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copier/coller (poèmes)

B
39 ans paris 165
DANS LE FEU DES VOLCANS

Et puis j'irai dormir dans l'antre des montagnes,
avec mon rêve en feu aux laves des volcans
rouges parmi les ors que des  
bleus accompagnent
comme en ces symphonies qui ne savent à quand,

ni à qui, ni à quoi l'on voudrait s'inventer
comme le grand amour qui s'éteint dans le soir,
ou cet autre bonheur brûlé de liberté
que l'on nomme, ici bas, tout bêtement, l'espoir.

Je suis le froid du ciel ou la sève des arbres,
à mi mort ou mi vie j'éblouis ma sagesse
en laissant traîner, là, sur ces plaques de marbres
au cimetière en fleurs, mes mots d'ombres épaisses.

Et je meurtris l'histoire en sa folle diction
qui a tracé partout le chemin de nos croix,
j'avais la corde au cou, j'en connus l'affliction
dans le réduit du temps où il faisait si froid.

Alors les épouvantes de vos idées fixes
à nous conter la vie comme un éclair de joie,
de vos guerres filmées comme on tourne une rixe
dans un vieux dépotoir entre de vieux bourgeois,

vos élans au combat, aux violences extrêmes,
vos purifications et toute mise à mort,
moi je m'assoie dessus car Dieu sait comme j'aime,
dans le feu des volcans, mon amour qui s'endort.
B
39 ans paris 165
AMOR MIO

Dejame amor mio coger raíz en tu corazón,
Y cobijarme en el oyendo su palpitación
Dame la llave, dejame entrar amor mio,
No me dejes fuera! que tengo mucho frío.
Dejame mirarme en el espejo de tu mirada
Quiero ver que te atrae, que piensas, cuanto me amas,
Quiero que veas como estoy de ti enamorada.
Dejame visitar el fondo de tu alma
Esconderme en un pequeño rincon
Calentar mi cuerpo con tu flama.
Dejame que te cante con el chorro de mi voz
Esas canciones que te cantaba de amor
Que tanto te gustaban lo veía en tu ardor.
Terminábamos enlanzados de pasión.


Laisses-moi mon amour prendre racine dans ton coeur
Et m'abriter dans lui écoutant sa palpitation
Donnes-moi la clef, laisses-moi entrer mon amour à moi
Ne me laisses pas dehors, j'ai si froid !
Laisses-moi me regarder dans le miroir de ton regard
Voir ce qui t'attire, ce que tu penses, combien tu m'aimes !
Je veux te montrer combien je suis amoureuse d'un amour suprême.
Laisses-moi visiter le fond de ton âme
Me cacher dans un tout petit coin
Me chauffer de sa douce flamme
Laisses-moi te chanter de toute ma voix
Ces chansons que je t'ai chantai d'amour
Que tu aimais tant je le voyais dans tes yeux
Nous finissions enlacés comme deux fous.

(italien - francais)
B
39 ans paris 165
DERNIERE CHANCE

Si seulement l’on pouvait savoir quand elle arrive cette dernière chance.

Celle que l’autre nous accorde avant qu’il ne tourne à tout jamais ..
la page de ce bel amour.
Nous saurions surement éviter cette erreur qui sera fatale à notre cœur.

Trop de personnes s’imaginent que la patience est une vertu sans limites.
Trop d’êtres en amour pensent que l’autre aimera toujours en dépit de tout ce qu’ils peuvent lui faire subir. . .
Trop sûrs d’eux, ils jouent avec le temps au nom des sentiments sans s’apercevoir que la dernière étincelle est à deux lueurs de s’éteindre.

On commet des bévues, on récidive dans ce qui blesse le plus celui ou celle qu’on aime tant …
et l’on attend, tel un enfant, d’être pardonné de ses fautes impunément jusqu’à la fin des temps.

Mais vient toujours le moment ou plus rien n’achètera le pardon sûr lequel on se détends comme sur un lit de pétales de roses.

À chaque écart de conduite, à chaque pardon, c’est pourtant l’une d’elles qui tombe de la rose, mais imbu de son pouvoir sur le coeur de l’autre, on ne voit même pas à quel point les émotions défraîchissent au fur et à mesure cette fleur qui se fane. Ne lui laissant qu’épines.

La dernière chance, c’est peut-être celle que vous prendrez demain en pensant qu’une fois de plus, un tendre baiser viendra effacer tout ?

