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Qui a un trouble bipolaire (maniaco-dépression) ?

64 ans loiret 10
Je fais parie des bipos depuis une dizaine d'année aussi j'ai appris a vivre avec mais pas chose facile jetravaille sauf quand je pete les  
plmbs c'est ce qui est arrivé l'année dernire pour des histoires de travail aussi la remonter est d'autant plus difficile car il y aeu de nombreuses ts Je suis sous treralithe LP4002/j et aussi 2 citalopramVoila si tu as des questios je suis tout ouie
37 ans Paris 15 ème 203
Bonjour,
je vais essayé de faire part de ma vie :? et de ma bipolarisation,

Je ne serai pas trop dire quand tous cela à commencer, je sais en tout cas entre 11 et 13 ans 10 kg on été pris :evil: .
La ou tout à commencer est en classe de 3 eme ou j'ai fait ma première Ts et scarifications, semi coma et hospitalisation longue suivie par un psy. Tout ceci est pris pour depression. J'ai en plus des soucis d'insomnies.
Relacher dans la nature seul, avec mes soucis. 1 ans après rebelote, Ts plus scafications, là j'ai un suivis avec un psy et pedopsy en guidance infantil. Là je ressemble à un cobail car on me bourre de médicaments de toute sorte. Je vais pas tous les sortir :lol: mais quand j'ai fais la liste j'en ai eu peur (rivotril, tercian, risperdal, tegretol, depamide.....plus pour l'insomnie, imovane, theralene, mepronizime....et j'en passe.

Je commence aujourd'hui avec ma nouvelle psy et après plusieurs hospitalisations, ts et scarifications à comprendre que je suis bipolaire.
Mon traitement aujourd'hui est du zyprexa 2cp par jour(bipolaire), athymil 1 cp par jour (depression) et du stilnox 1 cp par jour (insomnie).
J'ai du mal a assumé meme si ca fait des années que je vie comme ca et c'est dur pour mon entourage et ma vie de couple.
J'ai l'impression de n'etre pas comprise.
Et au jour d'aujourd'hui ca ne va pas car je me sens soutenue par personne car soucis dans le couple et tout le monde comprend mon ami mais moi non, je passe pour la mechante dans l'histoire.
En ce moment, je n'ai pas d'emploi mais j'ai l'aide de la mission locale. Donc je suis à la maison, et droit aux corvés ménagères, dont mon ami ne m'aide pas particulièrement, car dit à la maison = ne fait pas grand chose donc ménage. Le soucis c'est qu'il passe la plupart de son temps sur son ordi à un jeu online. Et quand je demande de l'aide c'est jamais ou 10 min après quand je l'ai fait. Et tout le monde le plaint, me dit qu'il est trop fatigué que je lui en demande trop......... Donc coup de colère à la maison, et ca n'arrange pas notre couple et mon etat car la plupart du temps je me scarifie car je crois que c'est ma faute ou alors je prend les propos des autres contre moi, enfin pleins de choses qui complique la vie.

Entre dépressif et execité comme une puce les gens ont du mal à me suivre ou me comprendre et c'est très fatiguant. Et j'en suis triste.

Désolée pour la longueur et Ps: ne faite pas attention aux faute svp :oops:
49 ans ze youniverse 1623
Bonsoir à toutes

Vos temoignages m'ont un peu chamboulée, je dois bien l'avouer... :? Vivre avec ce type de maladie a l'air trés difficile (je veux parler de la gestion des crises et des prises lourdes de médicaments)

Perso, je ne connais pas ce type de maladie et je ne connais pas leur "fonctionnement". J'espère donc ne pas vous blesser en vous demandant qqls infos.

:arrow: Quelles st les différences entre l'état borderline et la bipolarité?
:arrow: Connait-on certaines des causes possibles de ces maladies?
:arrow: Est ce qu'un évenement traumatique peut en être à l'origine?

