On n'a pas trop laissé de ragot sur mon compte. Faut dire que je ne fascine pas assez les gens pour cela :lol:
Cela dit, je me rappelle d'un truc au lycée. A la cantine, il avait installé deux selfs. Il y'avait le self "menu normal", et le self "grillades", qui s'accompagnait toujours de frites. On choisissait où on voulait aller. Perso, les frites, j'ai rien contre, mais une fois par semaine, ça me suffisait amplement, je me voyais mal en manger tous les midis (ça ne gênait pas certains, surtout les mecs! :lol: ). Eh bien, deux filles du village ou je vivais à l'époque (des soeurs jumelles qui allaient au même lycée que moi), sont allées raconter à une connaissance commune, qui fréquentait un lycée commun, que j'allais TOUS les midis manger au self grillades-frites, que je prenais toujours du rab de frites et que j'y mettais la gomme de sauce. J'ai pas saisi l'intérêt de raconter ça, que ce soit vrai ou non, et même, je ne fréquentais pas ces deux pétasses, je ne mangeais même pas avec elles, et c'était un lycée de 2000 élèves avec un très grand refectoire, donc se retrouver tous les midis, en même temps, à la même table qu'une personne avec qui on ne mange pas était très faible. Mais bon, fallait entretenir le mythe de la grosse qui s'empiffre midis et soirs...
Ah, quand j'avais 17-18 ans,, un de mes oncles n'avait pas apprécié le fait que ma mère (sa sœur), essaie de lui faire ouvrir les yeux que son propre fils (âgé à l'époque de 15 ans) fumait des pétards à outrance et passait ses journées complètement défoncé. Certains diraient qu'elles n'aurait pas du s'en mêler, mais c'est vrai que ça lui était difficile de voir mon cousin se détruire comme ça et de rien faire. Et mon oncle, au lieu d'essayer d'en parler avec son fils, a préféré aller raconter à mon père (mes parents sont séparés depuis 1990, je voyais mon père à peu près 2 weeks par mois, et il avait gardé de bons contacts avec une partie de la famille de ma mère), que ma soeur et moi passions nos week-ends à nous défoncer, à boire comme des trous, et à nous faire sauter par tous les coins. Et là, on a beau faire, voire mon père incrédule me répéter tout ça, ça m'a fait mal. A cet instant, si j'avais pu, mon oncle se serait manger mon poing dans la tronche.