D’ailleurs, n’est-ce pas toujours à l’être aimé qu’on jure de ne plus recommence r?
N’est-ce pas, à ce coeur que l’on confie sa peine et son angoisse ?

Mais un jour, un beau matin, bêtement, sans préavis, sans le moindre regret, l’autre nous dit que c’est fini, terminé. On sursaute, on implore, on pleure mais rien ne peut ramener l’être pourtant si cher.

Un bouquet de violettes, quelques larmes, deux ou trois lettres …
et rien, plus rien ne ravivent la terre trop mal ensemencée.

La dernière chance, c’était celle qu’on avait prise avant que le coeur de l’autre s’octroie une libération.
On pensait bien que c’était l’avant-dernière.
Mais c’était la dernière, car tôt ou tard, tout vient à s’éteindre à force de mal étreindre.

C’est à jouer ainsi avec le coeur de l’autre qu’on en vient à perdre, à se perdre soi-même.

On lui reprochait sa méfiance, faute d’être incapable de lui faire confiance.
Si le coeur n’est parfois que pardon, la bonté a ses limites.

Bien sûr qu’il ou qu’elle aura aussi mal que vous quand viendra l’heure du départ, mais un autre coeur viendra doucement déposer un baume sur sa plaie.

Et vous dans tout ça ? Triste portrait n’est-ce pas ?

Parce que vous l’aimiez sincèrement ?
Parce que vous n’avez rien tenté pour sauvegarder cet être cher pour lequel vous viviez ?
Trop tard et tant pis.

C’est à jouer avec sa dernière chance que bien souvent l’Amour meurt …
à défaut de n’avoir pu protéger son bonheur !

Ne laissez pas cette dernière chance briser votre amour.
B
39 ans paris 165
POURQUOI

Pourquoi c’est difficile de s’exprimer
Pourquoi c’est difficile de pouvoir aimer
Pourquoi c’est difficile de vivre sans préjuger
Pourquoi c’est difficile d’inventer
Pourquoi c’est difficile de décider
Pourquoi c’est difficile de rester. . .

de rester sois même

Des défauts, des qualités qu’est qu’on aime ?
Qu’est ce qu’ils veulent qu’on sèmes ?
Dans cette terre accablée pleine de haine

La tendresse est devenue un joli poème rare à inventer
La vulgarité et l’hostilité sont devenues des maîtres difficiles à s’en séparer

Est-ce c’est la fin du monde
Est-ce le désir de Abrahams, jésus, moïs, Noé ou Mohamed.
Est-ce le désir de Zeus, Héra, Poséidon
Ou bien c’est le votre ?

Alors !!!
B
39 ans paris 165
JALOUSIE

Maladive ou possessive elle te ronge et te pousse a la dérive
tu n’as plus confiance ! tu t’installe dans la méfiance
tu espionne et tu guette tout s’emmêle dans ta tête cette jalousie te tiens
elle t’étouffe, elle t’étreint jalousie d’amour, jalousie d’amitié le sentiment recherché,
c’est l’exclusivité jalousie virtuelle,
jalousie cruelle elle fait aussi mal qu’une jalousie réelle.
alors pourquoi aimer autant quelqu’un ?
si c’est pour lui donner tant de chagrins qu’il ne pourras jamais surmonter
si cette jalousie n’est pas modérée …
B
39 ans paris 165
SILENCE

tes silences me font souffrir tes absences me font languir tes nuances me font frémir et tes mots me font rougir. de ta présence j’ai besoin de ta personne je veut prendre soin, à ta peau je veux toucher et de ta chaleur me réchauffer je ne peux vivre sans toi je ne peux me passer de ta voix je ne peux vivre sans cela et d’une autre je ne veux pas je voudrais tant que tu m’aimes même si tu me connais à peine j’aimerais tant que tu comprenne que sans toi mon sang se fige dans mes veines, depuis des jours je ne pense qu’a toi depuis des nuits je ne rêve que de toi depuis des semaines je le savais depuis des années je t’attendais ...
B
39 ans paris 165
AMOUR INCERTAIN

Ma confusion ou ton ignorance
Qui a raison ..
Mes nuits sans sommeil ou les tiens pleines d’espérances ?