Si je vous pose ces questions, c'est que j'ai besoin d'y voir plus clair ds le comportement d'un de mes proches. Attention, je ne m'investis pas psy ms cela me donnerait , peut être, des pistes de réflexions et surtt, de compréhension face à un comportement trés lourd et incompréhensible pour moi ...
Merci les filles!
64 ans loiret 10
je suis resté assez breve sur mon état precedemment mais il va de soit que c'est trés dure vis avis de autres qui vous regardent de travers vis a vis du travail et puis en cas de crise aigu les ts viennent me tarauder pout que je passe al'acte plus l'envie de ne rien faire qui est trés dure asupprter par rapport ace que l'on était avant
40 ans La Madeleine 4511
Bree a écrit:
J'ai aussi des coups de fatigue, d'ailleurs je suis souvent en sieste en début d'après midi. Il faudrait peut être prendre les séropram le soir ? moi ma psy m'a dit de faire comme ça. Ensuite quand elle m'a changé le lexomil pour du seresta c'était fouttu, je dormais toutes les après midi !
Là je vais lui demander pour repasser au lexomil.

Moi aussi je me demande comment je vais faire pendant ma formation pour pas sombrer de sommeil !


C'est bon elle m'a viré le seresta du midi.

Les gens souvent ne comprennent rien à cette maladie... exemple la tante de mon copain, pour elle je suis juste dépressive donc je ferme ma gueule et je vais travailler comme tout le monde alors que je lui ai bien dit que c'était un trouble bipolaire, chose plus complexe qu'une simple dépression... elle a rien voulu en savoir !
Les gens ne sont pas assez informés sur la maladie, ne savent pas comment réagir... surtout quand il y a alternation d'épisodes maniaques et d'épisodes dépréssifs quand on n'est pas sous traitement.
Il faut être un peu égoïste quand on a cette maladie... Penser à soi, se soigner, faire des choses pour aller bien, se valoriser, etc...
et expliquer aux gens que c'est pas une tare d'être Bipolaire... beaucoup d'écrivains et de peintres l'étaient... pourtant ce n'étaient pas des fous !
A
47 ans 1
Bonjour,

Avant tout merci pour cette discussion, très enrichissante et intéressante.

Ma copine (qui a 26 ans) est bipolaire. Lorsqu’elle avait 20 ans, elle a été hospitalisée et avait "guérie" un an après que les psychologues avaient décelé chez elle une psychose maniaco dépressive. Aujourd’hui elle prend encore des médicaments (tegretol et lexomil), selon sa psychologue elle devra les prendre toute sa vie. Depuis, elle n’a jamais fait de rechute, malgré de légers changements d’humeurs et s’être battu pour avoir une vie sociale malgré ses soucis (quelques problèmes de concentration et de discernement entre 20 et 25 ans qui ont fait d’elle une personne vulnérable).

Elle m’a raconté les moments pénible qu’elle a vécu avant et pendant son hospitalisation, elle a toujours cette crainte de faire une rechute. Elle a mis du temps à se créer une situation sociale et aujourd’hui elle a une vie comme tout le monde, sauf qu’elle a besoin d’un long sommeil, elle se couche tous les jours vers les 21h00 pour se lever à 7h00.

Depuis quelques jours, elle se plaint quotidiennement de son travail et de sa collègue chose qu’elle faisait très rarement avant. Comme nous ne vivons pas ensemble et qu’on se voit 3 à 4 fois par semaine, on se parle souvent au téléphone, dernièrement elle m’a fait part d’un état de tristesse, alors que depuis qu’on se connaît (18 mois maintenant) elle croquait la vie à pleine dents. Selon elle s’est due à l’arrivé de son père chez elle début avril, en effet elle me dit qu’elle a du mal à cohabiter avec lui et qu’elle est pressé qu’il rentre en province.

