60 ans
calvados
16079
Je remonte le sujet, vu que je suis en période de réflexion également.
Ca n'est pas d'hier que cela me taraude mais auparavant je me disais "non" ça n'en vaut pas la peine.
Mais ça n'en vaut pas la peine pourquoi?
Dois-je continuer à souffrir de plus en plus des articulations (dos,hanches, genoux sont bourrés d'arthrose), de la venue du cholestérol, du dérèglement hépatique mais aussi de ronfler de plus en plus ?
A avoir du mal à respirer quand je monte des marches ou fais un effort ?
Dois-je continuer à me priver de choses que j'aimerais faire mais que je m'interdis pour cause de non-acceptation de mon apparence ?
(mettre un maillot de bain, sortir danser, etc ...)
Dois-je terminer ma vie comme je l'ai toujours fait?
En me fatiguant à rechercher la fringue dans laquelle je vais rentrer, celle que je rapporterai au magasin car elle fera moche sur moi. Au vu que de toutes façons, c'est le gras qui me dérange et pas la fringue)
De souffrir de constater que je suis toujours la seule ronde dans les repas ou soirées.
J'arrive à un moment où la vie se profile avec beaucoup moins de temps pour en profiter.Et franchement j'aimerais bien être plus à l'aise, moins souffrir (physiquement et moralement)
Faire semblant ça va un temps, j'ai envie de penser à moi simplement.
Pour info,déjà ado, mes cuisses me faisaient souffrir lorsque je marchais (ça reste encore et ce malgré la crème miracle un souci aujourd'hui à un point que j'en viens à hair les robes l'été).
J'ai consulté et re-consulté (il y a longtemps) des endocrinos, des diététiciens. Rien n'a fait sauf les régimes me faisant prendre du poids. :?
Un médeçin m'avait aussi donné du médiator à une époque et réductil j'ai eu aussi.
La R.A j'ai testé mais ça n'est pas pour moi, je ne parviens pas à assimiler les principes et les appliquer (aucune discipline en ce qui ME concerne).
De mon côté on est plutôt en obésité (mère +++ et mon frère se bat depuis tout jeune avec les régimes et le sport). Ma fille était obèse aussi et en souffrait beaucoup.
Nul doute que la génétique entre en jeu.
Mais là j'avoue que je me pose des questions.
Ca n'est pas d'hier que cela me taraude mais auparavant je me disais "non" ça n'en vaut pas la peine.
Mais ça n'en vaut pas la peine pourquoi?
Dois-je continuer à souffrir de plus en plus des articulations (dos,hanches, genoux sont bourrés d'arthrose), de la venue du cholestérol, du dérèglement hépatique mais aussi de ronfler de plus en plus ?
A avoir du mal à respirer quand je monte des marches ou fais un effort ?
Dois-je continuer à me priver de choses que j'aimerais faire mais que je m'interdis pour cause de non-acceptation de mon apparence ?
(mettre un maillot de bain, sortir danser, etc ...)
Dois-je terminer ma vie comme je l'ai toujours fait?
En me fatiguant à rechercher la fringue dans laquelle je vais rentrer, celle que je rapporterai au magasin car elle fera moche sur moi. Au vu que de toutes façons, c'est le gras qui me dérange et pas la fringue)
De souffrir de constater que je suis toujours la seule ronde dans les repas ou soirées.
J'arrive à un moment où la vie se profile avec beaucoup moins de temps pour en profiter.Et franchement j'aimerais bien être plus à l'aise, moins souffrir (physiquement et moralement)
Faire semblant ça va un temps, j'ai envie de penser à moi simplement.
Pour info,déjà ado, mes cuisses me faisaient souffrir lorsque je marchais (ça reste encore et ce malgré la crème miracle un souci aujourd'hui à un point que j'en viens à hair les robes l'été).
J'ai consulté et re-consulté (il y a longtemps) des endocrinos, des diététiciens. Rien n'a fait sauf les régimes me faisant prendre du poids. :?
Un médeçin m'avait aussi donné du médiator à une époque et réductil j'ai eu aussi.
La R.A j'ai testé mais ça n'est pas pour moi, je ne parviens pas à assimiler les principes et les appliquer (aucune discipline en ce qui ME concerne).
De mon côté on est plutôt en obésité (mère +++ et mon frère se bat depuis tout jeune avec les régimes et le sport). Ma fille était obèse aussi et en souffrait beaucoup.
Nul doute que la génétique entre en jeu.
Mais là j'avoue que je me pose des questions.