Aime être en votre compagnie
Bénit le jour où vous vous êtes rencontrés
Calme vos craintes
Donne sans attendre en retour
Est toujours prêt à donner un coup de main
Fait une différence dans votre vie
Garde ses amis dans son cœur
Harmonise vos pensées quand elles se bousculent
Invite ses amis à vous connaître
Jubile quand vous réussissez
Klaxonne un "au revoir" en vous quittant
Lit ce texte et pense à vous
Maximise vos qualités
Ne juge jamais
Offre son support
Parle de sujets qui vous intéressent
Questionne quand vous avez le moral bas
Remonte votre moral
Sait dire des choses sympathiques sur vous
Téléphone juste pour dire "Comment ça va ?"
Utilise les mots justes au bon moment
Vous accepte tel que vous êtes
Week-end ou pas, il ne vous abandonne jamais
Xtrêmement indulgent, il pardonne vos erreurs
Y a pas peur de vous contredire quand il le faut
Zéro problème, il vous aime
Et aux plaines sans cesse
Succèdent les forêts
Au milieu des gouffres vides
Qui exhalent leur faim de l'autre.
Mais il cours et flotte
Il plane et s'envole
Roule, se vide
Il essaie d'oublier.
La pluie fine de sanglots qui l'entoure l'oppresse
Mais pourtant elle dissout les lambeaux de sa peine
Un bruit, il se retourne
Tout s'enfonce, et disparaît
Le reste vers le ciel
Le noir est cette lumière qui n'éclaire que les ombres.
Torture,
Il se noie dans l'aube qui pourtant l'éclaire de tous ses feux.
Le soleil qui s'allume le tue
Et il ne reste plus de cet amour perdu
Que le souvenir vague d'une âme qui s'oublie.
Des cristaux d'améthyste, après avoir osé
Répandre en éventail leurs flammes violines
S'irisent à présent de teintes corallines
Pour flamber l'horizon jusque-là sclérosé.
Se nimbant d'incarnat de plus en plus rosé
Aux éclairs de topaze entr'ouverts d'opalines
Une clarté nouvelle au-dessus des collines
S'illumine d'un bleu finement arrosé.
Vient le moment magique où tressaille la flore
D'innombrables parfums, tandis que se colore
La ramure naissante avec d'infinis verts.
Le matin qui se lève en venant nous séduire
Par des flots de turquoise issus de l'univers,
Au seuil de l'Eden semble alors nous conduire.
Je tiens à te dire que je crois très fort en toi,
en ta détermination, en ton imagination,
en ton intelligence.
Je sais que tu peux tout,
que tu peux tout entreprendre et tout réussir.
N'abandonne jamais,
ne renonce à rien de ce que la vie t'offre,
profite des forces qui sont en toi.
Ne renonce jamais à tes rêves.
Je sais que tu peux les réaliser,
que tu peux accomplir tes désirs les plus fous.
Aie confiance en toi et tu verras que tu peux tout.
Soudain elle surgit venue des profondeurs,
sa valeur est inestimable tant elle est vraie.
Plus riche qu'un trésor, elle perle au gré du moment,
scintillante de vérité et pourtant si indéchiffrable
qu'aucun n'eut pensé de la comprendre.
Merveille qu'elle est, elle s'écoule vivement
pour laisser fuir l'autre qui la suit.
Rempli de joie ou de mélancolie,
seul l'être qui la laisse filer peut la comprendre
car elle crie dans le silence.
Tu sais
Les jours se lèvent et les saisons
Je t'aime au levant Je t'entoure
Ni les couteaux des sacrificateurs
Ni les haches des bûcherons
Ni même les meilleures raisons
Pour bâtir une solitude
Les jours se lèvent et les saisons
Une lignée de valeureux guerriers
L'espoir noué autour de la taille
Verse les prémices
D'un véritable commencement
Tu sais
L'heure est venue
Sans date
Sans planisphère
De fouler les pierres du voyage
De traverser les métropoles
Chaque jour chaque rire chaque regard
T'ouvrira les yeux
A l'ensemble des visages.
Les étoiles du matin s’effacent une à une
Est-ce là la magie de cette aube sans vie ?
Le soleil révèlera la terre brûlée et brune,
exposera mes plaies et mes blessure de jadis…
En silence j’arpente la route calcinée
Mon esprit lui s’évade près des lacs de givre
Lumière vive et crue ou froide obscurité
il s’abreuve de l’une, et c’est l’autre qui l’enivre…
Aux éclats du miroir, le parallélisme des sens
Mon cœur est las de ces contradictions
Il hésite, titube, entre manque et présence
Sans savoir ce qui crée la faille, l’effusion
Qui creuse cette brèche au creux de mon âme
d'où fuit lentement l'essence de mes rire...
pour rejoindre l'abîme des sanglots infâmes
fruits des sombres vestiges de mes souvenirs…
Peu importe, tout mon être épuisé par ces maux
Contemple le ciel, écoute l’horloge qui sonne
Les couleurs s’estompent, mais persiste l’écho…
Et m’entraîne loin de tout en sa valse monotone…
Si tous les Enfants du monde
Avaient la joie de vivre
Et l'occasion de rester ensemble
Si des gens de mauvaises intentions
Des personnes sans raison
Ne les avaient pas dérobé de leurs familles
Et amené dans des pays étrangers
On ne parlerait pas de trafic d'enfants
Ni de pires formes de travail des enfants
Même pas d'enfants de la rue
Aujourd'hui, je lance un appel pressant
A tous les enfants du monde
Ensemble, formons une armée
Et combattons la guerre
Nous voulons la paix, un nouveau monde
Et notre sourire d'enfance
Ensemble nous vaincrons
Car l'union fait la Force