L’amour, seul dans son coin
Ou la beauté frappée de solitude

Tes rêves qui te font crier de bonheur
Sont mes pires cauchemars, mes pires malheurs
Mon avenir donc incertain,
Ou le tien déjà raconté
Qui a raison ?

Comme La fille aux rêves brisés, appelée Princesse
Mes larmes de joie deviennent ceux de tristesse
Je voudrais tant que tu voie cette rivière
Rivière de confusion, de peur, de l’amour incertain

De cet amour qui est la seule raison d’une vie
De cet peur que tout s’écroule
Je te crie, je ne sais plus si tu m’entends
Choisi tes rêves avec prudence et sagesse
Car si je suis la maintenant, tu va bien.
Mais si demain, je ne le serais plus
Vers qui tu te tourneras ?
Et cet instant la, même tes rêves te trahiront …
B
39 ans paris 165
AMOUR BRULANT

Dans l’obscurité, un homme, une femme,
A la seule lueur d’une flamme
Un bel instant de tendresse,
Où se mêlent silence et caresses
Lorsque, soudainement, les gestes s’affolent,
Dans ce monde toujours sans paroles
Les lèvres se rapprochent doucement,
Se touchent et se séparent furtivement
Enfin, un long baiser brûlant,
Et l’atmosphère se fait volcan
Les corps brûlants s’enflamment,
De ses bras, l’homme serre la femme,
Et les membres s’entrelacent,
Ne laissant plus aucune place
A la moindre petite bulle d’air
Il n’y a plus de repères,
Et les âmes s’envolent au paradis,
Tandis que les corps restent dans la nuit
Puis, le moment magique et sans fin
Où les êtres ne forment plus qu’un
Les secondes se perdent dans le temps
Les corps s’enlacent profondément,
Jusqu’à la phase finale,
Où le monde devient l’extase totale
B
39 ans paris 165
JE TROUVE CA BIZARRE

Je trouve ça bizarre
Je suis encore dans le brouillars
Mais j’ai enfin trouvé
Une personne à qui parlé

Je ne sais pourtant
Si je me suis exprimer clairement
Je tremble encore
Mais sent un peu moins la mort

Par contre j’ai peur
D’ouvrir mon coeur
Je l’ai cadenassé
Et j’ai perdu la clef

J’ai tant chercher cette personne
Tant voulu que mes cris resone
Dans les oreilles de quelqu’un
Chez un être humain

Je doit m’accrocher à la vie
Je doit me battre et poursuivre ici
Je doit trouver quelque chose qui me retienne
Et reusir à oublier mes peines

Mais il faudra enormement de temps
Il y a eu cependant beaucoup trop de sang
J’ai trés peur de decevoir
Je ne veux pas de coup de poignard

Donner sa confiance et être trahi
Ca laisse le coeur meurtri
Une blessur ouverte qui se vide
Un coeur qui se fige

Je vais essayé de le deglacer
Petit à petit la laisser entrer
Mais je ne promet rien
Et ne prevois toujours pas mon destin

Il faud me réhabituer
A parler et me confier
M’exprimer autre qu’avec un cutter
Je vit peut etre un vrai calvaire

Mais ne peu tomber plus bas que ce gouffre
Je ne peu soufrir plus que je ne soufre
Je me suis approcher trop prés de la mort
Et n’éprouve toujours aucun remord

Cependant je doit prendre cette main
Cette aide sur mon chemin
Même si c’est pour un laps de temps
En cette periode de fête cela sera different

Il me faud essayer
Mais j’évite de trop rever
J’ai encore peur d’éspérer
De croire et encore déséspéré

Mon âme est encore fragil
Mon coeur frêle et pueril
Je voudrais que mon esprit soit tranquil
B
39 ans paris 165
POURQUOI TANT DE POURQUOI

Dylan, petit mousse !

Après 7 mois de traversées en mer,
Tu as enfin accosté et débarqué
Mais très vite tu as eu le mal de mer
Et la mort a voulue t'embarquer!!!

Après quelques jours sur une mer calme,
Une grosse tempête s'est déchaînée
Tu luttais pour tenir, comme un chalutier à la rame,
Sans réussir à te stabiliser!