Ce week-end nous avons été elle et moi en bord de mer pour changer d’air, et elle m’a fait une confidence troublante. Elle m’a dit que depuis quelques jours il lui arrivait plusieurs fois dans la journée à penser à des scènes de mort. Selon elle, ces scènes arrivent subitement sans qu’elle sache pourquoi elle a pensé à cela, elle imaginait ses proches (dont moi) auquel il arrivait un malheur très grave ! Elle m’a dit que ça l’inquiétait car cela ne lui était jamais arrivé avant. J’ai essayé de la rassurer mais j’avoue que moi aussi cela m’inquiète.

Je me suis rappelé aussi qu’en fin 2006 elle a eu un retard de règles qui a durée 2 mois. Depuis, une fois toute les deux semaines il lui arrive aussi d’avoir de très fortes douleurs au lobe frontal qu’elle soigne avec du baume de tigre, ces douleurs la scotch à son lit pendant une bonne vingtaines de minutes. La semaine dernière, avant notre petit week-end, elle a eu du mal à trouver le sommeil, elle s’est couchée souvent à 23h00 ou minuit me dit-elle malgré la prise de ses médicaments.

Voilà, j’espère de tout cœur que ce ne sont pas des signes de rechute et si c’était le cas que puis-je faire pour éviter cela ?

Je suis inquiet, merci d’avance pour vos réponses.
42 ans On my black cloud in a white heaven 7469
J'avoue que j'ai un peu peur car mon oncle est atteint du trouble bipolaire. Un de mes anciens psy ne m'a pas diagnostiqué bipolaire mais m'a bien dit que je n'étais pas à l'abri de le devenir un jour ...
A priori, je suis une personne à tendance cylothymique et dépressive.

Ca ne fait pas avancer le débat et ne te réponds pas à tes interrogations Bree, mais si tu veux parler je suis là :kiss:
A
41 ans France 2875
Je n'apporte pas de témoignage, mais je veux juste vous donner quelques infos.

L'état limite et la bipolarité sont deux diagnostics différents. L'état limite (connu aussi sous le nom de "borderline") est un trouble de la personnalité, alors qu'un état maniaco-dépressif est un trouble de l'humeur.

Donc, pour répondre à Selkys, il y a des différences entre le fait d'être borderline et celui d'être bipolaire, car ce sont là deux maladies avec chacune des symptomes spécifiques.
Ceci dit, on a encore beaucoup à apprendre de l'état limite, meme s'il y a déjà beaucoup de recherches sur le sujet.
Pour les causes, c'est encore à l'état de recherche, mais pour le moment c'est très varié, et comme tjrs en psycho, elles sont singulières à chacun. Quoi qu'il en soit pour le moment rien ne peut prédire ou amener a coup sur ces maladies. Pour autant y'a plusieurs facteurs qui entrent en jeu pour chaque individu, impossible d'en faire une généralité.

Pour revenir quand même sur l'évènement traumatique, c'est particulier. Ca ne peut pas provoquer un état limite, ou un trouble bi polaire chez une personne. Néanmoins, la majorité des études concernant le trouble borderline, montrent que la plupart des personnes diagnistiquées borderline ont subi un évènement traumatique (le plus souvent : maltraitance, agression/abus sexuel(le) pendant l'enfance, etc). ATTENTION : ce n'est qu'un constat établit à partir de nombreuses recherches sur les personnes borderline, et rien ne dit que parce qu'on a subi un évènement traumatique on va développé ce type de pathologie. Ce n'est absolument pas vrai.

