51 ans
Out of nowhere
3834
wildtendercat a écrit:
En plus cette légende urbaine était particulièrement peu crédible car si on ne découvrait pas le pot au rose du premier coup, à la deuxième disparition on aurait certainement eu des doutes sur le magasin.
LovelyLexy a écrit:
Cela dit Lovely, la réalité dépasse toujours la fiction...
blueberrycat a écrit:
Les légendes urbaines c'est universel! Pour te donner un exemple, on retrouve l'auto stoppeur fantôme aux USA, en France et en Corée du Sud...
Bon, la Rumeur d'Orléans ( mais qui en fait a sévi dans la moitié des villes de France)! un magasin était en fait un appat de la traite des blanches, et, quand une jeune femme y essayait un vêtement dans une cabine, une trappe s'ouvrait sous ses pieds et elle tombait dans une cave, où on l'assomait avant de l'emporter pour la vendre comme esclave.
Cette rumeur est très bien analysée dans le livre. Sa fausseté et son invraisamblance sont démontrés: pourquoi enlever une fille qui peut être issue d'une famille riche et influente plutôt que de séduire et embobiner une fille paumée et sans proches? Mais on retrouve la peur pour les jeunes filles, leur vulnérabilité face aux prédateurs, les monstres avides d'argent prêts à sacrifier la vertu d'inocentes. On trouve aussi de l'antisémitisme, car la plupart des magasins accusés étaient tenus par des Juifs.
je ne connais pas l'histoire d'Orléans..
j'avais l'impression que les légendes Urbaines étaient surtout Américaines.
et en fait, on en a ici aussi: le sanglier dans le coffre de la voiture, par exemple...
j'avais l'impression que les légendes Urbaines étaient surtout Américaines.
et en fait, on en a ici aussi: le sanglier dans le coffre de la voiture, par exemple...
Les légendes urbaines c'est universel! Pour te donner un exemple, on retrouve l'auto stoppeur fantôme aux USA, en France et en Corée du Sud...
Bon, la Rumeur d'Orléans ( mais qui en fait a sévi dans la moitié des villes de France)! un magasin était en fait un appat de la traite des blanches, et, quand une jeune femme y essayait un vêtement dans une cabine, une trappe s'ouvrait sous ses pieds et elle tombait dans une cave, où on l'assomait avant de l'emporter pour la vendre comme esclave.
Cette rumeur est très bien analysée dans le livre. Sa fausseté et son invraisamblance sont démontrés: pourquoi enlever une fille qui peut être issue d'une famille riche et influente plutôt que de séduire et embobiner une fille paumée et sans proches? Mais on retrouve la peur pour les jeunes filles, leur vulnérabilité face aux prédateurs, les monstres avides d'argent prêts à sacrifier la vertu d'inocentes. On trouve aussi de l'antisémitisme, car la plupart des magasins accusés étaient tenus par des Juifs.
Cela dit Lovely, la réalité dépasse toujours la fiction...
En plus cette légende urbaine était particulièrement peu crédible car si on ne découvrait pas le pot au rose du premier coup, à la deuxième disparition on aurait certainement eu des doutes sur le magasin.