Puis un jour d'août, t'as fais naufrage,
Ce fut ton dernier voyage
On à tous été frappé par cet orage
On avait perdu un membre de l'équipage

Ce jour là t'as essuyé une avarie
Le moteur de ta vie à lâché
Et nous tu nous as laissé ici
Avec assez de larmes pour nous noyer !!!
B
39 ans paris 165
PARFUM ET PLUME

Combien ton doux parfum est ensorceleur
Rien qu’à voir la forme de ce flacon offert
Je me sens emporté vers le pays de l’autre rive
Même la brise qui caressait longuement ta rose
Ne pourrait me donner l’ampleur d’une telle extase
De mille fleurs en bouquet je ne choisis qu’une
De mille étoiles du ciel j’opte pour la plus modeste
Et la fleur devient étoile scintillante à mes yeux
Et l’étoile lumineuse devient une fleur dans ma main
De l’arôme recueilli je fais une très belle alchimie
Où l’unique étoile dans le beau vase épouse la fleur
Où la fleur irrigue son cœur de l’éternité de l’étoile
Je parle à la fleur et l’étoile commence à rougir
Je parle à l’étoile et la fleur en éveil devient vermeille
Je parle aux deux et je prends soudain le grand large
La mer sereine ouvre les bras à ma légère barque
Je quitte la solitude de mon propre quai ensoleillé
Pour longer l’autre rivage pour un autre port isolé
Je caresse ta plume offerte, je la secoue doucement
Je regarde l’étui, et je vois défiler autant d’images
Ta plume de ma main sillonne toutes les contrées
Les pages se prosternent sous la fluidité de l’encre
Et je me laisse emporter sous l’effet de l’ivresse
Construire des châteaux sur les flancs de l’autre rive
Bâtir de nos mains, semer à notre guise des fleurs
Tu es toujours présente, tu dictes tes grands désirs
Et les mille poèmes qui habitaient ma mémoire
Trouvent le déclic et suivent l’unique courant
Transformant la virginité des feuilles en toiles
Les plus belles dédiées à une certaine muse sauvage
Qui du quai de l’autre rive vit son ultime bonheur
Lève son visage angélique pour cueillir une étoile
De ses yeux perlent la plus belle rosée matinale
Recueillie avec douceur d’une adorable rose
Des yeux clairs semblables à la pureté d’un ciel d’été
Où l’horizon jaloux reflète son regard dans le lac
Je peins de ma main, de mon unique plume en errance
Mille visages et je cisèle de mes simples mots sacrés
Sur la falaise gardienne qui surplombe la paisible mer
Un cadre unique, une statue d’airain au socle mouvant
Qui permet à ma muse de suivre tous mes mouvements
Ceux d’un ami, qui vit, qui résiste à tous les orages
De la rose de la rose je garde en main l’unique moule
Je le mets en cachette dans un autre espace désert
Gardé secrètement comme un doux souvenir
Qu’on aime voir, revivre, retenir toujours dans sa vie
Rien que pour soi, l’explorer dans sa profondeur
Pour qu’il éveille les anges, éclairer ma demeure
Tu disais que je serais l’homme le plus heureux
Possible que je me trompe, je vis toujours d’exil
Tu es libre de descendre les pentes enneigées
De sentir le mouvement de la brise sur ton visage
Heureuse que tu es, tu savoures encore ta jeunesse
Tu vis ton monde d’allégresse où tout est charmant
Attablé, isolé, je n’ai qu’un contingent de pensées
Je chevauche les unes après les autres jusqu’à la fin
Et quand le soir tisse son rideau de grande fatigue
J’accroche aux murs de mon toit un poème orphelin
Le matin je le relis et je reprends le même chemin
Habitué à mon ombre je fréquente la rue déserte
Et main dans la main, bras dessus bras dessous
Quelque part, dans un coin isolé de ma mémoire
S’élèvent des voix, des cris, ou d’autres appels
Je les laisse mûrir, hanter mes pas, me trébucher
Ni parfum offert, pourtant je suis dans ma soûlerie
Ni plume offerte, pourtant j’enfourche quelques unes
A toi ma muse, cette unique pensée … JE T’AIME
B
39 ans paris 165
MUSIQUE

Avec sur les épaules un sac
Et les poumons gonflés de liberté
Pour tout bagage un grand espoir
Et l'esprit libéré de tout ce qui était hier.

Avec devant mes yeux l'enivrante aventure
Qui s'étale déjà et vient à ma rencontre
Aujourd'hui je suis là, et demain où serai-je ?
Je suis, et c'est heureux, l'éternel vagabond.

