Certains malgré ma pondération m’engueulent parce que on croit que je veux faire une règle de mes observations
D’autres reprochent justement ma pondération et de faire du politiquement correct.
Pour les uns comme pour les autres, je tiens juste à vous assurer que je ne crois pas détenir la vérité, conscient que merci pour le rappel, toute observation est subjective.
Mais puisqu’on est dans la psychanalyse et pour sortir du politiquement correct, faut pas se leurrer, qu’on soit homme, femme, gros ou maigre ou entre les deux, la seule et unique raison pour laquelle on est attiré par quelqu’un, comme le souligne celui qui a initié ce débat, c’est le sexe(voir Freud, Lacan, Mannoni, Dolto ou même Jung qui ne nie pas la composante sexuelle). Tout le reste qu’on se brode autour ce n’est que l’expression de nos névroses personnelles et je suis conscient que je ne suis certainement pas une exception à la règle, encore merci pour le « rappel » de psychologie de boudoir.
Donc oui, mon attrait, d’abord charnel, des femmes rondes m’a permis de découvrir, parmi celles que j’ai côtoyées seulement, (je précise, merci d’avance de pas généraliser ni de prendre ça pour vous personnellement) les traits de caractère que j’exposais il y a quelques jours et m’a conforté dans cette recherche.
Si mes propos malgré la pondération choquent tellement, pourquoi ne pas appliquer cette magnifique leçon de subjectivité en commençant par soi-même ? Qu’est-ce qui vous fâche donc autant ?
Conscient de cette subjectivité qu’est la mienne, c’est bien pour cela que je fais part de mes observations dans un premier temps et que je vous demande ensuite si vous avez des observations qui vont, soit dans le même sens, soit dans le sens opposé. (Simple curiosité scientifique, pas débat passionnel sans intérêt). : je ne détiens aucune vérité, et je n’expose pas « une façon de penser » comme conclu par certains.
C’est pour faire avancer le débat (ou le forum) en évitant de heurter les sensibilités que je suis pondéré, par pour le politiquement correct qui m’indiffère autant que le trombone que j’ai dans la poche de ma veste. La pondération c’est le doute ; le doute c’est la base de la réflexion et du progrès. Encore merci, dans ce cadre, pour l’exposé passionné de vos certitudes.
De toute manière quoiqu’on dise sur ce sujet, quel que soit le respect que l’on peut montrer on arrive quand même à choquer des gens. Il doit y en avoir de la colère la dessous pour déclencher une telle tempête avec un message.
Pour conclure ici mon intervention, je vous remercie de vos réponses, votre colère étant par elle même une réponse enrichissante à ma question, et une antithèse frappante à l’hypothèse (et non pas une théorie, voir le dico pour comprendre la différence) que j’avais exposée.