complètement d'accord avec Secretmel.
Pour lui faire comprendre que l'on y arriverait pas naturellement, (et surtout parce qu'il ralait de devoir encore refaire un spermogramme), il a fallu du temps, mais il a surtout fallu que je pète un gros cable un soir en pleurant en lui sortant tout ce que j'avais sur le cœur.. que j'allais devoir m'injecter des hormones, passer au bloc, poser une semaine d'arrêt, et montrer mon intimité à la terre entière. Tout ca pour lui et pour nous, même si ce n'est pas moi qui avait un problème !
C'était égoiste de lui dire tout ca, mais j'avais besoin de le sortir pour lui faire comprendre que c'était à moi de subir la plus grosse partie du traitement et que j'avais besoin de son soutien. Ca a marché, il a ruminé tout ca, et puis, quand on était en vacances, on en a reparlé calmement..
Grougrou, il n'y a pas grand chose que tu puisses faire pour l'aider, a part ne pas lui mettre la pression trop rapidement ou trop souvent. Il faut lui laisser un peu de temps pour digérer l'annonce, et même si pour toi, il a eu déjà le temps de le faire, c'est peut être plus compliqué pour lui d'avancer avec ce projet. T'a essayé d'en parler à ses amis ? (pour moi, j'avais parlé du projet avec les épouses de ses copains, du coup, les hommes étaient au courant par leurs femmes et ont pu le motiver)
Tofie, courage pour ton projet. En effet, ca ne va pas être évident de concevoir si monsieur a ce souci. J'avais une collègue à l'époque, qui souffrait de vaginisme, et essayait d'avoir un enfant avec une seringue. Je m'explique, elle avait acheté un récipient (le même que pour les prélèvements d'urines) et une seringue de 20 ml, et monsieur éjaculait dans le pot, et madame s'injectait le sperme tout de suite après.. Je ne sais pas si ca a un jour marché, mais à priori, la technique était connue sur certains forums..