j'avais envie de ME faire. J'y ai réfléchi longtemps, en ai parlé en thérapie, me suis décidée avec le même sentiment que pour la sleeve: zéro doute.
Au bout de tout ce parcours, le sentiment qui domine est toujours que la partie la plus importante aura été et de loin la RA, c'est-à-dire pour moi la fin de la culpabilité devant la nourriture. A côté, les divers coups de scalpel, bien qu'étapes importantes, me semblent plus anecdotiques. Bien sûr tout cela est cohérent et fait un tout: c'est plus facile de ne pas culpabiliser face aux aliments quand de toute façon la satiété arrive vite. En tout cas c'est mon parcours et, comme je ne peux pas revenir en arrière et dire à la gamine de 15 ans de ne pas commencer un régime alors qu'elle a un IMC normal, on va dire qu'il me convient :)
Bisous!