Voilà, si jamais vous avez d'autres questions, j'essayerai d'y répondre de mon mieux...
37 ans Paris 15 ème 203
Mon soucis avec ce trouble c'est que j'arrive pas à controle mes phases depressives et maniaques qui sont très difficiles à vivre pour moi et les personnes qui m'entourent:
quand je suis en depression:
- je perd de l'interet pour toutes les activités habituelles (cinéma, regarder la télé avec mon ami.....)
- insomnie mais aussi très fatigué
- je prend du poid
- je me refuge dans mon lit (je me repli sur moi)
- je parle plus bcp
- je pleure

quand je suis en periode de manie:
- j'ai une euphorie excessive qui parfois agace les gens
- je suis très irritable, provocatrice et meme parfois agressive dans mes propos qui sont dur à entendre autour de moi et surtout mon ami, car mes paroles sont très touchantes, ca lui fait mal mais à moi aussi qql heures après
- je dors moins et pas trop fatigué
- je suis une vrai parlotte, je divague dans les idées
- je lache de l'argent en vetements ou nourriture

Tous ca me pese lourd sur mon moral quand le soir dans le lit je me repasse toute la journée dans la tete et alors l'angoisse monte et j'ai du mal à dormir.

Cela fait 3 semaines que j'ai pas vu ma psy ainsi que ma kiné qui me prend en charge corporel car je ne vais pas bien et j'ai arreté mon traitement. Et j'ai plus d'envie d'aller voir personne. Mais il va falloir que je reprenne un rdv au plus vite car je sera bientot en formation et cela me fait peur. Peur de pas tenir le coup, de plus la voir du tout, ni la kiné, il me faudra un nouveau traitement, car je sens mes angoisses montés, le stress....

Voilà, en tout cas une bonne chose, le vendredi 4 mai, un petit week end en amoureux ;) en bretagne, j'espere que ca se passera bien, et que je serais pas de mauvaise humeur.
40 ans La Madeleine 4511
Maiwenn19 a écrit:
Mon soucis avec ce trouble c'est que j'arrive pas à controle mes phases depressives et maniaques qui sont très difficiles à vivre pour moi et les personnes qui m'entourent:
quand je suis en depression:
- je perd de l'interet pour toutes les activités habituelles (cinéma, regarder la télé avec mon ami.....)
- insomnie mais aussi très fatigué
- je prend du poid
- je me refuge dans mon lit (je me repli sur moi)
- je parle plus bcp
- je pleure

quand je suis en periode de manie:
- j'ai une euphorie excessive qui parfois agace les gens
- je suis très irritable, provocatrice et meme parfois agressive dans mes propos qui sont dur à entendre autour de moi et surtout mon ami, car mes paroles sont très touchantes, ca lui fait mal mais à moi aussi qql heures après
- je dors moins et pas trop fatigué
- je suis une vrai parlotte, je divague dans les idées
- je lache de l'argent en vetements ou nourriture

Tous ca me pese lourd sur mon moral quand le soir dans le lit je me repasse toute la journée dans la tete et alors l'angoisse monte et j'ai du mal à dormir.

Cela fait 3 semaines que j'ai pas vu ma psy ainsi que ma kiné qui me prend en charge corporel car je ne vais pas bien et j'ai arreté mon traitement. Et j'ai plus d'envie d'aller voir personne. Mais il va falloir que je reprenne un rdv au plus vite car je sera bientot en formation et cela me fait peur. Peur de pas tenir le coup, de plus la voir du tout, ni la kiné, il me faudra un nouveau traitement, car je sens mes angoisses montés, le stress....

Voilà, en tout cas une bonne chose, le vendredi 4 mai, un petit week end en amoureux ;) en bretagne, j'espere que ca se passera bien, et que je serais pas de mauvaise humeur.


Maiwenn : il faut prendre son traitement régulièrement et voir sa psy régulierement ! tu parles de psychologue ou psychiatre ? si tu veux plus de ces épisodes de manie ou de dépression il faut prendre des médocs qui te rendront la vie plus agréable et plus simple à gérer.
37 ans Paris 15 ème 203
Je suis suivie par une psychiatre dans un institut MGEN au mesnil st denis.
J'ai arreté mon traitement car j'avais l'impression que celui là ne m'aidait pas. Là je vais reprendre rdv car je risque de plus avoir le temps avec ma formation, je verrai si elle peut me faire un mi temps therapeutique.
62 ans Québec, Canada 1664
Mon premier mari était maniaco-dépressif.