Plus de patrie, de nom, de chaîne ombilicale,
Rien qu'un peu d'air à moi, mais il est pur au moins,
Et l'ayant, je le garde, et n'ai plus le désir
De le vendre à nouveau pour racheter le reste.

Seul, et c'est merveilleux, et c'est paradoxal
Que seul le voyageur connaisse l'amitié
La vraie, et l'amour pur comme il existe encore,
Glané puis oublié, voilà la condition.

Et je traîne avec moi mon frétillant espoir
Plus lourd à lui tout seul que tout un mobilier
Complice du bonheur
Plus que tout mon passé.
B
39 ans paris 165
ERRANCE

Naviguant, hésitant entre deux rivages,
Ne sachant pas quel choix était le plus sage,
J’ai erré sur les deux, et je me suis perdu;
A tel point qu’aujourd’hui je me sens abattu,
Désemparé, triste et complètement déchu.

J’ai pourtant essayé de me ressaisir,
Tenté de me raisonner pour tout oublier
Eviter d’y penser pour ne plus déprimer.
Mais je vois sans cesse mes cauchemars revenir
Et dans ces moments me prend l’envie de partir.

Partir, pour ne plus revenir, et abandonner
Tout ce pourquoi je vibrais et me lamentais,
Oublier ces questions qui me torturaient
En finir avec ce brouillard qui m’oppressait.
Mais je n’ose pas, bien que je sois très tenté.

Je reste perdu entre ces deux rivages
A attendre que le ciel se dégage
Et je prie pour qu’un jour la chance me sourit,
Pour que je trouve enfin le bon rivage,
Celui sur lequel je resterai toute ma vie.
B
39 ans paris 165
VOYAGEUR SOLITAIRE

Je te vois éreinté d’avoir longtemps marché,
J’ai entendu tes mots qui livraient tes pensées,
Au plus profond de toi tu veux la vérité
Celle de savoir pourquoi un beau jour tu es né.

Tu cherches dans ta nuit la moindre transparence
Supprime tes interdits, donne toi cette chance
De trouver des réponses à certaines questions
Qui peuplent ta conscience ,ton âme et ta raison

Ne cherche pas ailleurs car tout est dans ton coeur,
Commence à parcourir ce chemin intérieur
Ne baisse pas les bras car le parcours est long,
N’écoute pas les voix qui prônent l’abandon

Tu as la force en toi si tu crois en l’Amour,
Voyageur solitaire tu reviendras un jour
Serein et lumineux, confiant et plus léger
D’avoir trouvé la source de ta morosité.

Apprends à contempler et cesse de parler,
Ouvre un peu ta conscience, voici la première clé :
Le silence est ami pour goûter au plaisir
Au bonheur des secondes qui te font tant sourire.

Si plus rien dans ce monde ne peut t’émerveiller
Ce vide qui te torture ne fera qu’empirer.
Voici la deuxième clé : soit heureux pour un rien
De ces petits instants naîtront un grand matin.

Tu deviendras un autre tout en étant toi-même,
Ta vie aura un nouveau sens avec un nouveau thème,
Tu croiseras alors des regards étonnés
Qui te demanderont de leur dire ton secret...

Regarde l’horizon, ouvre-toi et respire
Tu feras de ton âme un royaume, un empire...

Laisse-toi caresser par l’air ou par l’ondée
Qui perle sur ton front et sur tes joues hâlées
Par le feu du soleil, voici la troisième clé :
Cueille le jour comme il vient, ne le renie jamais.

Apaise-toi et sache que la porte est ouverte
Si tu sais te servir de chaque clé offerte
Elles ouvrent les serrures que tu avais fermées
En croyant tout savoir tu étais prisonnier

Des erreurs du passé que tu avais jetées,
Qui sont de vraies amies si tu veux accepter
D’apprendre leurs leçons qui te feront grandir
Elles t’aideront ainsi à ne plus te mentir.

Peux-tu apercevoir à présent la Lumière
Courageux voyageur, tu n’es plus solitaire
Ta route est dégagée et tu peux avancer
Sans peur du lendemain ni l’ombre du passé.
38 ans "Dans une galaxie lointaine, trés lointaine ... 914
bahhh la vache babou!!!!!
Ca y va toi !!!! 8)
Moi je suis a court d'inspiration !!!!!! :cry: :cry:
B I U