J'ai découvert son état 2 semaines avant notre mariage alors que je le fréquentais depuis 2 ans sans m'être rendu compte de rien.

Il faut dire qu'a l'approche du mariage son niveau de stress augmentant il aurait du consulter son médecin et réajuster sa dose de lithium mais il n'y avait pas songé.

Résultat des courses je me suis trouvé devant un homme que je ne connaissais pas. En effet Daniel changeait totalement de personnalité lors de ces crises "maniaques" jusqu'a aller se prendre pour quelqu'un d'autre.

Je me rappele encore de ma peur ... causé surtout par ma méconnaissance de la maladie.

Après avoir discuté longuement avec son médecin j'ai décidé de me marier tout de même celui-ci m'ayant rassuré sur divers points.

Quelques années plus tard j'ai réalisé qu'il avait fait preuve d'un trop grand optimisme.

Daniel, malgré un suivit régulier, des prises de sang fréquentes, etc. n'avait aucune résistance au stress et Dieu sait que dans la vie il y a des tas d'occasions de stresser ... de plus ... les relations tendues avec ces parents n'aidaient pas du tout.

Au bout de 6 ans j'ai craquée.

Entre des beaux-parents qui ne m'aimaient pas et me le faisaient sentir et un mari avec qui je n'avais plus aucune intimité depuis quelques années étant passé du stade d'épouse à celui d'infirmière, de protectrice, de gardienne selon ces changements cycliques ... j'ai abandonnée.

Je ne voudrais pas être négative ... loin de là ...

Ayant été membre de l'association des maniaco-dépressifs j'ai vu des couples vivant harmonieusement avec la maladie ... des gens heureux malgré celle-ci.

Il y a des gens qui ont des tempéraments et une force de caractère peu commune.

A cette époque j'étais jeune ... dans la vingtaine ... et naïvement j'avais cru que l'amour pouvait venir à bout de tout ... aujourd'hui je sais qu'il faut aussi bien d'autres qualités que je n'avais pas alors et que seul l'expérience de la vie apporte.

J'ai vu bien des gens depuis aux prises avec cette maladie ... et la plupart d'entres eux mènent une belle vie ... une vie enrichissante ... pleine de réussite à tous les niveaux.

C'est la grâce que je vous souhaite !
49 ans ze youniverse 1623
Merci pour tes renseignements Angelic! Et encore bon courage à tous et à toutes ! ;)
A
41 ans France 2875
selkys a écrit:
Merci pour tes renseignements Angelic! Et encore bon courage à tous et à toutes ! ;)


je t'en prie ;) n'hésites pas si tu as d'autres interrogations !
37 ans Niort 53
je tennait a vous remercier je viens de mettre un mot sur ce qu ne va pa chez moi. Depuis toute petite je vais voir des psy pour des TCA. J'ai toujors eu des changement de l'humeur tré marquer. Je n'ai jamais compris moi même ce qui n'allait pas. Certaine personne de mon entourage m'ont dit que je le faisait exprés ou bien que j'étais ompletement folle. J'avais fini par ls croire mais la je viens de compendre que je ne le fait pas volontaiement. Des fois e rigole puis 5 min plus tard j'explose en larme. C'est bizard. Depuis quelques temps ca s'axcentue et la je vas perdre mon copain a cause de ca. J'ai accepter que mon psy me donne du depakote seul probleme avec mes TCA si je reprend du poid avec je l'arreterais même si ce medicament m'aide a me stabiliser.
Est ce que l'on en guéri ?
Comment on fais pour gerer ses saute d'humeur ?
Je ne veux pas perdre mn ami a cause de ca et le fais de savoir que je risqe de le perdre me fais aller encore plus mal.
Est ce un cercle infernale ? J'ai l'impression que cela est sans fin.On a mieux puis tous recommence.
S'il vous plais aidez moi
B I U